Nationalité : Japon
Né(e) à : Machida, Tokyo , le 18/04/1963
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Né(e) à : Machida, Tokyo , le 18/04/1963
Biographie :
Kentaro Ueno est avant tout auteur de mangas humoristiques.
Il a fait ses premiers pas en 1984, à l'âge de 21 ans, dans l'hebdomadaire Weekly Shônen Champion.
En 2011, son manga "Sayonara mo Iwazuni" ("Sans même nous dire au revoir") est nominé pour le Grand Prix des mangas. Pour ce titre, il a délaissé la veine comique pour un récit à connotation autobiographique ; il parle en effet du décès de sa femme.
Son dernier manga en date, sorti au Japon en 2011, s'intitule, "Ashita no yoru wa sen no me o motsu" ("La nuit de demain à mille yeux"). Il s'agit d'un manga humoristique.
Kentaro Ueno est avant tout auteur de mangas humoristiques.
Il a fait ses premiers pas en 1984, à l'âge de 21 ans, dans l'hebdomadaire Weekly Shônen Champion.
En 2011, son manga "Sayonara mo Iwazuni" ("Sans même nous dire au revoir") est nominé pour le Grand Prix des mangas. Pour ce titre, il a délaissé la veine comique pour un récit à connotation autobiographique ; il parle en effet du décès de sa femme.
Son dernier manga en date, sorti au Japon en 2011, s'intitule, "Ashita no yoru wa sen no me o motsu" ("La nuit de demain à mille yeux"). Il s'agit d'un manga humoristique.
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Citations et extraits (14)
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Quelqu'un a dit que la manière dont on meurt et celle dont on vit étaient identiques.
Dans les moments difficiles, c'est merveilleux d'avoir un nom à murmurer...
Je vivais dans la crainte de ta maladie.
Je craignais que notre quotidien ne s'effondre.
Je craignais que mon organisation ne soit déréglée.
Alors que c'était toi qui souffrais le plus de cette situation...
... moi pendant ce temps je pensais...
"C'est embêtant..."
"Quel ennui..."
"Le voilà bien embarrassé..."
Alors c'est à moi de te demander pardon...
Je craignais que notre quotidien ne s'effondre.
Je craignais que mon organisation ne soit déréglée.
Alors que c'était toi qui souffrais le plus de cette situation...
... moi pendant ce temps je pensais...
"C'est embêtant..."
"Quel ennui..."
"Le voilà bien embarrassé..."
Alors c'est à moi de te demander pardon...
Les sentiments sont une chose sans fin, difficile à rompre, mais le rituel de la séparation, lui, suit son cours en silence.
Je vivais dans la crainte de ta maladie.
Je craignais que notre quotidien ne s'effondre.
Je craignais que mon organisation soit déréglée.
Alors que c'est toi qui souffrait le plus de cette situation ...
Moi pendant ce temps je pensais...
Je craignais que notre quotidien ne s'effondre.
Je craignais que mon organisation soit déréglée.
Alors que c'est toi qui souffrait le plus de cette situation ...
Moi pendant ce temps je pensais...
Quel que soit l’amour qui
nous lie à une personne,
quel que soit le respect
que l’on éprouve pour elle,
un jour, on finit par ne plus
entendre les battements de
son cœur, et, très peu de
temps après il faut s’occuper
des funérailles. L’idée que
l’être s’éloigne de nous, qu’il
quitte notre regard émane
directement de l’homme. La
philosophie jouit de cette idée,
la religion la glorifie, les
hommes se l’expliquent pour
ne pas avoir de regrets.
nous lie à une personne,
quel que soit le respect
que l’on éprouve pour elle,
un jour, on finit par ne plus
entendre les battements de
son cœur, et, très peu de
temps après il faut s’occuper
des funérailles. L’idée que
l’être s’éloigne de nous, qu’il
quitte notre regard émane
directement de l’homme. La
philosophie jouit de cette idée,
la religion la glorifie, les
hommes se l’expliquent pour
ne pas avoir de regrets.
Ma fille avait 10 ans lorsqu'elle a perdu sa mère.
Le choc que cela a pu représenter pour elle est incalculable.
Le choc que cela a pu représenter pour elle est incalculable.
Depuis le jour des funérailles, j'avais la sensibilité à fleur de peau.
Je savais très bien que la tristesse et la douleur s'abattraient sur moi lorsque je me retrouverais seul...
Venu de je ne sais où, j'entendais un gémissement sourd...il ne s'agissait que de mes propres sanglots que j'entendais pour la première fois.
Je savais très bien que la tristesse et la douleur s'abattraient sur moi lorsque je me retrouverais seul...
Venu de je ne sais où, j'entendais un gémissement sourd...il ne s'agissait que de mes propres sanglots que j'entendais pour la première fois.
Si j'étais en verre,
je voudrais me briser
dans ta main.
Si j'étais un couteau,
je voudrais me casser
en te blessant.
je voudrais me briser
dans ta main.
Si j'étais un couteau,
je voudrais me casser
en te blessant.
Dédicace
Ce livre est le dernier que je dédie à la défunte femme, Kiho.
A tous ceux qui ont perdu un être cher.
A tous ceux qui ont des êtres chers auprès d'eux.
Juin 2010
Ce livre est le dernier que je dédie à la défunte femme, Kiho.
A tous ceux qui ont perdu un être cher.
A tous ceux qui ont des êtres chers auprès d'eux.
Juin 2010
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