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Critiques de Laurent Cabrol (15)
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L'Enfant de la Montagne noire



Laurent Cabrol nous met directement dès les deux premières pages dans le vif du sujet. Il nous emmène sur l’enquête d’un petit corps d’enfant ligoté, retrouvé dans les débris d’une usine désaffectée, sur les flans de la Montagne Noire, qui brûla lors d ‘un terrible orage.

Les cinquante pages suivantes, Laurent Cabrol, originaire du Tarn, y décrit la dure vie des paysans, leur dur travail aux champs avec les aléas du temps, ce terrible vent qui rend fou les gens. L’auteur nous narre la vie de Mathilde, la mère d’Agnès. Il explique avec précision, les us et coutumes des paysans dans cette région. La vie du village et de leurs habitants seront importantes à connaître pour comprendre l’enquête, qui démarre immédiatement.

Mathilde avait seize ans quand elle se maria avec un jeune homme de vingt ans, François. Celui-ci lui promit de réaliser les rêves de Mathilde, vivre dans l’opulence, mais François aimait tellement sa ferme et ses animaux que Mathilde en devint jalouse. Mathilde fut enceinte, alors qu’elle ne s’y attendait pas du tout. Elle ne voulait absolument pas de cet enfant. Elle fera tout pour ne pas garder ce bébé, sans succès. L’arrivée d’Agnès ne remplit absolument pas Mathilde de joie. Elle ne lui apporta aucun amour, alors que François était fou de sa fille. Avec l’arrivée de cette enfant, le rêve et l’avenir de Mathilde étaient loin derrière elle, maintenant.

La pauvreté du couple s’installa de plus en plus. Mathilde en voulut tellement à sa fille que tout le village connaissait l’indifférence de cette mère envers sa fille. Mathilde crut encore à sa future vie, en racontant à son mari qu’Albert, le fils de leur propriétaire avait eu des gestes peu convenables envers leur fille. François, furieux, décida qu’ils devaient surveiller de plus près leur fille. La réaction de son mari ne fut pas du tout ce qu’elle espérait.

Le jour de la fête du village, Mathilde emmena sa fille avec elle. Elle lui acheta, même, la poupée dont Agnès rêvait. Au retour, elle laissa Agnès sur le chemin des champs, afin que sa fille puisse rejoindre son père. Ce fut ainsi qu’Agnès disparut ce jour-là. Quand François rentra des champs, celui-ci crut que sa fille était avec sa mère. Mathilde étonnée lui expliqua que l’enfant devait être avec lui. François et Mathilde se mirent, aussitôt, à la recherche de leur fille, sans succès. La village fut au courant et tous cherchèrent Agnès dans les buissons, ravins, fossés, puits et les ruisseaux au pied de la Montagne Noire. L’orage arriva, les recherches s’arrêtèrent, sauf pour François qui continua à battre la campagne en hurlant le nom de sa fille.

Au matin, des gendarmes vinrent leur annoncer l’horrible découverte. Agnès avait péri dans l’incendie de l’usine de laine, non loin de chez eux. Mais ce n’était pas tout, elle avait été ligotée.

Justin Gilles, un journaliste qui connaissait bien la région et les secrets de ses habitants avait participé aux recherches de l’enfant. Il fut présent aussi, lors de la découverte du corps calciné et ligoté. En allant rendre visite à cette famille, il découvrit une femme froide, qui ne comprenait pas pourquoi sa fille était morte.

Les espoirs et les rêves de Mathilde étaient définitivement finis. François, lui, n’arrivait pas à faire le deuil de sa fille, ce qui agaça Mathilde.

A l’enterrement, la famille et tout le village savaient que Mathilde n’avait jamais aimé sa fille. La preuve était qu’elle ne versa aucunes larmes ce jour-là.

Charles Fontaine, juge, démarra aussitôt l’enquête, le lendemain de la disparition de l’enfant, Agnès Bonnet. Il convoqua aussitôt les parents. Il découvrit un père dévasté par la douleur, accusant Albert, le fils de leur propriétaire, et une mère très froide et silencieuse. Celle-ci aurait dû se révolter contre celui qui avait tué son enfant. Elle n’exprimait aucun désarroi. Ce qui surpris le juge Fontaine.

Depuis l’enterrement d’Agnès, François et Mathilde n’avaient plus reparlé de leur fille. François en voulait à sa femme, de ne pas l’avoir surveillée comme c’était prévu. Au village, tous furent sous le choc et tous soupçonnaient tout le monde.

