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Critiques de Hoon Kim (16)
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En beauté

Plongée dans la littérature sud-coréenne contemporaine, je dois dire que ce court roman m’a laissé perplexe. L’histoire est intéressante : le rapport a la mort, le monde du travail et la société coréenne en générale mais l’écriture de l’auteur est extrêmement crue et il n’épargne pas ses lecteurs. Bien que le roman fasse moins de cent pages, il s’attarde sur des détails extrêmement sordides : les problèmes intestinaux de madame, les problèmes de prostate de monsieur, certaines descriptions d’odeurs vaginales des femmes et j’en passe. J’avoue que je n’ai pas compris le procédé littéraire ici. L’auteur veut-il choquer ses lecteurs ? Les faire réagir face à la mort ? Je suis passée complètement à côté, et je suis contente que ce roman était court car je pense que s’il avait été plus long, je l’aurai abandonné en cours de route. Dommage…
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Le chant des cordes

Nous sommes en Corée au VIe siècle. La guerre fait rage entre différents royaumes, celui de Shilla paraît prendre progressivement avantage sur les autres. Le petit royaume de Gaya se voit grignoter progressivement, village après village. Le roi se meurt, et doit être enterré en compagnie d’un certain nombre de ses sujets vivants. Une demoiselle de compagnie, Ara fuit ce destin terrible la veille de la mort du roi. Le musicien Ureuk doit chanter et danser pendant la cérémonie, il réfléchit à un nouvel instrument de musique qui ferrait revivre tous les villages désertés suite à la guerre.



La matière du roman est très dense, entre histoire, guerre, culture d’une époque lointaine. Entre mythe et réalité. Il y a de très beaux passages, en particulier ceux consacrés à la musique. Mais je trouve qu’après un début très prometteur, cela pêche un peu en ce qui concerne la construction romanesque. Cela passe très vite sur certains épisodes, on a parfois du mal à comprendre, et surtout il n’y a pas de véritable tension dramatique. De même les personnages, leurs motivations et ressentis ne sont souvent qu’effleurés, alors qu’il y avait de quoi faire quelque chose de plus approfondi. Le lecteur doit presque se construire son propre livre. L’ensemble fonctionne finalement pas mal par images. Cela donnerait sans doute un film somptueux, mais en tant que roman c’est un peu frustrant, même si nous faisons malgré tout un beau voyage dans le temps et dans l’espace.
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Le chant des cordes

Royaume coréen de Gaya, 6e siècle. Ureuk, le maître musicien, est chargé de « récolter » le son de tous les villages du royaume; Yaro, le forgeron bouffe à tous les râteliers et vend des armes à tous les camps; Ara, une demoiselle de compagnie du roi mourant, doit être enterrée vivante avec lui; Ibasu, le général surdoué de Shilla, massacre et détruit tout sur son passage.



On est dans un roman historique à la narration assez traditionnelle: on suit quatre personnages permettant de découvrir des points de vue différents. A travers les évènements qu’ils traversent, l’histoire se construit et l’auteur détaille les traditions et les conditions de vie de l’époque. Certains points sont assez choquants, notamment cette tradition consistant à enterrer vivants des sujets du roi pour l’accompagner et le servir dans l’au-delà ou les massacres de prisonniers après les batailles. On est dans un monde violent où la vie, en particulier celle des plus humbles, a peu de valeur aux yeux des puissants.



C’est une lecture qui demande pas mal de concentration (...)
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En beauté

Plus une nouvelle qu’un roman, mais en tout cas une tragi-comédie.



Tragique à bien des égards quand l’auteur décrit les affections et la souffrance de la femme qui va mourir, le désespoir du mari et de leur fille.



Comédie quand on nous décrit les collègues du mari venus au funérarium discuter de la prochaine campagne publicitaire de cosmétiques.



Il y a aussi Chu Eunju dont je n’ai pas très bien cerné le rôle : est-ce l’amour putatif ou platonique du mari ?



Mais cette description de la fin de vie de son épouse est avant tout une déclaration d’amour.



« Sur la photo, ma femme souriait timidement. Il faut que j’interdise par testament l’usage de toute photo où je serais en train de sourire. »



La Corée est toujours aussi insondable pour moi – je continuerai donc à découvrir sa littérature.

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En beauté

J’adore cette maison d’édition et j’adore la littérature asiatique... Alors ça s’annonçait bien!

Hélas, je suis complètement passé à côté de cette lecture... Je n’ai pas compris où était son charme ni son intérêt.

Un homme de 50 ans, en Corée du Sud, doit faire face à la pression de ses responsabilités dans son entreprises en même temps qu’au deuil de sa femme. Dit comme ça, je m’attendais à à peu près tout... Sauf à un roman d’une telle crudité et dénué de sentiments.

