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Critiques de Kevin Eastman (59)
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Les tortues ninja, tome 5 : Les fous, les m..

"Les fous, les monstres et les marginaux: Les Tortues Ninja - TMNT, T5" de @kevineastman86, @TomWaltz et Mateus @Santolouco chez



Revenu un peu en catastrophe à New York, suite à leur dernière péripétie à NorthHampton, nos héros échafaudent un plan ambitieux et courageux, afin de renverser Shredder et ses séides et libérer, enfin, leur belle ville de NY. Pour arriver à leur fin, ils vont être à la recherche de toute l'aide possible, car ils se sont rendu compte que le clan Foot ne pourrait être battu sans des renforts importants. Etant donc dos au mur, nos héros devront composer avec Old Hob et sa clique particulière, chose qui ne plaît particulièrement pas à Raphael. Rassemblant leur force et leurs alliés, nos héros sont plus décidés que jamais à agir, mais cela ne se fera pas sans quelques petites surprises.



Ce que l'on peut de noter sur ce run est que chaque tome à une importance cruciale dans la chronologie de l'histoire et apporte à chaque fois des rebondissements et de l'inattendu. Ce cinquième tome n'échappe pas à la règle et nous propose donc un nouveau volet haut en couleur. Et c'est tant mieux, car le lecteur n'a pas le temps de se remettre de l'ascenseur émotionnel qu'il subit, qu'il est tout de suite emporté vers une autre péripétie. On est malmené pour notre bien et on en redemande.



Note Tome 5 : 5/5.
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Les Tortues Ninja, tome 9 : Vengeance 2/2

Mon @VendrediLecture sur "Tortues Ninja T.9 : Vengeance Deuxième Partie" de @kevineastman86, @TomWaltz, Mateus @Santolouco et Cory @csmitharts Smith chez @HiComicsFrance



"Oh papa, oh maman, je suis plus un enfant" (c'est la version spéciale tout public pour démarrer ma chronique, sinon ça serait plus ça : "Oh My Fucking Godness") , dixit Joey dans Friends, mais également de votre serviteur, qui vient tout juste de finir de lire, une des petites merveilles de ce début d'année 2020. Grâce à HiComics, que je ne remercierai jamais assez, j'ai pu recevoir en avant première le tome 9 des Tortues Ninja, sobrement intitulé "Vengeance deuxième partie" et qu'elle joie j'ai eu en découvrant le soir, au retour du boulot, un petit paquet venant tout droit de ma caverne d'Ali Baba préférée. En l'ouvrant, je suis tombé sur cette merveille et sur le tome 2 de "Wyld" de Nicholas Eames aux éditions Bragelonne, mais j'y reviendrai plus tard. Cette soirée a donc été forte, non pas en chocolat, mais en émotions.



Aussi excité qu'une puce sur le cul d'un chien, je me suis jeté sur ce fameux tome 9, tant vanté par notre ami Sullivan, depuis de nombreux mois, car n'y tenant plus, j'ai voulu découvrir la suite des péripéties de nos héros à carapaces, laissés en fâcheuse posture à la fin du tome 8. On y retrouve donc le clan Hamato aux prises avec le clan Foot, mais également des vilains petits robots de Stockman. Maître Splinter et ses fils, ne pouvant plus continués comme ça et voyant que leur destin se joue peut-être tout de suite maintenant, vont prendre une décision radicale, qui va tout changer et bouleverser profondément la suite de l'histoire. En effet, d'âpres combats vous attendent, de difficiles décisions également, le tout débouchant sur une fin explosive, qui vous laissera pantois. Accrochez-vous, car ce tome 9 va vous décoiffer.



Je le répète de nouveau : "OH MY FUCKING GODNESS" !! Cette série n'est donc vraiment pas pour les enfants (les très jeunes en tout cas), car ce tome 9 est d'une extrême intensité, tant par le stress de la situation ressenti, que par les combats en mode battle royal. Le lecteur est plongé, dès les premières pages, dans le dénouement explosif de la querelle entre Hamato Yoshi et Oroku Saki, qui dure depuis des siècles et aux conséquences bibliques pour la suite de leur vie. Chacun des personnages n'en sortira pas indemne et fera face à la dure réalité de ce Mortal Kombat. Ce tome, se termine sur une image forte, profonde et triste, de ce qu'est vraiment l'honneur des Samouraïs. Une conclusion de toute beauté.



Mais que serait l'histoire sans un univers graphique aux petits oignons, d'une justesse magnifique et d'une telle beauté ? Fade, certainement, mais rassurez-vous Mateus Santolouco et Cory Smith arrivent à rendre beau, émouvant et fort cette lutte fratricide et vous servent pléthores de planches plus belles les unes que les autres. La planche qui m'a le plus époustouflée et celle du combat final entre Splinter et Shredder sur le toit du repaire du clan Foot. Elle focalisée sur l’arène finale, tout en mettant en avant un environnement teinté de modernité et tradition. Et qu'elle lune !! Une telle impression de vertige, de puissance et de pouvoir en une seule planche, un vrai bijou. Je vous laisse en juger ci-dessous.



