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4.04/5 (sur 60 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Columbus, Géorgie , le 11/12/1965
Biographie :

Kinley MacGregor est le nom de plume de l'auteure Sherrilyn Kenyon, à la renommée internationale.

Elle grandit dans une très grande pauvreté et se retrouve à un tournant de son existence mère célibataire sans abri.

Elle est aujourd'hui considérée comme l'un des auteurs les plus influents et populaire au monde, et est suivie par des fans partout dans le monde.

Depuis son premier livre, rédigé en 1993, alors qu'elle est encore à l'université, elle a écrit plus de 80 romans, qui sont tous apparus sur la liste de best-sellers du "New York Times".

Sous son nom réel, elle est l'auteure de diverses séries de romans se rattachant à la fois aux genres du roman d'amour anglo-saxon et de la fantasy, dont la série "Le Cercle des immortels" ("Dark-Hunter"). Sous ce nom, elle est également l'auteure d'essais.

Sous le pseudonyme de Kinley MacGregor, elle est l'auteure de plusieurs séries de romances historiques. "Pirate de mes rêves" ("A Pirate of Her Own", 1999) de la série "Les aventuriers des mers" ("Sea Wolves") est son premier romance historique.

Elle a vendu plus de 70 millions d'exemplaires de ses livres à travers le monde et a touché à de nombreux genres, allant du paranormal à la romance historique.

Mère de trois fils, elle vit près de Nashville dans le Tennessee.

site officiel : http://www.sherrilynkenyon.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/AuthorSherrilynKenyon
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Bibliographie de Kinley MacGregor   (14)Voir plus