C’est cru et creux, plein de vulgarités, l’auteur dépeint l’avancée dans la maladie et le deuil avec un regard très détaché, comme si son personnage principal n’avait plus la force de rien éprouver et avançait comme un automate. Des propos parfois très « dérangeants » comme ce passage où la bouche d’une enfant de deux ans évoque un vagin à ce cinquantenaire... J’ai trouvé intéressant cet abord de funérailles et de la médecine, j’ai passé tout le livre à tout comparer avec « ce qui se fait en France ». J’espère que les médecins de là-bas ne sont pas tous comme celui de ce livre, qui est particulièrement inhumain!! Voilà moins de 100 pages qui m’ont semblé durer une éternité... J’ai failli abandonner environ 10 fois et je ne sais pas comment j’ai finalement tout lu. Mais on ne me reprendra plus à lire cet auteur!

Je ressort le nez du livre mal à l’aise et avec l’impression d’avoir passé un très mauvais moment...
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En beauté

Après de long mois de souffrance et de lutte contre la maladie, une femme vient de mourir. Son mari, directeur commercial d’une entreprise de cosmétiques, doit désormais organiser ses funérailles. Alors qu’il se débat entre son deuil vécu presque comme une libération, il doit faire face à un problème urinaire (il n’arrive plus à vider sa vessie) et surtout doit continuer à gérer ses responsabilités de cadre supérieur. Le lancement d’une nouvelle campagne publicitaire est en cours et sa présence est indispensable, notamment pour décider du bon slogan à choisir.



Drame tragi-comique, En beauté est un roman court (moins de 100 pages) mais puissant.

Puissant par sa dimension absurde et presque choquante. C’est le temps du deuil mais le temps n’est pas aux larmes. Les personnages n’ont pas le temps pour ça, engloutis par des considérations plus superficielles, des émotions plus terre à terre.

Le directeur se retrouve écartelé entre l’organisation des funérailles et l’aspect futile d’une campagne de publicité. Une contradiction renforcée par le caractère comique des jeunes cadres de l’entreprise traitant cette campagne, comme une priorité absolue. Les dialogues sont presque risibles , tant ils sont en décalage avec le drame qui vient de se jouer. C’est l’absurdité d’un monde qui se joue entre les vieux stocks à écouler et à revendre sous un autre nom, l’hypocrisie des visiteurs de la veillée funèbre, la lutte pour le meilleur slogan (
Lien : http://grenieralivres.fr/201..
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En beauté

Ce roman très court est un condensé d’émotions. Je peux comprendre que ce récit soit déconcertant car les descriptions sont crues, sans fard voire gênantes. Pourtant, il restitue bien le décalage entre un monde où la beauté est essentielle (même pour le plus intime), et la réalité d'une existence confrontée à la maladie.

3 mondes s’entremêlent dans la vie de cet homme d'affaire : la fin de vie et la mort de sa femme, son amour secret et son travail. Je parlerais peu du déroulement de l'intrigue car c'est extrêmement dense.

La fin de vie est implacablement décrite: le corps peut devenir monstrueux, les symptômes sont inhumains, la malade est littéralement consumée par la maladie. Et l'entourage doit faire face et prendre soin de la personne malgré tout.

L'auteur décrit sans filtre la vacuité et la platitude du monde du travail. En tant qu’occidentale, j'ai été extrêmement choquée par l’indécence de son patron et de ses collègues qui continuent à parler des projets le jour même du décès et lors de l'enterrement. Il n'y a pas de place pour l'émotion, le deuil et le réconfort.

Enfin, cet amour secret et platonique apporte enfin un peu de fraicheur, même s'il est sans espoir, dans la vie de cet homme confronté à l'effondrement de son existence.

Je trouve la plume très juste, elle transmet beaucoup d’émotion. Je ne comprend pas la 4eme de couverture qui parle d'humour dans le récit. Je parlerais plus de cynisme, de prise de distance mais en aucun cas d'humour.

C'est un vrai coup de cœur pour moi

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En beauté

Un roman dense et bref qui débute par la mort de la femme du narrateur suite à une tumeur au cerveau. Le récit se passe quasi en temps réel, on suit heure par heure l'organisation des funérailles, la visite des amis au crématorium et en parallèle, la pression qu'il reçoit de son directeur commercial. Il est beaucoup question du corps ici, le corps malade et mort en opposition au corps presque artificiel et désincarné du monde des cosmétiques et de la pub. Au fil du texte, l'auteur revient sur la maladie de sa femme, sa vie de bureau, sa relation avec sa fille. On apprend aussi qu'il était secrètement amoureux d'une jeune collègue. Un beau récit, sensible.
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Le chant du sabre

« Je ne suis pas un écrivain qui se préoccupe beaucoup de l'histoire ou de la situation actuelle de sa patrie. Je suis un écrivain qui se fait volontiers le porte-parole des individus »



Tels sont les propos de Kim Hoon, lorsqu'il décrit son écriture. Dans ce roman, Kim Hoon nous livre l’existence du symbole de la marine nationale coréenne Yi Sun-shin. La vie de l'amiral Yi Sun-shin, connut pour ses exploits militaires pendant la guerre de sept ans (de 1592 à 1599), opposant la Corée au Japon, nous est présentée de manière romancée.