On sent que quelque chose de grave va arriver, on sent que le dénouement tant attendu arrive et on sent la tension montée d'un cran, ainsi que notre fréquence cardiaque. Elle est tellement intense cette scène. Juste magnifique. Et vous retrouver tout du long des pages tournées pleins d'autres bijoux visuels. Un travail de qualité. Vous l'aurez donc compris que je vous conseille 3X1000 de découvrir, lire, relire, partager cette sublime série qu'est les "Tortues Ninja" chez nos amis de HiComics. Et elle mérite tellement d'avoir une renommée à la hauteur d'un Rick and Morty ou d'un Walking Dead !! Vous savez ce qu'il vous reste à faire !! COWABUNGA les zamis !!



Note Tome 9 : 5/5.



Et vous, qu'en avez-vous pensé ? Etes-vous aussi accrocs que moi ? Ça m'intéresse d'échanger avec vous là-dessus.



Comme toujours, suivez-moi sur les réseaux sociaux ou directement sur ce blog, pour échanger avec votre serviteur et/ou être les premiers avertis lorsque paraît une nouvelle #chronique. Je viens également d'ouvrir un #insta, un compte @Babelio et je suis "Superlecteur" sur IZNEO, pour ce blog à retrouver sous les #nametag : yradon4774 (insta) et Yradon4774 (Babelio et IZNEO).



See you soon sur les ondes...
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Les Tortues Ninja, tome 4 : Northampton

"Les Tortues Ninja, tome 4 : Northampton" de @kevineastman86, @TomWaltz et Sophie Campbell chez @HiComicsFrance



Après leur terrible revers survenu à New York, nos héros ont besoin de s'exiler pour penser leurs plaies et préparer la suite de leur aventure. Chose plus facile à dire qu'à faire, tant les différents traumatismes vécus sont gravés dans leurs esprits et leurs âmes. Ils trouvent donc refuge dans la famille O'Neil, à la campagne. Dans ce havre de paix, ils vont petit à petit reprendre du poil de la bête et prendre une décision qui changera leur vie à jamais : retourner à NY et en finir une fois pour toute avec Shredder & Co. Pendant, ce temps-là, le clan Foot impose définitivement son joug sur les rues de New-York.



Ce tome 4, fait office de "temps-mort" dans les aventures de nos tortues préférées. Ils peuvent enfin souffler un peu et prendre le temps de se remettre d'aplomb. Cette "pause" dans l'histoire est la bienvenue, car elle permet de digérer tout ce qui vient de se passer dans les trois premiers tomes et ce n'est pas rien. Mais bon, après le calme, vient la tempête (j'arrange ce proverbe à ma sauce, oui, j'assume) et nous revoilà plongé dans l'action, à un rythme encore plus effréné qu'avant et c'est tant mieux. L'intensité de cette série monte encore d'un cran et c'est ce que j'attendais. La suite annonce donc un moment de lecture inoubliable. 



Note Tome 4 : 5/5.
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Les tortues ninja, tome 1 : Les origines

Ce tome est le premier d'une série de 6 rééditant les premières histoires des Tortues Ninjas. Il comprend les épisodes 1 à 7, ainsi que le numéro spécial consacré à Raphael, initialement parus de 1984 à 1986, co-écrits, co-dessinés et co-encrés par Kevin Eastman & Peter Laird. Ces comics sont en noir & blanc. Il s'agit d'une réédition très soignée, dans un format une fois et demi plus grand que les comics d'origine, avec une couverture rigide, et des notes de Kevin Eastman en fin de chaque épisode.



Tout commence avec 4 tortues anthropoïdes acculées à un mur. Il y a Raphael armé de 2 sais, Michelangelo armé de 2 nunchakus, Donatello armé d'un bâton, et Leonardo armé de 2 katanas. Ils affrontent un gang de rue qu'ils mettent en déroute, puis disparaissent dans les égouts avant l'arrivée de la police. Ils rejoignent leur quartier général ou leur sensei évoque leurs origines, leur mutation provoquée par un produit radioactif contenu dans un conteneur tombé sur la voie publique.



Au fil de ces 7 épisodes (et du numéro consacré à Raphael), les quatre tortues ninjas sont confrontées aux ninjas du clan Foot, à des robots éliminateurs des rats, à des extraterrestres, à un robot dénommé Fugitoïd (pour Fugitive Androïd, le professeur Honeycutt), à l'armée. Ils vont perdre leur sensei, porté disparu pendant l'attaque des Mousers (les robots anti-vermine), et faire la connaissance d'April O'Neil, puis de Casey Jones.



