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Critiques de Laura Carlin (16)
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L'oeillet de velours

Avis un peu mitigé pour ce roman qui se passe à Londres en 1831, et où une jeune fille qui vit dans les quartiers le plus pauvres de la ville va s’associer avec une fille de bonne famille pour enquêter sur toute une série de disparitions.

Le point positif c’est que l’ambiance de l’époque est vraiment bien décrite, on visualise très bien les quartiers insalubres, les taudis sales, humides et puants tout comme on a plaisir à passer des moments au chaud, devant un bon feu de cheminée dans de belles et grandes demeures, tout en dégustant des tasses de thé.

Ce qui m’a déçu, c’est d’une part la qualité de l’intrigue, car, si on lit régulièrement des polars, on voit très vite les grosses ficelles qui régissent ce roman, et on devine très tôt où l’auteure veut nous emmener.

D’autre part, j’ai trouvé l’aspect sentimental de ce roman beaucoup trop mièvre à mon goût.

Il est question d’amour entre femmes, mais on a l’impression que l’auteure n’a finalement pas vraiment osé aborder totalement le sujet, tout est suggéré et les dialogues et pensées des femmes amoureuses m’ont semblé bien timides, voire carrément enfantines et ridicules.

Un roman qui permet donc de se distraire en ayant l’impression de voyager dans l’Angleterre des années 1830, mais que j’oublierai vite.
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Un monde rien qu'à toi

"Un monde rien qu'à toi" part d'une idée originale et surtout un concept sympathique : il s'agit de stimuler l'imaginaire des enfants. A partir du monde qui l'entoure, le livre encourage les enfants à observer, reproduire et transfigurer la réalité.

Ce qui pourrait sembler abstrait est très bien expliqué par des exemples concrets, la narratrice montre sa maison qu'elle transforme en maison rêvée. Rien d'extraordinaire, les enfants adorent imaginer, dessiner mais ici le livre se pose comme un outil, presque comme une philosophie de l'évasion. Dans un monde où tout va très vite où tout est donné sans réfléchir, on réapprend à l'enfant à penser et surtout à créer, dessiner un monde rien qu'à soi c'est créer son propre univers d'évasion, rien n'est imposé, un vrai espace de liberté.

Le concept est super, les illustrations ne sont pas toujours très attrayantes... Mais un livre d'activités un peu comme un manuel ou un mode d'emploi pour un accès au rêve immédiat. En tant qu'adulte on a presque envie de s'y mettre aussi.
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L'oeillet de velours

Ma critique sera aussi succincte que ce que ce livre m'a inspiré : c'est à dire, assez pauvre. Si tous les signaux étaient au vert, roman d'enquête et d'époque où le lecteur, à travers le destin déchu d'une jeune personne, se vautre dans la fange londonienne et convole au royaume des crimes crapuleux, les longueurs sentimentales et les descriptions déployées à outrance ont, selon moi, totalement étouffé l'intrigue même du livre qui était pourtant intéressante et usé mon intérêt. Dommage.
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Un monde rien qu'à toi

« Un monde rien qu’à toi » est un très beau « livre d’activités / album » écrit et illustré par Laura Carlin, jeune artiste anglaise. Il est édité par la maison PHAIDON à destination des enfants à partir de 5 ans.

Le format retenu (290×245 cm) permet de visualiser très confortablement les illustrations et le texte. Cela facilite incontestablement l’entrée dans le monde poétique de Laura Carlin.

Celle-ci s’adresse directement à l’enfant dans un langage simple et lui confie avec beaucoup de spontanéité et de vérité des éléments de son environnement, de sa vie intérieure, de sa façon de voir les choses et de les transformer. A l’aide d’illustrations utilisant gouaches, crayons, encres feutres, collages… Elle donne à voir de grands pans de ses rêves, stimule l’imagination de l’enfant, l’encourage à se « lancer » en lui donnant des conseils, des clés afin qu’il s’autorise à prendre des libertés avec le cadre « normal » (Dessiner sa maison idéale, faire revivre des animaux disparus, en inventer d’autres avec des découpages…)

J’ai apprécié, en outre, deux aspects philosophiques développés, mine de rien, dans cet ouvrage :

- la question de l’apparence (une maison sinistre à l’extérieur peut en fait se révéler être un hâve de paix pour les chats.

- l’incitation à représenter la notion de différence qui peut constituer une étape vers l’acceptation de l’Autre (représentation d’êtres humains dans leur diversité)

Ce livre d’activités est extrêmement riche. Il est fondé sur un concept pédagogique original (Lire et Faire). A l’approche des fêtes, il mérite que le Père Noël en dépose un exemplaire dans chaque petit soulier le 24 décembre au soir.

Merci à Babelio et aux Editions PHAIDON (masse critique) de m’avoir fait découvrir cet ouvrage que je vais sans nul doute utiliser avec mes petits-enfants. Je le conseille également à tous mes collègues professeurs des écoles.