Le juge eut, aussitôt, une belle liste de suspects. Albert, le fils de Gustave, propriétaire de la ferme de François et Mathilde. A vingt cinq ans, celui-ci avait un cerveau d’enfant. Léon Gasteaux, âgé de vingt et un ans, immature, ne cessait de jouer avec les enfants du village, et surtout avec Agnès. Jean Bru et sa femme. Ils avaient perdu leurs deux fils dans un accident de voiture. Jean ne supportait plus de voir des enfants, depuis ce drame.

Albert fut arrêté. La maison de son père, Gustave, fut fouillée. Albert était un passionné de peinture. Les gendarmes découvrirent ses toiles et plus particulièrement l’une d’entre elle qui n’était pas finie. Elle représentait une petite fille rousse, ressemblant à Agnès. Il avoua connaître très bien Agnès. Il la trouva très belle, mais jamais il ne l’aurait tuée. De plus, ce jour-là, il était avec son père. Gustave fut convoqué à son tour. Il confirma les dires de son fils. Et pour cause, c’était l’anniversaire de son fils et celui du décès de sa femme. Gustave avait perdu sa femme en accouchant d’Albert. Il en avait toujours voulu à son fils. Ce jour-là, ils le passèrent tristement ensemble, comme tous les ans. Albert fut relâché. Quand François l’apprit il hurla sa colère. Il voulut aller le tuer de ses propres mains.

Le juge eut vent d’un litige de ruisseau passant devant la ferme de François et devant celle des frères Faye. Il pensa à une vengeance, car l’affaire datait. Chacun revendiquait que ce ruisseau leur appartenait . Ce fameux litige serait-il une vengeance ? Puis, il se concentra sur la famille Bru, et surtout sur Marie, la femme de Jean Bru. Le juge découvrit que Marie était atteinte de troubles obsessionnels compulsifs depuis son enfance. La mort de ses deux fils aurait pu la déséquilibrer, à nouveau. A sa grande surprise, Marie expliqua tout simplement qu’elle voulait une camarade de jeux pour ses fils. Elle lui avoua la douce mort d’Agnès, dont elle s’accusait.

Même si le juge doutait de l’aveu de Marie, il convoqua François et Mathilde pour les en informer. François réagit, aussitôt. Pour lui, c’était impossible que ce soit Marie, c’était Albert le coupable. Le juge scrutait, maintenant, la moindre réaction de Mathilde. Comme il le pensait, elle n’eut aucune réaction de surprise, ni aucune colère envers Marie. Il savait par les villageois et la famille que Mathilde n’avait jamais voulu de son enfant. Et pour cause, il sut qu’elle avait tout fait pour le perdre, lorsqu’elle était enceinte. Pour Charles Fontaine, Marie n’était pas l’assassin. Son intuition lui disait que c’était Mathilde. Mais pourquoi détestait-elle son enfant au point de la tuer ? Cette femme cachait un très lourd secret.



Après avoir lu ‘’Les disparues de la Saint-Jean’’ que j’ai adoré lire, ‘’L’enfant de la Montagne Noire’’ m’a tenu en haleine comme dans son précédent roman. L’histoire est superbement bien écrite, construite, décrite et bien structurée. Apparemment je ne connais pas d’autres roman de cet auteur, grand dommage.

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Les disparues de la Saint-Jean

Isabelle Thévenin , une sauvageonne, disparut le soir de la Saint Jean, en 1957. L’année suivante, Clémence Caillet 17 ans, jeune fille rebelle et indépendante, disparaissait. Deux ans plus tard, en 1960, Adeline Costes, la fille de l’instituteur, disparut aussi à la Saint Jean. Le seul à l’avoir vue pour la dernière fois était Christophe Solal, un très jeune fermier de la région. Aucun lien n’avait été fait entre les deux premières disparitions de l’époque.

Martin Costes, le père d’Adeline signala la disparition de sa fille. Martin était très inquiet, car depuis 1957, deux jeunes filles avaient disparu. Il alla, aussi, en parler à un journaliste, Justin Gilles.

Désormais, Justin se posait le question : « Qui avait fait disparaître ces trois jeunes filles ? » La même personne sûrement !!! Il écrivit un article sur, non pas deux, mais trois disparitions de jeunes filles. Cet article déclencha un véritable scandale. L’assassin rodait encore.