Les Tortues Ninjas sont une marque mondialement connue, avec un nombre de produits dérivés incalculables, des séries de dessins animés, aux films, en passant par tout ce que l'on peut imaginer (des sous-vêtements, aux céréales). Mais au départ, elles ne mangeaient pas de pizza, ne portaient pas de bandanas de couleurs différentes, et n'avaient par leur initiale sur leur boucle de ceinture.



En découvrant ces épisodes pour la première fois (ou en s'y replongeant), le lecteur voit des personnages à l'apparence impressionnante, maniant des armes de combat, flanquer une rouste à des voyous à New York. Il a la surprise de voir apparaître un rat anthropomorphe qui raconte une histoire à dormir debout. Splinter aurait été doué de conscience (pour une raison jamais évoquée ou explicitée) alors qu'il était encore l'animal de compagnie d'Hamato Yoshi, et c'est ainsi qu'il aurait mémorisé les mouvements et les techniques auxquelles s'exerçait ce ninja. Puis il raconte une histoire de boîte contenant un produit radioactif, tombant sur la voie publique, alors qu'un adolescent pousse un vieillard hors de la trajectoire du camion. M'enfin ! C'est les origines de Daredevil ça ! Oui, Peter Laird & Kevin Eastman ne se sont pas cachés d'avoir écrit un comics parodiant les épisodes de Daredevil réalisés par Frank Miller. D'ailleurs le nom du clan de ninjas (The Foot) répond avec un sourire en coin à celui menant la vie dure à Daredevil (The Hand). Quelques pages sont composées sur le modèle perfectionné par Miller : une case verticale de la hauteur de la page, et les autres en drapeau, empilées les unes sur les autres.



Non seulement, les Tortues Ninjas doivent beaucoup au Daredevil de Miller, mais en plus leurs créateurs ont indiqué qu'ils rendaient également hommage au Ronin du même Frank Miller, aux New Mutants de Chris Claremont, et à Cerebus de Dave Sim. Le lecteur retrouve également des ninjas et des armes de pratiquants d'art martiaux (comme dans Ronin), une équipe d'adolescents (comme dans New Mutants), et des animaux anthropomorphes avec un sens de l'humour (comme dans Cerebus, toute proportion gardée). Enfin ils ont indiqué que n'étant pas très sûrs d'être capables de choisir des noms japonais réalistes pour leurs personnages, ils ont préféré piocher dans les artistes italiens de la renaissance (le nom de Gian Lorenzo Bernini, dit Le Bernin, ayant un temps été envisagé).



Le lecteur plonge dans plus de 300 pages à la forte personnalité narrative. À de nombreuses reprises, Laird & Eastman ont expliqué que leur processus de création était collaboratif et qu'ils mettaient un point d'honneur à ce que l'un comme l'autre participent à chaque page à la fois au scénario et aux dessins. Ainsi chaque planche faisait la navette de l'un à l'autre, au point qu'il n'est pas possible de savoir qui a dessiné quoi. À première vue, le lecteur est frappé par l'emploi des trames mécanographiées. Chaque page, chaque case est habillée par des trames découpées en formes diverses. De ce fait, ce comics n'est pas en simple noir & blanc, ou même avec des zones de gris. Il est en noir & blanc avec des ombres et des textures réalisées à l'aide de trames noires ou grises, apposées sur les formes délimitées par les contours encrés, ou sur les fonds de case.



La qualité de la reprographie est élevée, et les trames sont bien reproduites sans effet de moirage. Le lecteur regarde des dessins avec une solide consistance du fait de la présence de ces trames. Du point de vue du dessin des personnages ou des décors, il peut voir l'influence de Richard Corben, dans l'approche de la représentation, pour des visages un peu grossiers, des plastiques un peu massives, ou encore des décors travaillés. Le travail des 2 artistes en devient un peu paradoxal en ce sens que le lecteur peut croire à la réalité des 4 tortues, leur visage simplifié, leurs émotions, la texture de leur peau ou encore celle de leur carapace. Mais à côté d'eux, les êtres humains (peu nombreux, entre les extraterrestres et les robots) semblent peu réalistes, peu crédibles (avec une anatomie parfois mal finie), et des visages grossièrement dessinés.



Par contre Eastman & Laird fournissent un travail conséquent pour donner de la substance à leurs arrière-plans et à leurs décors. Même sous les couches de trame, le lecteur peut apprécier le rendu usé et un peu sale des rues de New York. Il se retrouve à assister à des combats sur les toits de New York, comme si Daredevil pouvait surgir à tout moment. Il voit l’exiguïté du repère souterrain des tortues ou de l'appartement de Casey Jones. Il détaille les ordinateurs haute technologie (de l'époque, à c’est-à-dire des années 1980) du concepteur des Mousers, ou la technologie de science-fiction des tricératops anthropomorphes. Il peut sentir les effluves et les remugles des eaux des égouts. Il peut ressentir la poussière de l'arène dans laquelle les Tortues Ninjas se retrouvent à combattre comme des gladiateurs.



