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Citations de Laurel Geiss (18)


« Son esprit commençait à divaguer et à s'évader sur la voie des rêves quand brusquement, la voix grave et forte de Ben la tira violemment de son demi-sommeil. — Putain! Mais qu'est-ce qu'il fait ce con ! Ouvrant les yeux dans un sursaut, l'esprit et les sens subitement en alerte, Emma ne put ignorer les deux phares aveuglants qui leur fonçaient droit dessus. Son cœur s'emballa de plus belle. Les deux projecteurs agressifs étaient si proches, trop proches. Tout se passa alors très vite. Emma ne cria même pas. Elle n'en eut pas le temps. »
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Coïncidence de la vie, elle était partie après avoir tout perdu, elle tombait sur quelqu’un qui, lui aussi était un abîmé du destin.
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«D'un seul coup, c'est la fin du tunnel, une page qui se tourne, la lumière qui revient quand on ne l'attendait plus.» Guillaume Musso
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"Il est des nôtres...
Il a bu son verre comme les autres" ?

Bon sang, mais pourquoi j'entonne toujours cette chanson débile alors que je n'ai pas bu une seule goutte d'alcool contrairement à mes chers collègues ? marmonné-je en me dirigeant vers les vestiaires.
- Vous partez déjà ? me surprend William notre nouveau Directeur - accessoirement beau comme un Dieu - alors que je tente de m'éclipser en douce.
- Oui... enfin non... enfin j'veux dire pas tout de suite !
Il me regarde perplexe.
- En fait c'est toujours la cohue au moment de partir alors... j'anticipe ! expliqué-je après avoir récupéré mon sac et mon manteau.
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S'il tenait celui qui a commis cette horreur, il ne donnerait pas cher de sa peau. S'il y a bien quelque chose qui Mathias ne supporte pas, c'est que l'on s'attaque à sa famille.
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Mais j'ai tout de même senti une petite pointe de déception dans son regard à l'idée de me voir partir - et comme vous n'avez pas vu le regard en question, vous êtes dans l'incapacité de me contredire.
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Corinne rajouta qu’en général, les femmes n’éliminaient pratiquement que des personnes de leur entourage, proche ou professionnel, alors que les hommes pouvaient s’attaquer à n’importe qui.
Elle continua en mentionnant que les meurtrières et les meurtriers n’avaient radicalement pas les mêmes façons de tuer. Les femmes n’utilisaient quasiment jamais d’arme à feu et privilégiaient les injections létales, le poison ou la suffocation, alors que les hommes pouvaient tout à fait faire un carnage par balle, arme blanche ou tout autre objet contondant.
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Pendant de nombreuses années, les enquêteurs de tous horizons ne pensaient pas qu’une femme pouvait tuer, et encore moins réitérer son geste. Et pourtant… Les serial killeuses les plus connues sont américaines, mais chez nous aussi ce type de profil existe.
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En général, les femmes tuent plutôt des hommes, il me semble. Par pure vengeance ou je ne sais quoi d’autre. Ou alors, nous avons affaire à une épouse trompée qui s’attaque aux maîtresses de son mari. C’est une possibilité.
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— Vous savez ce qu’il y a de pire pour nous dans ces histoires de meurtres en série ?
— Je ne vois pas, mais tu vas nous le dire, répondit Gabriel sur un ton blasé.
— Et bien ce qui me rend malade, c’est que nous ne pouvons rien faire à part attendre sagement qu’une pauvre nana se fasse à son tour torturer et tuer, puis balancer comme une merde, et espérer que ce salopard commette une petite erreur. Si un taré a décidé de continuer sa tournée macabre, il y a une femme dans les environs qui va tôt ou tard croiser sa route et qui est loin de s’attendre à vivre un enfer, et on ne peut strictement rien faire pour lui éviter ça. Ça me rend folle ! s’insurgea Corinne en claquant la paume de sa main sur sa cuisse.
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Poignarder quelqu’un c’est une chose, dans un moment de folie, pourquoi pas, mais le faire en attachant pieds et poings sa victime, il faut un minimum de préméditation, tu ne penses pas ? Et tu oublies la langue coupée ! C’était tout de même sa femme, et la mère de son bébé décédé.
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S’il y avait bien une chose que Loïc détestait dans son boulot, c’étaient ces moments-là. Annoncer le décès d’une personne à un proche n’était jamais une affaire aisée pour les policiers. Beaucoup même le redoutaient. Cela nécessitait d’avoir un certain recul, une distanciation professionnelle, mais malgré tout, en tant qu’être humain, les situations ramenaient très souvent à faire un parallèle avec sa vie personnelle. « Et si c’était à moi qu’on annonçait un truc pareil ? »
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L’acharnement à coups de couteau intervient généralement dans les meurtres passionnels, indiqua le capitaine. Là, ça ne semble pas être le cas. Elle a même peut-être été séquestrée on ne sait où pour y être torturée, puis tuée. Cette femme a-t-elle été choisie par notre homme au hasard ? La connaissait-il ? La réponse à ces questions orientera bien différemment le profil du criminel. 
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La femme avait dû perdre énormément de sang, mais les blessures n’étant pas mortelles, elle aurait pu survivre à une telle attaque. C’était évidemment sans compter le treizième, en plein dans le cœur. Le dernier, fatal, celui qui avait définitivement scellé son sort.
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Pour lui, l’amour au boulot causait bien plus de tort que de bien en général. Mais à ce jour, et depuis bientôt deux ans, les deux policiers prenaient un malin plaisir à faire mentir les statistiques de leur chef.
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Il ne faisait pas bon pour un malfrat se retrouver traqué par cette équipe. « Qui s’y frotte s’y pique », telle était la devise de la brigade criminelle, bien justement illustrée par le chardon de leurs insignes. Les six policiers mettaient un point d’honneur chaque jour à ne pas la faire mentir. Une fois lancés, tous donnaient le meilleur d’eux-mêmes jusqu’au bout.
 
Ce matin-là, bien contents de se retrouver, ils échangèrent accolades et embrassades avant de se raconter leurs vacances passées, tout en dégustant café chaud et croissants. Pour les uns, un excellent moment en famille à la découverte des belles régions françaises, pour les autres, des destinations bien plus exotiques et dépaysantes. La règle d’or pour chacun avait toutefois été la même, le repos et la détente.
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Voir un cadavre était une première pour lui. Il avait bien assisté à l’enterrement de quelques amis bien sûr, ainsi que plusieurs membres de sa famille, mais de lui-même, il ne s’était jamais résolu à se rendre sur leur dépouille avant la fermeture du cercueil, préférant garder en tête un souvenir de la personne de son vivant, une belle image. Là, ce qu’il avait sous les yeux resterait à jamais gravé dans sa mémoire.
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Les badauds, alertés par les sirènes et les gyrophares s'étaient massés en nombre devant l'entrée sécurisée. Plusieurs policiers municipaux essayaient tant bien que mal de contenir la foule de curieux qui se pressait, avide d'informations à se mettre sous la dent tels des charognards autour d'une vieille carcasse. Les spéculations allaient bon train, car, personne ne sachant ce qui se passait réellement, les hypothèses les plus farfelues étaient évoquées.
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