Charles Fontaine reprit la délicate affaire des trois disparues avec l’aide du capitaine Martial Beau. Ce dernier s’était déjà occupé de cette affaire au début de la première disparition. Désormais, Adeline s’ajoutait à la liste des mystérieuses disparitions. Le juge décida de mener plus sérieusement cette enquête. Christophe Solal fut le premier interrogé. Puis, il fit perquisitionner l’usine de laine où Clémence Caillet avait travaillé. Son contre-maître aurait eu une liaison avec Clémence.

La zone de Sidobre fut passée au peigne fin. Une médaille de baptême appartenant à Adeline fut retrouvée. Christophe fut emmené pour un interrogatoire plus poussé. Celle-ci l’aurait simplement repoussé, lorsqu’il lui eut déclaré son amour. Par contre un témoin les aurait vu partir ensemble. Christophe avait avoué le meurtre d’Adeline et des deux autres disparues. Isabelle et Clémence auraient fait des avances à Christophe, puis l’auraient repoussé, ce fut à ce moment-là, qu’il les aurait étranglées et enterrées dans la zone de Sidobre.

Justin Gilles n’en fera pas un scoop, car il pensait que l’arrestation de Christophe était une erreur. Les fouilles continuèrent mais aucun corps ne fut retrouvé. Madeleine n’avait pas l’autorisation de voir son fils. Elle prit un avocat sur Paris.

Pendant ce temps, le contre-maître de l’usine de laine vint voir Justin pour lui avouer qu’il avait eu une liaison avec Clémence. Celle-ci lui avait confié qu’elle voulait aller travailler à Paris. Le contre-maître était sûr que Clémence était à Paris. Puis Isabelle fut découverte morte dans un ravin. L’autopsie conclut que celle-ci était tombée par accident

Le 25 Janvier 1961, ce fut le jour du procès. Tout le village avait de la haine contre Christophe Solal. Une soi-disant autre victime vint témoigner contre Christophe, mais cette fois-ci, il se défendit corps et âmes. Cela enfonça encore plus Christophe. Soudain l’apparition d’un témoin vint bouleverser le procès...

Je ne savais pas du tout que Laurent Cabrol écrivait, et écrivait aussi bien. J’ai été très agréablement surprise de lire ce livre. L’histoire est superbement bien faite, très bien écrite et pourrait se passer dans n’importe quel village de France. De plus, Laurent Cabrol décrit l’intrigue superbement jusqu’à la dernière page de son livre. En tout, Laurent Cabrol a écrit trois romans de ce genre. Ce livre m’a rendue curieuse de lire ses deux autres livres.
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Climat : et si la Terre s'en sortait toute ..

A quoi s'attendre en commençant ce type d'ouvrage : retrouver les arguments ressassés par les médias ou les interviews d'experts, qui pourront vous prouver tout et son contraire avec la même certitude ?…



En fait Laurent Cabrol reprend et explique les différents paramètres qui sont impliqués, soit en tant que témoins soit comme effecteurs du réchauffement, à la fois d'un point de vue analytique et historique, en insistant bien sur le fait que….l'on ne sait pas tout !



Le reproche principal s'adresse aux médias, et à leur absence d'esprit critique.



Gros point négatif : ce livre a été écrit bien avant que ne survienne la catastrophe japonaise, et il est difficile d'accepter sans tiquer l'apologie du nucléaire….
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Les disparues de la Saint-Jean

Au début des années soixante, à quelques années de distance, trois jeunes filles, Isabelle, Clémence et Adeline, disparaissent d’un petit village du Tarn au cours de la nuit de la Saint-Jean. Les gendarmes concluent à des fugues sans conséquence. Mais, Justin Gilles, journaliste localier, est certain que les trois filles ont été assassinées par un tueur en série qui sévirait sur le Causse. Ses articles obligent à relancer l’enquête. Les soupçons se portent alors sur un jeune berger, Christophe Solal, qui est rapidement incarcéré par un juge d’instruction. Est-il le véritable coupable ?