Dans les notes de Kevin Eastman en fin de chaque épisode (pas toujours très éclairantes ou très élaborées), il revendique également l'influence de Jack Kirby, et plus particulièrement de sa série Kamandi. Les artistes reprennent en particulier le principe d'un dessin en double page, occupant les pages 2 & 3 de chaque épisode (sauf pour le numéro de Raphael), qui en met plein la vue au lecteur. Effectivement, ils ne s'économisent pas dans ces compositions : les 4 tortues bondissant vers le lecteur toutes armes en avant, Raphael se jetant sur Michelangelo dans le salon, la vue des cités spatiales interconnectées. Ces artistes ont donc le sens du spectacle.



Au fil des épisodes Eastman et Laird se lance des défis narratifs visuels dans lesquels ils se font plaisir. Il peut s'agit d'un combat contre une armée de Mousers dans les égouts, d'une incroyable course-poursuite entre un combi Volkswagen et des voitures de police dans l'épisode 3, du long affrontement physique entre Raphael et Casey Jones, de Raphael planqué sur un luminaire dans le bâtiment TCRI (Techno Cosmic Research Institue), d'un combat en plein ciel entre l'aéroglisseur des Tortues et des soldats, ou de ce combat dans l'arène.



Si les personnages humains semblent parfois un peu bâclés, il est indéniable que ces 8 épisode introduisent 4 héros sortant de l'ordinaire, à l'entrain communicatif, respirant la joie de vivre, sans soucis existentiels, avec une bonne humeur au combat. Kevin Eastman & Peter Laird mélangent sans complexe leurs différentes influences, entre ninjas pas très efficaces servant de chair à canon anonyme, sensei sans réelle personnalité, jeune femme agréable et accueillante (sans grande personnalité), justicier urbain peu crédible à la personnalité pas très équilibrée (Casey Jones qui part casser du voyous avec des battes de baseball et des clubs de golf), et extraterrestres plus ou moins belliqueux (avec quelques séquences influencées par Star Wars).



Page après page, le lecteur se laisse gagner par cet entrain, ces aventures débridées, une imagination effervescente, et l'investissement visible des auteurs dans leur création. Les personnages principaux sont originaux et sympathiques, les aventures sont rapides et pleines de péripéties. Certes, les scénaristes utilisent des artifices propres aux récits d'aventure, avec quelques coïncidences bien pratiques, et il apparaît de temps à autre un cliché éculé en termes de situation ou de danger. Finalement, le lecteur passe un moment agréable à lire ou à relire ces aventures rocambolesques, ces tribulations hautes en couleurs, 4 étoiles. En plus il a conscience d'assister à la naissance d'un phénomène de société qui se lit encore avec plaisir plus de 30 ans plus tard, ce qui vaut bien la cinquième étoile. Enfin l'édition de Hi-comics est parfaite avec ce format plus grand, un papier assez épais pour éviter l'effet de transparence, et des commentaires de Kevin Eastman (un peu avare en anecdote intéressante).
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Teenage Mutant Ninja Turtles: The Ultimate ..

Voilà à quoi j'en suis réduit comme lecture hautement intellectuelle après un millier d'avis ! Cependant, ma honte se dissipe très vite devant la qualité de l'objet. Je ne m'y attendais pas et c'est donc une réelle surprise. On découvre quelque chose de beaucoup plus sombre que la série animée ou encore le film complètement loufoque.



Les 4 tortues Ninjas ont d'abord des noms qui sont influencés par des peintres de la Renaissance italienne (Raphael, Donatello, Léonard de Vinci et Michael-Ange). C'est vrai qu'il faut accepter le fait que ces tortues ont muté suite à une substance radioactive. Cependant, d'autres super héros ont vu leur pouvoir également conféré par un accident (Daredevil, Poison Ivy, Hulk...). Après, chacune de ces sympathiques batraciens ont leur caractère ce qui donne lieu à des joutes intéressantes.



J'ai été un peu surpris de découvrir l'univers de ces Ninjas non pas dans un manga mais dans un véritable comic. Les tortues Nijas n'ont certainement pas livrés tous leurs secrets...
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Les tortues ninja, tome 12 : Chasse aux fantômes

Précédemment, le statut quo à changé. Splinter a tué Schreder et est devenu le chef du clan foot.



Cela ne plait pas forcément aux quatre tortues, et certaines ont un peu de mal a accepter la manière dont se déroule les choses.



Dans ce tome plus que dans n'importe quel autre, l'équilibre de la famille va être menacé.



Encore un tome excellent même si Matteus Santolouco n'est présent au dessin que sur le dernier chapitre.
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Pour une poignée de sang !

Je n'arrive pas à classer ce Bloody Mary entre le western et le fantastique version gore. Il faut dire qu'on va rencontrer toute la panoplie des monstres existants du vampire au mort-vivant. Il y a également beaucoup d'érotisme via notre héroïne complètement nue tout le long de cette aventure où elle s'amuse à flinguer les monstres qui en veulent à son corps. Ma suggestion: habille-toi !