Statue de Yi Sun-Shin, Gwanghwamun Plaza, Séoul, Corée du Sud.



Basé sur des faits réels, les deux dernières années de la vie de Yi Sun-shin, nous ont ainsi présentées telles un récit autobiographique. Le lecteur suit ainsi son parcourt, adhérent complètement à sa stratégie militaire, tel l'un de ses soldats. Différents aspects historiques y sont respectés, par exemple les noms des différents chefs de guerre des armées coréenne, chinoise ou japonaise ayant réellement existaient ; ainsi que des repères spatio-temporels ou les années coréennes de cette période.



Le récit commence en l'année Jeongyu (1597), date de la seconde invasion japonaise et de la défaite totale de la marine coréenne, à la sortie de prison de Yi Sun-shin et sa réhabilitation en tant que Commandant de la Flotte coréenne. Ce récit est ponctué de nombreuses ellipses, sous forme de flash-back, sur l'année Imjin (1592), mais aussi sur les moments plus intimes de la vie de l'amiral comme la naissance de son troisième fils Yi Myeon ou sa liaison avec une kiseang (geisha coréenne) du nom de Yeojin.



La personnalité de Yi Sun-shin, fils d'un fonctionnaire lettré, mais modeste, issu de la plus pure tradition confucianiste, y est parfaitement respectée. Ainsi ses exploits militaires, sa valeur technique, sa culture, son patriotisme intransigeant, sa droiture et la hauteur de sa pensée y sont fidèlement représentées. Tout ceci est illustré par ses actes, au fil du récit, même si le plus visible reste la phrase finale qu'il met sur chacune des lettres envoyées au roi : « … tant que mon corps sera en vie, les ennemis ne pourront pas nous mépriser », exprimant ainsi sa force, sa valeur et son patriotisme sans faille.



Le titre de cet ouvrage en lui-même, Le Chant du Sabre, annonce un récit empreint de poésie, faisant appel à nos sens. Le chant lexical de la musique est très présent, les sons sont omniprésents que ce soient ceux de la mer ou ceux des canons durant la bataille. Des phrases très ponctuées et d'autres phrases courtes rythment le récit, le rendant vivant et très prenant. La poésie se retrouve même sur les sabres sous la forme de poèmes ou de devises, comme celle du sabre de Yi Sun-shin :



Quand le sabre est passé

Rivières et montagnes

Teintes de sang



La mort est très présente, guerre oblige, le premier chapitre inaugure ce cycle de mort, par d’innombrables corps gisants dans l'eau. Tout au long du récit la mort suit le rythme de la mer, elle arrive par va-et-vient, tel les courants marins, les vagues rapportant les corps des morts sur les plages. Elle est même présente dans les poèmes gravés sur les sabres, comme celui d'un soldat japonais :



Les jours de la jeunesse s'éparpillent

S'envolent au-dessus des ossements

Les pétales des cerisiers en fleurs.



Le temps qui passe tout au long du texte y est ainsi illustré, le récit file en suivant les courants, telle la flotte de Yi Sun-shin. Les souvenirs des batailles passées et de sa vie lui reviennent en mémoire, le récit est ainsi ponctué de nombreux retours en arrière, qui ne sont parfois pas très perceptibles, si bien que le lecteur peut s'y perdre, croyant que l'action suit son cours alors que plus loin on apprend que ces faits se sont passés pensant l'année Imjin (1592), cinq ans auparavant, lors de la première invasion japonaise. Le lecteur suit le récit en se perdant quelques fois dans les souvenirs de ce héros, comme si celui-ci voyait sa vie défilée devant lui par bribes avant le moment inévitable de sa mort.