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Citations et extraits (6) Ajouter une citation
Elle n’avait pas fait trois pas qu’il la rattrapa.
— Donnez-moi cette cruche, grogna-t-il en tentant de la lui reprendre.
— Non, répondit-elle fermement.
— Non ? répéta-t-il.
— Non. Il fit une nouvelle tentative. Nora se contorsionna en cherchant à le contourner, mais elle trébucha, les arrosant de bière tous les deux. Toujours concentré sur son pichet, Ewan ne pensa pas à la retenir. Elle tomba sur lui, l’entraînant dans sa chute, et ils atterrirent sur le sol, leurs membres enchevêtrés. Le corps d’Ewan réagit instantanément au contact de celui de Nora, affalé sur lui. L’espace d’un instant, il fut incapable de bouger. Il ne sentait que ses seins écrasés contre son torse, ses jambes contre les siennes, son souffle sur son visage. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas tenu de femme dans ses bras, longtemps qu’il n’en avait pas vu une aussi belle qui n’appartînt pas à l’un de ses frères. Un puissant besoin l’envahit tandis qu’il fixait ses lèvres entrouvertes. Embrasse-la. Le tumulte dans son entrejambe l’implorait de goûter son corps. Elle était belle et brûlante, et il la désirait au-delà de la raison. Nora retint son souffle en regardant dans les beaux yeux bleus d’Ewan. Elle n’avait jamais approché un homme d’aussi près. Qui eût cru qu’un corps pût être aussi ferme, aussi… viril ? Elle ressentait une envie étrange de se frotter contre lui, de sentir sa dureté avec tout son corps. Il la dévisageait en silence, d’un regard sombre et inquiétant. Aenos s’approcha au petit trot.
— Laissez-moi vous aider, milady. Ewan jura. Lorsque Aenos la hissa debout, elle comprit pourquoi. Ils dégoulinaient tous deux de bière.
— Ne vous inquiétez pas, mon garçon, dit Aenos en riant. Ce n’est pas la bière qui manque chez moi. Ewan se releva lentement.
— Il n’a pas besoin de plus de bière, objecta Nora. Il a besoin d’un bain et d’une bonne nuit de sommeil.
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Son regard, hypnotisant, exprimait une grande intelligence ainsi qu’une certaine réserve. Peu de chose devait échapper à son attention. Si beau soit-il, la dureté de ses traits laissait deviner qu’il souriait rarement. Voire jamais. Il coinça son heaume sous son bras et la détailla de la tête aux pieds, d’un regard qui lui fit monter le feu aux joues. Il était impossible de savoir ce qu’il pensait. Lorsque ses yeux se posèrent sur sa poitrine, elle sentit ses mamelons se durcir.
— Que se passe-t-il ? aboya son père en mettant pied à terre. Elle sursauta en entendant son ton furieux et se tourna vers lui, soulagée de se soustraire aux étranges sensations que le regard du chevalier avait éveillées en elle. Theodore chassa la poule perchée sur son crâne et s’extirpa de l’auge en s’efforçant de conserver un air digne, ce en quoi il échoua lamentablement.
— Ta fille a-t-elle pour habitude d’attaquer tous les hommes qui l’importunent avec une poule ? Le beau chevalier avait parlé d’un ton amusé alors que ses traits ne trahissaient aucune émotion.
— Silence, Ravenswood, grogna son père. Tu ne sais rien de ma fille ni de ses habitudes.
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— Puisque aucun de vous n’admet avoir attaqué le premier, poursuivit le roi, nous nous inspirerons du jugement de Salomon. Si chacun détient un bien cher à l’autre, vous hésiterez peut-être avant de vous lancer dans de nouvelles hostilités.
— Mais… Votre Majesté ? balbutia Hugh d’une voix inquiète. Henry caressa sa barbe auburn.
— Tu as bien une fille, n’est-ce pas, Hugh ?
— Oui, Sire. J’en ai trois. Henry hocha la tête, puis se tourna vers Draven, qui soutint son regard avec insolence.
— Et toi, Draven, qu’as-tu à offrir ?
— J’ai un frère bon à rien dont je cherche à me débarrasser depuis des années. Quelques pas derrière lui, le frère en question piaffa d’indignation. Il eut néanmoins la sagesse de garder le silence devant le roi. Perplexe, Henry réfléchit un instant. Puis il se tourna vers le jeune frère de Draven.
— Dis-nous, Simon, qu’a ton frère de plus cher au monde ? Draven se tourna légèrement vers Simon, qui se tortillait sur place. La tête respectueusement baissée, ce dernier répondit :
— En vérité, Votre Majesté, rien n’est plus important à ses yeux que son honneur. Il mourrait pour le protéger.
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Jamais encore elle n'avait éprouvé de sensation aussi merveilleuse. Et ceci s'ajoutait aux étoiles qui dansaient, à la douce houle de l'océan, à la musique du vent qui caressait son corps, complice des mains de Morgan. Tout était trop beau, trop magique. C'était irréel, une illusion. Le même genre d'illusions qu'elle s'était faites à son sujet avant même de le connaître.
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Je ne veux pas d’enfants. Jamais.
— Pourquoi ? Ses mâchoires se crispèrent. Il ne voulait pas d’enfants car il refusait d’amener dans ce monde une créature sans défense. Il n’y avait qu’à voir le petit Jamie. Son père était mort, et sa sœur et lui étaient à la merci de leurs ennemis. Il ne courrait jamais un tel risque, ne laisserait jamais un enfant souffrir.
— Les hommes comme moi ne font pas d’enfants.
— Les hommes comme… Elle écarquilla les yeux et rougit un peu plus.
— Pardonnez-moi, milord, je n’avais pas compris que vous préfériez la compagnie des hommes. Sin faillit s’étrangler.
— Je vous assure que ce n’est pas le cas, milady. Mes penchants me portent exclusivement vers les femmes.
— Oh, mais vous avez dit…
— Je me suis sûrement mal exprimé.
— Dans ce cas, pourquoi ne voulez-vous pas d’enfants ?
— Ce sujet est clos. Comprenant qu’il ne lui en dirait pas plus, Callie n’insista pas. Peu importait, elle y reviendrait en temps voulu.
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Alors qu’elle le regardait fixement, il ôta son heaume. Son cœur cessa de battre un instant avant de repartir dans un martèlement furieux. Elle n’avait jamais vu un homme aussi beau. Ses yeux étaient d’un bleu si vif qu’ils semblaient luire au milieu d’un visage ciselé encadré par un camail argenté. Quant à ses cheveux, ils devaient être aussi noirs que ses sourcils.
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