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Un monde rien qu'à toi

Tout d'abord, merci aux Editions Phaidon et à Babelio pour cette découverte, puisque j'ai reçu ce livre dans le cadre de Masse critique.



J'ai été plutôt surprise par cet ouvrage assez innovant et original à mon goût. Il faut le voir comme un prétexte pour encourager les enfants à créer et à pratiquer les arts plastiques. Au fil des pages, l'auteur, en s'adressant directement au lecteur, propose de dessiner, ou plutôt d'illustrer et de créer son propre monde... comme par exemple sa "maison idéale", ou encore les activités qu'il voudrait faire à l'école, ou des animaux imaginaires, etc...

Côté graphisme, il est aussi très bien pensé, avec des dessins, des collages et des peintures qui pourraient avoir été faits par un enfant. Aucun complexe à avoir donc! (l'auteur évoque même à un moment que ses dessins ne sont pas toujours compris, et que justement elle en profite pour créer son Monde rien qu'à elle)



Il ne faut donc pas voir ce livre comme un livre d'histoire à raconter le soir avant d'aller dormir, sous peine de voir l'heure du coucher s'allonger considérablement! En revanche, il se révèle parfait pour accompagner un moment créatif avec dessin, découpage, peinture, ou autres (puisqu'il faut laisser libre cours à son imagination!).



Testé avec des enfants de 5 ans et demi, il a été bien accueilli. Ils se sont prêtés au jeu avec envie et ont passé un bon moment à dessiner! Il fallait cependant les accompagner un peu et changer assez souvent d'activité en lisant la suite de l'histoire, mais c'est aussi l'intérêt et l'avantage de ce livre.

A découvrir donc!
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L'oeillet de velours

J’ai aimé ces deux personnages féminins, si différents et pourtant si complémentaires. Hester vit dans les bas-fonds de Londres, les quartiers les plus pauvres et les plus dangereux de la ville, ce qui lui a appris la persévérance et le courage… Quand elle croise accidentellement la route de la famille Brock, elle n’hésite pas longtemps à accepter leur offre avec l’espoir d’une vie meilleure. Elle va alors faire la rencontre de Rebekah, qui va se charger de son éducation. Rebekah est une magnifique femme très mystérieuse, qui cache une réelle émotivité derrière un premier aspect plutôt dur et froid.



Au cours de l’éducation d’Hester, les deux femmes vont se rapprocher et s’interroger de plus en plus sur les inquiétantes disparitions qui s’accumulent dans Londres. Inquiètes pour leurs proches, elles vont mener une enquête qui va les amener à prendre des risques énormes mais aussi à se découvrir mutuellement une vraie complicité.



Moi qui ne suit pas une habituée des romans historiques, l’auteure a réussi tout de même à me transporter sans aucun problème dans ce Londres du XIXème siècle, jusqu’à presque ressentir les odeurs de l’humidité ambiante. L’intrigue est superbement menée, complexe, sombre, avec des rebondissements qui rendent cette lecture intense et difficile à lâcher. Et le fond de romance en arrière-plan apporte juste ce qu’il faut de douceur dans cet univers lugubre.



Bref, j’ai beaucoup aimé et je n’hésiterai pas à retenter l’historique grâce à ce premier essai concluant !
Lien : http://romancesisters.e-mons..
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L'oeillet de velours

J'ai aimé l'écriture de Laura Carlin et l'atmosphère qu'elle a créé. Elle a un style qui retient notre attention et elle parvient à mettre une quantité impressionnante de détails dans son récit, si bien qu’on est complètement immergé dans son univers.
Lien : https://www.sariahlit.com/20..
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L'oeillet de velours

1831: Dans les bas-fonds de Londres, des disparitions inquiétantes …Hester par un sale coup du sort a échoué dans ces lieux putrides et cherche par tous les moyens à s’en extirper. Mais comment se sortir de la misère, de la faim, de la violence? Quelle solution s’offre à Hester qui jour après jour part à la recherche d’un cousin qui pourrait l’aider.



Par un concours de circonstances ( que je ne vous spoile pas 😉 ) Hester fait la rencontre d’une famille aisée : Calder Brocks, jeune médecin et son énigmatique soeur Rebekah.



D’abord méfiantes l’une de l’autre Hester & Rebekah vont peu à peu se comprendre et s’interroger sur ces disparitions. De corps en corps, elles vont découvrir un monde sombre et sulfureux qui ne les laissera pas indemnes.