C'est signé par le créateur des fameuses tortues Ninjas qui ont leurs adeptes dans de nombreux pays. Pour moi, ce n'est pas une référence mais bon. On aura compris que la rigueur ne sera pas au rendez-vous entre des dessins un peu crayonnés et brouillons ou bien un récit qui ne fera pas dans la subtilité.
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Teenage Mutant Ninja Turtles: The Ultimate ..

Ce tome est le premier d'une série de 6 rééditant les premières histoires des Tortues Ninjas. Il comprend les épisodes 1 à 7, ainsi que le numéro spécial consacré à Raphael, initialement parus de 1984 à 1986, co-écrits, co-dessinés et co-encrés par Kevin Eastman & Peter Laird. Ces comics sont en noir & blanc. Il s'agit d'une réédition très soignée, dans un format une fois et demi plus grand que les comics d'origine, avec une couverture rigide, et des notes de Kevin Eastman en fin de chaque épisode.



Tout commence avec 4 tortues anthropoïdes acculées à un mur. Il y a Raphael armé de 2 sais, Michelangelo armé de 2 nunchakus, Donatello armé d'un bâton, et Leonardo armé de 2 katanas. Ils affrontent un gang de rue qu'ils mettent en déroute, puis disparaissent dans les égouts avant l'arrivée de la police. Ils rejoignent leur quartier général ou leur sensei évoque leurs origines, leur mutation provoquée par un produit radioactif contenu dans un conteneur tombé sur la voie publique.



Au fil de ces 7 épisodes (et du numéro consacré à Raphael), les quatre tortues ninjas sont confrontées aux ninjas du clan Foot, à des robots éliminateurs des rats, à des extraterrestres, à un robot dénommé Fugitoïd (pour Fugitive Androïd, le professeur Honeycutt), à l'armée. Ils vont perdre leur sensei, porté disparu pendant l'attaque des Mousers (les robots anti-vermine), et faire la connaissance d'April O'Neil, puis de Casey Jones.



Les Tortues Ninjas sont une marque mondialement connue, avec un nombre de produits dérivés incalculables, des séries de dessins animés, aux films, en passant par tout ce que l'on peut imaginer (des sous-vêtements, aux céréales). Mais au départ, elles ne mangeaient pas de pizza, ne portaient pas de bandanas de couleurs différentes, et n'avaient par leur initiale sur leur boucle de ceinture.



En découvrant ces épisodes pour la première fois (ou en s'y replongeant), le lecteur voit des personnages à l'apparence impressionnante, maniant des armes de combat, flanquer une rouste à des voyous à New York. Il a la surprise de voir apparaître un rat anthropomorphe qui raconte une histoire à dormir debout. Splinter aurait été doué de conscience (pour une raison jamais évoquée ou explicitée) alors qu'il était encore l'animal de compagnie d'Hamato Yoshi, et c'est ainsi qu'il aurait mémorisé les mouvements et les techniques auxquelles s'exerçait ce ninja. Puis il raconte une histoire de boîte contenant un produit radioactif, tombant sur la voie publique, alors qu'un adolescent pousse un vieillard hors de la trajectoire du camion. M'enfin ! C'est les origines de Daredevil ça ! Oui, Peter Laird & Kevin Eastman ne se sont pas cachés d'avoir écrit un comics parodiant les épisodes de Daredevil réalisés par Frank Miller. D'ailleurs le nom du clan de ninjas (The Foot) répond avec un sourire en coin à celui menant la vie dure à Daredevil (The Hand). Quelques pages sont composées sur le modèle perfectionné par Miller : une case verticale de la hauteur de la page, et les autres en drapeau, empilées les unes sur les autres.



Non seulement, les Tortues Ninjas doivent beaucoup au Daredevil de Miller, mais en plus leurs créateurs ont indiqué qu'ils rendaient également hommage au Ronin du même Frank Miller, aux New Mutants de Chris Claremont, et à Cerebus de Dave Sim. Le lecteur retrouve également des ninjas et des armes de pratiquants d'art martiaux (comme dans Ronin), une équipe d'adolescents (comme dans New Mutants), et des animaux anthropomorphes avec un sens de l'humour (comme dans Cerebus, toute proportion gardée). Enfin ils ont indiqué que n'étant pas très sûrs d'être capables de choisir des noms japonais réalistes pour leurs personnages, ils ont préféré piocher dans les artistes italiens de la renaissance (le nom de Gian Lorenzo Bernini, dit Le Bernin, ayant un temps été envisagé).