Illustration de la tradition littéraire coréenne, emplit de poésie et de confucianisme, cette œuvre nous ouvre les portes d'un partie de l'histoire coréenne et des exploits de ce héros national qu'est l'amiral Yi Sun-shin. Entre faits historiques et parties romancées, la poésie rythme ce texte, tel un chant à la gloire de Yi Sun-shin, le Chant de son Sabre, symbole de la puissance de la marine coréenne, mais aussi de la victoire de tout un peuple contre l'envahisseur.
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En beauté

Ce court roman sont l'action se déroule sur trois jours relate les sentiments d'un homme qui vient de perdre sa femme d'un cancer. On suit ses actions, à travers lesquelles on devine son épuisement émotionnel et physique et celles de son entourage, qui manque cruellement d'empathie. Seule sa fille fait preuve de tristesse et d'émotion dans ces 3 jours de deuil, qui font partie de la cérémonie traditionnelle coréenne. L'auteur a un bon style mais ne nous épargne aucun détail de la déchéance physique et de la souffrance de la défunte. Ce roman est donc assez éprouvant à lire...
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En beauté

Une lecture "obligée" pour le cercle Lecteurs que j'anime. Et oui, la Corée est le pays invité au Salon du Livre de Paris 2016 !

Ce roman est très court, une centaine de page. Le narrateur travaille dans une entreprise de cosmétique, sa femme est mourante. La maladie et la mort de sa femme, ses funérailles sont décrites de manière clinique, froide avec énormément de détails assez crus : les descriptions du corps décharné de sa femme ou encore de ses odeurs corporelles sont sans fards aucun.

Malgré cette froideur, cette distance, on ressent en fond l'émotion. Le narrateur est plutôt résigné, il ne se bat pas contre le caractère inéluctable de la mort imminente de sa femme. Mais on sent son attachement, son dévouement pour cette femme. C'est ce qui a sauvé le livre pour moi. (février 2016)
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En beauté

Glauque, c'est le premier mot qui me vient à l'esprit. Heureusement, le livre est court et je n'ai passe qu'une heure et demi de malaise espérant en avoir fini le plus vite possible. Certes les descriptions sont faites sans retenues, c'est bien le souci, mais on ressent surtout de la gène à en lire les, détails. Sa femme est malade, sa femme va mourrir, on a bien compris, mais je n'ai vu aucune émotion dans le discours de ce mari. Pour résumer, je déconseille cette lecture sans âme.
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En beauté

🎏Citation : « Dans une ruelle jouxtant le saune s'élevait un immeuble où, entre un lieu de culte et une boucherie, on voyait au troisième étage s'afficher l'enseigne Urologue.»✨



On est dans un livre qui nous épargne aucun détail d'une lente agonie d'une femme atteinte d'une tumeur au cerveau. Son mari la soutiendra jusqu'à la fin, mais tout en fantasmant étrangement sur une de ses collègues de travail. Bien sûr je ne suis pas étonné de l'avalanche de détails qui nous dérangent et du fait que les obsèques et la crémation sa femme n'est même pas encore fini, mais que son travail lui met déjà la pression pour finir un travail qu'il faut ABSOLUMENT finir dans deux jours.



En Corée comme au Japon le travail passe bien avant tout ils ont encore du mal à prendre des congés pour des vacances et prennent à peine les congés de maternité et d'enterrement. La littérature Coréenne est très crue ils ne cachent aucun fantasme ni aucun détail qui sont très déplacés à nos yeux, donc comme d'habitude ce livre n'en réchappe pas. On a des détails dont on se passerait volontiers nous chers français , tout comme on a des choses qui sont poetisées.



Malgré tout, j'ai beaucoup apprécié ce livre cru, il est tout petit à peine 77 pages, mais le sujet abordé reflète très bien de la société coréenne, qui bien qu'elle évolue, reste centrée sur la beauté, le travail et peu sur la famille. Malgré tout le regard très sombre sur sa propre société et la maladie est très honnête. C'est ce que j'aime dans ce livre l'honnêteté bien qu'elle soit parfois gênante il faut l'admettre. 🦋
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En beauté

Dans En Beauté, Kim Hoon nous offre un récit froid et implacable à l'instar du deuil subit par le narrateur.



En quelques pages on suit les tourments de ce Directeur commercial aspiré par son travail dont les impératifs finissent par prendre le dessus sur les sentiments éprouvés par la perte de sa femme.



Avec des descriptions brutes et sans fards, l'auteur nous dresse une satire du monde du travail en Corée qui occulte l'individu. Glaçant.
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En beauté

Très court roman, qui met en scène un homme et sa femme mourante. On assiste à la maladie, la mort, la perte. Beaucoup de longueurs dans ce livre pourtant si court, notamment lorsque le travail du mari est évoqué. Certains passages sont intéressants mais je ne recommande absolument pas ce livre
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En beauté

La couverture est belle, le résumé intéressant mais je n'ai pas accroché à cette histoire.



J'avais commencé ce livre une première fois mais je l'avais vite abandonné.



La seconde c'est la bonne ! J'ai réussi à le terminer.



Le style ne me correspond pas, je n'ai pas trouvé la touche d'humour annoncée.



Je suis un peu déçue de cette lecture.
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