Mon avis:



Si vous lisez régulièrement ce blog, ( ce que je ne doute pas :D) vous connaissez mon amour pour l’époque victorienne. J’ai été servi avec ce roman historique gothique en diable. L’écriture est enlevée, l’énigme suffisamment intrigante et puis l’évolution des relations entre Hester & Rebekah assez bien menées.
Lien : https://lesvoyagesinterieurs..
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Un monde rien qu'à toi

Ici, l'imagination est au pouvoir et... Waouh, ça décoiffe ! Quelle liberté, quelle profusion, tant dans les idées que dans les techniques utilisées ! Un papa-paille, un petit gamin qui va au lit dans une boîte d'allumettes, une chambre en forme de girafe, un réveil-vol-d'oiseaux... Je suis retombée en enfance en me rappelant plein de "mondes" que j'avais inventés et dans lesquels je jouais, à défaut de les dessiner.

Cet album est une très belle illustration de la liberté intérieure qu'apporte une pratique artistique.
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L'oeillet de velours

Une découverte sympathique que ce roman policier teinté de romance.

Hester, jeune fille orpheline, vit dans la crasse des bas quartiers de Londres. Un jour, par le hasard, elle se retrouve chez les Brock, et plus particulièrement sous l'aile distante de Rebekah, vieille fille mystérieuse. Toutes deux vont se lier d'amitié pour résoudre une sombre affaire de disparitions.



J'ai lu le roman assez vite malgré son nombre de pages conséquent. Les évènements s'enchaînent bien, la tension est palpable du début à la fin de notre enquête et, même si je l'ai trouvée rapide, la romance reste cohérente et plutôt bien développée. Hester est une héroïne agréable à suivre, quoiqu'un peu insipide, très soumise à Rebekah et assez naïve. Rebekah en revanche donne un peu plus de couleurs à l'histoire. Plus âgée, plus érudite, elle donne au duo ce petit plus qui le rend attachant.



L'auteure arrive à nous dépeindre un Londres bien loin de la carte postale d'époque, avec ses quartiers pauvres, sa criminalité, sa violence et ses dangers. Un décor qui contraste fort avec la campagne anglaise dans laquelle sont établis les Brock. Rien ne donne envie de s'y promener, et l'ambiance en devient d'autant plus pesante.



Malheureusement, si l'intrigue tient bien jusqu'à la résolution de l'enquête, j'ai trouvé que la fin n'était pas à la hauteur. Le plot twist a tout de prévisible, et le dénouement final est attendu. Une fin donc sans surprise, assez fade, qui gâche un peu mon impression globale de l'oeuvre.
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L'oeillet de velours

L’œillet de velours est un roman historique qui a pour cadre l’Angleterre du XIXème siècle. Hester, jeune femme orpheline, a reçu une éducation enfant, mais vit comme une indigente dans la misère de Londres depuis la mort de ses parents. Alors qu’elle est victime d’un accident, elle est prise en charge par Calder, un médecin qui souhaite mener avec elle une expérience.



Je n’ai pas réussi à apprécier ce récit, très inégal dans sa narration. La première partie, qui s’étend jusqu’à ce que Hester quitte Waterford, est prévisible, très lente et pleine de détails inutiles que j’ai survolés pour la plupart. L’enquête, en revanche, est trop rapide. Les évènements s’enchaînent en l’espace de quelques jours (quand personne ne semblait pressé jusque-là), chaque chapitre apporte son lot de rebondissements (un peu plus inattendus, certes, mais au point de m’y perdre parfois, notamment dans les nombreux liens qui se dévoilent entre les personnages) et il n’y a aucun temps mort, comme s’il fallait soudain toujours être en mouvement ou faire quelque chose.



Les héroïnes m’ont laissée indifférente, j’avais au mieux envie de les secouer en leur disant de prendre des décisions sensées, pour une fois, au lieu de se comporter de manière stupide. Et par stupide, je pense surtout au plan de Rebekah. Pourquoi décide-t-elle, sur un coup de tête, d’exiler Hester ? Pourquoi n’a-t-elle pas communiqué avec elle ? Pourquoi cette stratégie sortie de nulle part qui ne pouvait amener qu’à des problèmes ?



De même, la relation qu’elle entretient avec Hester m’a arrachée plus d’un froncement de sourcils. Leurs sentiments passent du dédain à la pâmoison en l’espace de quelques paragraphes et sont évoqués avec la finesse d’un rhinocéros en pleine charge, malgré quoi il faut presque attendre la fin pour que leurs rapports évoluent.



L’homosexualité en elle-même est très mal exploitée, je trouve. À aucun moment je n’ai eu le sentiment qu’Hester était freinée par le fait d’être amoureuse d’une femme (ce qui ne devait pourtant pas être anodin au point d’en faire abstraction à l’époque), son unique préoccupation étant la différence de classe qui la sépare de Rebekah. Quant à cette dernière, avec toutes les rumeurs qui courent sur ses servantes, je m’attendais à ce qu’elle ait déjà exploré un minimum sa sexualité, ou au moins qu’elle en soit consciente, mais non.