Le lecteur plonge dans plus de 300 pages à la forte personnalité narrative. À de nombreuses reprises, Laird & Eastman ont expliqué que leur processus de création était collaboratif et qu'ils mettaient un point d'honneur à ce que l'un comme l'autre participent à chaque page à la fois au scénario et aux dessins. Ainsi chaque planche faisait la navette de l'un à l'autre, au point qu'il n'est pas possible de savoir qui a dessiné quoi. À première vue, le lecteur est frappé par l'emploi des trames mécanographiées. Chaque page, chaque case est habillée par des trames découpées en formes diverses. De ce fait, ce comics n'est pas en simple noir & blanc, ou même avec des zones de gris. Il est en noir & blanc avec des ombres et des textures réalisées à l'aide de trames noires ou grises, apposées sur les formes délimitées par les contours encrés, ou sur les fonds de case.



La qualité de la reprographie est élevée, et les trames sont bien reproduites sans effet de moirage. Le lecteur regarde des dessins avec une solide consistance du fait de la présence de ces trames. Du point de vue du dessin des personnages ou des décors, il peut voir l'influence de Richard Corben, dans l'approche de la représentation, pour des visages un peu grossiers, des plastiques un peu massives, ou encore des décors travaillés. Le travail des 2 artistes en devient un peu paradoxal en ce sens que le lecteur peut croire à la réalité des 4 tortues, leur visage simplifié, leurs émotions, la texture de leur peau ou encore celle de leur carapace. Mais à côté d'eux, les êtres humains (peu nombreux, entre les extraterrestres et les robots) semblent peu réalistes, peu crédibles (avec une anatomie parfois mal finie), et des visages grossièrement dessinés.



Par contre Eastman & Laird fournissent un travail conséquent pour donner de la substance à leurs arrière-plans et à leurs décors. Même sous les couches de trame, le lecteur peut apprécier le rendu usé et un peu sale des rues de New York. Il se retrouve à assister à des combats sur les toits de New York, comme si Daredevil pouvait surgir à tout moment. Il voit l'exigüité du repère souterrain des tortues ou de l'appartement de Casey Jones. Il détaille les ordinateurs haute technologie (de l'époque, à c’est-à-dire des années 1980) du concepteur des Mousers, ou la technologie de science-fiction des tricératops anthropomorphes. Il peut sentir les effluves et les remugles des eaux des égouts. Il peut ressentir la poussière de l'arène dans laquelle les Tortues Ninjas se retrouvent à combattre comme des gladiateurs.



Dans les notes de Kevin Eastman en fin de chaque épisode (pas toujours très éclairantes ou très élaborées), il revendique également l'influence de Jack Kirby, et plus particulièrement de sa série Kamandi. Les artistes reprennent en particulier le principe d'un dessin en double page, occupant les pages 2 & 3 de chaque épisode (sauf pour le numéro de Raphael), qui en met plein la vue au lecteur. Effectivement, ils ne s'économisent pas dans ces compositions : les 4 tortues bondissant vers le lecteur toutes armes en avant, Raphael se jetant sur Michelangelo dans le salon, la vue des cités spatiales interconnectées. Ces artistes ont donc le sens du spectacle.



Au fil des épisodes Eastman et Laird se lance des défis narratifs visuels dans lesquels ils se font plaisir. Il peut s'agit d'un combat contre une armée de Mousers dans les égouts, d'une incroyable course-poursuite entre un combi Volkswagen et des voitures de police dans l'épisode 3, du long affrontement physique entre Raphael et Casey Jones, de Raphael planqué sur un luminaire dans le bâtiment TCRI (Techno Cosmic Research Institue), d'un combat en plein ciel entre l'aéroglisseur des Tortues et des soldats, ou de ce combat dans l'arène.



Si les personnages humains semblent parfois un peu bâclés, il est indéniable que ces 8 épisode introduisent 4 héros sortant de l'ordinaire, à l'entrain communicatif, respirant la joie de vivre, sans soucis existentiels, avec une bonne humeur au combat. Kevin Eastman & Peter Laird mélangent sans complexe leurs différentes influences, entre ninjas pas très efficaces servant de chair à canon anonyme, sensei sans réelle personnalité, jeune femme agréable et accueillante (sans grande personnalité), justicier urbain peu crédible à la personnalité pas très équilibrée (Casey Jones qui part casser du voyous avec des battes de baseball et des clubs de golf), et extraterrestres plus ou moins belliqueux (avec quelques séquences influencées par Star Wars).



Page après page, le lecteur se laisse gagner par cet entrain, ces aventures débridées, une imagination effervescente, et l'investissement visible des auteurs dans leur création. Les personnages principaux sont originaux et sympathiques, les aventures sont rapides et pleines de péripéties. Certes, les scénaristes utilisent des artifices propres aux récits d'aventure, avec quelques coïncidences bien pratiques, et il apparaît de temps à autre un cliché éculé en termes de situation ou de danger. Finalement, le lecteur passe un moment agréable à lire ou à relire ces aventures rocambolesques, ces tribulations hautes en couleurs, 4 étoiles. En plus il a conscience d'assister à la naissance d'un phénomène de société qui se lit encore avec plaisir plus de 30 ans plus tard, ce qui vaut bien la cinquième étoile. Enfin l'édition d'IDW est parfaite avec ce format plus grand, un papier assez épais pour éviter l'effet de transparence, et des commentaires de Kevin Eastman (un peu avare en anecdote intéressante).
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Les Tortues Ninja - Intégrale, tome 3

Bon dieu ce que j'adore les TMNT !



Je ne vais pas en faire des tartines parce que ce que je n'aime pas raconter une histoire et que je préfère laisser les gens la découvrir.



En gros ce tome est centré sur la prise de pouvoir du clan Foot sur la ville de New York, avec son lot de rebondissements, tout un tas de personnages secondaires et les manigances tout azimut de Shredder.

Une des tortues est manipulée, les autres sont un peu paumées et doivent faire une alliance un peu contre nature pour la sauver.

Tous les clans de Big Apple doivent se ranger au côté des Foot ou en subir les conséquences.

Casey doit lutter pour sa vie mais aussi contre un être proche qui fait un retour fracassant.

Les personnages secondaires sont légions et tous bien traités, des flics ripoux au paumés du coin en passant par les divers mutants. Tout s'enchaîne à merveille et on suit ça avec bonheur.

C'est sombre, tendu, haletant et débordant d'action tout en n'étant pas dépourvu de réflexion et de psychologie des personnages.

Nos quatre tortues sont vraiment reconnaissables, outre la couleur de leur bandeau, à leur caractère vraiment très différents et très bien rendu.



Et bien sûr entre en scène sur la quasi totalité du tome, le merveilleux Mateus Santolouco et punaise ce que c'est bon.



Si vous n'avez pas attaqué les tortues franchement c'est à lire si vous aimez, dans le désordre, les mutants, l'action, le japon médiéval (en tout cas son image en occident), les héros urbains, les sentiments forts, les bonnes histoires et les tortues bien sûr :D
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Teenage Mutant Ninja Turtles : The Last Ronin

Comme beaucoup de gens (je pense) j'ai grandi avec les tortues ninjas à la télévision et j'adorais le dessin animé de la fin des années 90. Je n'avais pas encore passé le cap du comics et si mon frère ne m'avait pas offert ce titre, sans doute ne l'aurais je jamais fait.

Faut dire que j'ai toujours un peu peur de ne pas tout comprendre, d'avoir besoin d'avoir lu d'autres titres pour saisir les implications mais il s'agit bien ici d'un one shot qui vient proposer une conclusion possible à l'histoire des tortues. Une conclusion sombre, dramatique et pourtant il reste une lueur au bout du tunnel... C'est de la belle dystopie maîtrisée de bout en bout, y'a rien à jeter. La nostalgie a fait son œuvre mais elle n'est pas la seule. Si vous avez un jour aimé les tortues, peu importe sous quel format, alors lisez ce comics sans crainte. Vous ne le regretterez pas.
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Les tortues ninja, tome 19 : New York Ville..

Fin du run de Tom Waltz qui aura duré 100 numéros, et on peut dire que la route aura été belle.

Pour ce tome, le grand final, ça part dans tous les sens, avec le titre du bouquin, New York ville en guerre, vous aurez compris ce qu'il se passe.

Mais les camps seront nombreux et on va avoir affaire à beaucoup BEAUCOUP de personnages.

Si le run n'aura pas été exempt de défaut, et ce tome non plus, l'ensemble de la série aura été très sympathique à suivre.
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Teenage Mutant Ninja Turtles : The Last Ronin

The last Ronin fait entre autres références à la série originelle parue dans les années 80. Pourtant elle est incroyablement moderne dans un monde futuriste noir/dystopique. Le récit est épique, poignant, émouvant. 



Le seul bémol est le peu d'envergure de l'ennemi qui est relativement plat. Il n'apporte pas grand chose mais ce n'est pas bien grave car il n'est pas le point central de ce récit.



L'album plaira aux novices qui ont de brèves connaissance des personnages tout comme aux fans  



Info : la première partie d'une préquelle intitulé "The lost year" va paraître dans les prochains jours aux USA.
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Teenage Mutant Ninja Turtles : The Last Ronin

Le dernier survivant de la fratrie des tortues rôde dans l'ombre. Hantée par les fantômes des tragédies passées, la mystérieuse tortue se lance dans une mission désespérée pour venger l'honneur de sa famille disparue.



C’est sombre, c’est dynamique, c’est complet, sans jamais trop en faire. C’est parfait pour découvrir une autre facette des tortues ninja, bien plus mature et plus sombre que la série que l’on regardait tous à l’époque. C’est une histoire plus proche de ce qu’elles étaient au tout début de leur parution.



L’appréciation variera pour chaque lecteur en fonction de sa connaissance de l'univers TMNT, mais en aucun cas, il n'est indispensable d'avoir lu le reste pour apprécier ce tome. Je pense vraiment que n’importe qui peut apprécier cette histoire.