Et cette fin… J’ai tellement levé les yeux au ciel qu’ils ont dû faire un tour complet dans leurs orbites. S’il y a bien une chose que je déteste plus que les happy end, c’est CE genre de happy end en particulier. En quoi était-ce utile de mettre de la tragédie pour cracher dessus un chapitre plus tard et que tout le monde, il soit beau, tout le monde il soit content ?



Je ne dirai pas que ce roman est une déception, parce que je n’en attendais rien, mais je ne mettrai pas longtemps à l’oublier. Son rythme est vraiment bancal, entre trop et pas assez, et les éléments qui auraient pu être intéressants n’ont pas été suffisamment développés à mon goût. Une lecture que je ne recommande pas.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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L'oeillet de velours

Je n'ai jamais eu autant de mal à finir un livre (je mets d'ailleurs une étoile car je n'ai pas abandonné ahah).

Pourtant, en lisant les critiques, j'étais persuadée que ça allait me plaire : un mélange entre un roman historique et un polar, quoi de mieux ?

Mais c'était plat et ridicule. L'histoire était mal ficelée, prévisible, la romance était absurde et pas du tout convaincante, bref je n'ai pas du tout aimé...



Je n'ai même pas envie de chercher un côté positif car même le style d'écriture ne m'a pas plu (c'est peut être la traduction française, aucune idée).



Bref, vu que les commentaires sont mitigés, je pense que vous devez essayer pour vous faire votre propre idée...
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L'oeillet de velours

J ai trouvé ce roman un peu lourd.
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L'oeillet de velours

Si l'histoire commence de manière rythmée sur les premiers chapitres, celle-ci s'embourbe rapidement dans la psychologie de l'héroïne orpheline, Hester, et de ses sentiments naissants et ambigus envers sa préceptrice Rebecca. Le récit ne reprend du rythme et un souffle de suspense qu'aux deux-tiers du roman, à l'instant où l'intrigue des disparitions revient au premier plan. Un roman sympathique à lire mais qui souffre de quelques longueurs au niveau de l'intrigue.
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L'oeillet de velours

J’aime les romans historiques, pourtant je n’en lis que trop peu, alors, ayant eu l’occasion de découvrir celui-ci, impossible de passer à côté ! Mais ce n’est pas qu’un roman historique, il y a un mélange d’historique, de romance, un peu de thriller également pour parfaire le tout dans un Londres sombre.

Richesse, pauvreté, secrets, misères, atrocités, manipulation, machination, voici ce qui vous attend avec L’œillet de velours, mais un peu d’amour vient égayer le tout, un rayon de soleil dans toute cette noirceur que nous offre le Londres dans lequel Laura Carlin nous plonge sans nous ménager.

Ce roman est littéralement porté par la genre féminine, Hester et Rebekah, deux femmes que le monde de naissance opposent, pourtant leurs chemins vont se croiser un beau jour. Ces deux femmes vont faire face à l’horreur dont l’homme peut se rendre coupable.

Je vais être honnête avec vous, je ne pensais pas que ce roman serait prenant à ce point, que l’intrigue serait à ce point sombre, que je ne pourrais me détacher de mon livre. Pour tout vous dire, plus de 500 pages et je n’en ai pourtant fait qu’une bouchée, littéralement. Je me suis sentie complètement dans l’histoire à vouloir découvrir la vérité moi aussi, tout comme nos deux héroïnes. J’avais cependant un avantage sur elles, j’étais bien au chaud chez moi alors qu’elles se débâtaient dans la gadoue et les ruelles sombres.

Pour moi, la force de ce roman, en plus de l’intrigue bien ficelée et très prenante, c’est qu’il se repose sur la gente féminine, trop peu mise en avant dans ce genre de littérature qui est principalement dirigée par le monde masculin, là où les hommes ont tout pouvoirs. J’ai frissonné, j’ai eu des hauts le cœur, j’ai tremblé, j’ai carrément flippé à un moment, j’ai vécu le désespoir à certains moment comme si j’y étais. Mais j’ai également eu des étoiles au fond des yeux lors de certaines révélations.

L’ensemble est juste sublime, je suis tombée sous le charme de la plume de Laura Carlin qui a réussi à me retenir dans son univers jusqu’à la fin sans qu’à aucun moment je ne ressente l’envie de faire une pause durant ma lecture. En peu de mot mon avis sur ce roman pourrait simplement être : foncez sur cette petite merveille !
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L'oeillet de velours

En bref, L’oeillet de velours s’avère une excellente surprise. L’époque victorienne se pose dans un écrin sublime porté par des personnages féminins exceptionnels, complémentaires, charismatiques. Londres devient le ballet d’une enquête sombre, intrigante et sympathique à souhait. Un roman gothique brillant.
Lien : https://www.newkidsonthegeek..
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