Si je devais quand même trouver un point négatif, ce serait le « grand méchant » qui manque un peu de panache comparé aux ennemis iconiques de l’univers ou comparé à d’autres sagas. On ne peut pas être parfait sur tous les points, je suppose.
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Teenage Mutant Ninja Turtles : The Last Ronin

Résumé :



Dans un futur post apo, après de nombreuses années de conflit, le clan Foot règne sur New-York, les Tortues ne sont plus... Enfin... Il se pourrait qu'il en reste une.

Alors que ses trois frères sont tombés au combat et qu'il s'était exilé pendant seize ans, le dernier survivant de la fratrie revient dans sa ville avec un seul objectif, se venger.



Mon Avis :



Le titre est par beaucoup considéré comme le Dark Knight Returns des Tortues Ninja, et la comparaison est plutôt facile à faire. Mais si personnellement j'ai un peu de mal avec Dark Knight Returns que je trouve un peu trop lourd et très ancré dans son époque, j'ai beaucoup aimé ce Last Ronin.

Lecteur de la série régulière, c'est avec plaisir que je retrouve les personnages tels que je les suis (on se base bien sur la série actuelle pour ce titre).

S'il ne reste qu'une seule tortue, les autres seront également très présentes que ce soit par les nombreux flashbacks ou par un autre procédé habile.

Un récit qui part avec un scénario très simple basé sur une vengeance et qui nous offre bien plus avec une histoire émouvante.

La postface nous apprendra que cette idée de scénario, bien que remise au goût du jour avait été à la base imaginé par Kevin Eastman il y a plus de 30 ans et aurait pu ne jamais voir le jour.

Si cette lecture ravira les fans de la licence, elle pourra également plaire à n'importe qui en tant que one shot.
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Teenage Mutant Ninja Turtles : The Last Ronin

Du grand art ce Last Ronin. Un mélange parfait de tout ce qui a fait la renommée des tortues dans les comics. Une histoire de vengeance maîtrisée parfaitement dans le scénario et dans les dessins (avec plusieurs artistes). Une fin culte qui conclura aussi bien l'ère des tortues ninjas classiques que le run de Tom Waltz.
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Les tortues ninja, tome 16 : Le royaume des..

Si je me suis lancé dans la lecture des tortues ninja, c'est au départ par nostalgie du dessin animé de mon enfance.



Si au fil des différents tomes il y a des hauts et des bas, force est de constater que les hauts sont tout de même plus nombreux.



J'avais eu peur que la fin de Schredder signe également la fin de la série, il n'en est rien.

Les scénaristes nous prouvent qu'ils savent se renouveler et qu'ils ont encore de belles choses à nous proposer.



Si je ne suis pas hyper fan du "panthéon", ce tome 16 est plutôt bon.

Les dessins sont correct mais nous regrettons quand même l'absence de Matteus Santolouco.
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Les tortues ninja, tome 15 : L'invasion des..

À peine rentré de la dimension X que les tortues doivent déjà éviter une catastrophe. Les Tricératons ont débarqué sur la terre. Venu en paix, il vont se faire attaquer lâchement par la Force de Protection de la Terre. Une guerre éclate, les fils de Splinter vont devoir calmer le jeu mais cela s'avère plus compliqué que prévu car une elément majeur va se mettre en travers de leur route.



Ce quinzième tome de la série se lit à 100 à l'heure, très peu de pose dans cet excellent récit ou la tension va être à son comble à tous les niveaux. A visualiser absolument, la galerie d'illustrations en fin d'album qui est magnifique ! 
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Les tortues ninja, tome 13 : Les grands remèdes

Pour lutter face à la chasse aux mutants lancée par le gouvernement, les tortues et les autres mutanimaux vont s'allier une nouvelle fois.



Cette alliance ne sera pas de trop contre la Force de Protection de la Terre et les mercenaires de Dark Water.



Si les tortues se sont éloignées de leur père car elles ne se retrouvaient plus dans ses choix, elles aussi vont peut-être devoir prendre des décisions pas faciles.



Un tome très sympa qui donne un nouvelle direction à la série.
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Les tortues ninja, tome 13 : Les grands remèdes

Nouvelle aventure passionante pour les tortues et surtout les mutanimaux en général. En effet, un course poursuite est lancée. L'ennemie à réussi par un habil stratagème à retourner l'un des leurs contre eux. Leur survie est en jeu ! Un treizième tome plus que réussi pour la série de chez @HiComicsFrance Vivement la suite !
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Teenage Mutant Ninja Turtles : The Last Ronin

C'est la version Tortues Ninjas du Dark Knight de Frank Miller. L'histoire est sympa mais elle est assez prévisible. Ce n'est pas très original même si c'est une histoire de qualité. Je ne suis pas très emballé par le dessin mais cela me convient.



Il y a une suite sous forme de préquelle racontant les aventures du dernier Ronin.
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