« Les disparues de la Saint-Jean » est un roman policier en milieu rural sans véritable enquêteur à la Maigret, Holmès ou Poirot mais sous la houlette d’un commandant de gendarmerie psychorigide et d’un juge d’instruction frustré. Avec pareils bras cassés, l’erreur judiciaire n’est pas très loin. Parfaitement écrit, ce roman se lit quasiment d’une traite tant l’ambiance campagnarde est bien rendue et le suspens magistralement maintenu. Laurent Cabrol, journaliste météo bien connu, se révèle également romancier de terroir de haut niveau. Ses personnages, excellemment décrits sont tous pétris d’humanité et cette histoire à la chute aussi réussie qu’inattendue est d’une noirceur et d’une réalité qui donne à réfléchir. Quand la justice s’emmêle les pinceaux, les dommages collatéraux s’accumulent.
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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Le crime de la Noël

C'est l'affaire de Bruay-en-Artois de 1972, ce fait divers qui à l’époque fut fortement médiatisé, qui a inspiré Laurent Cabrol pour "le crime de la Noël".

Nous sommes dans le Tarn, à la Vitarelle. Marguerite et Joseph Vidal sont un couple de fermiers, que le destin n’a pas épargnés en leur arrachant leurs fils unique. En dépit de ce coup du sort, Marguerite oublie son chagrin car elle et Joseph élèvent Annie, leur petite-fille que leur a été confiée par leur fils dès la naissance.

Marguerite est comblée de joie par Annie : c’est un vrai garçon manqué qui raffole des travaux de la ferme et qui ne laisse pas sa place pour participer à l’opération de l’abattage des porcs et préparer avec Marguerite la viande qui sera ensuite vendue sur les marchés. Pour Marguerite et Joseph, Annie c’est la joie de vivre retrouvée. Hélas, une fois de plus la fatalité s’acharne sur cette famille. Annie est retrouvée morte sur une route de campagne.

On enquête, on croit enfin trouver le meurtrier : un seul nom vient à l’esprit de toute la population : André Bastide, cet homme qui aurait abusé d’une fillette de 10 ans, il y a plusieurs années.

Pour le juge d’instruction Fortuny, cette affaire va s’avérer beaucoup plus compliquée qu’il ne le prévoyait …

C’est avec ce roman qui est le dernier opus d’une trilogie que j’ai découvert le talent d’écrivain de Laurent Cabrol. Malgré la tragédie du roman, l’auteur y associe le charme de cette région pittoresque qui lui est chère.
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Le crime de la Noël

Un roman "régionaliste" qui ravira les amateurs d'énigmes policières et d'affaires judiciaires complexes, dans un cadre "rétro" : le Tarn, dans les années 1960. Une fillette retrouvée morte au bord d'un chemin, tout près de la propriété d'un riche notable. Son vélo rouge et sa médaille de baptême ont disparu. Il n'en faut pas plus pour éveiller la vindicte populaire de tout un village, en cette époque où les "réseaux sociaux" étaient remplacés par le bouche-à-oreille. Un juge "rouge" et un commissaire peu regardant sur les méthodes d'interrogatoire vont contribuer à brouiller les pistes et ralentir la recherche de la vérité. Un bon moment de lecture, grâce au talent de conteur de Laurent Cabrol, mais aussi un regard empreint de nostalgie sur une "France profonde" depuis longtemps disparue.
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L'Enfant de la Montagne noire

Si l'intrigue est parfois un peu lente, j'ai aimé ce livre. Au début, l'auteur prend le temps de présenter Mathilde. Il faudra bien cela au lecteur pour qu'il puisse savoir quoi penser de la jeune femme autour de laquelle le mystère s'épaissit, au long de l'ouvrage.

Ensuite, le roman traîne un peu lorsque plusieurs personnes sont suspectées du meurtre d'Agnès. C'est lent, et c'est un peu ridicule... La justice est aussi perdue que le lecteur.

D'autre part, je n'ai pas aimé que le livre s'ouvre sur la découverte du cadavre d'Agnès. Cela dévoile tout de suite une partie de l'histoire. C'est d'ailleurs pour ça que je suis allée aussi loin dans mon résumé: je ne dévoile rien, puisque le roman commence comme ça. Bien sûr, Laurent Cabrol n'est pas très long, ensuite, à en venir à la mort d'Agnès, mais je trouve que le prologue ajoute une longueur dont l'auteur aurait pu se passer.



Ces désagréments sont gommés par une intrigue bien menée, aux personnages épais. L'auteur met très bien en évidence ce que cela fait d'être différent dans une petite communauté. Mathilde ne semblait pas déborder d'amour pour sa fille, elle voulait partir pour la ville, alors, les villageois ont fondu sur elle comme les mouches sur une charogne. Ils ont pris n'importe quel prétexte pour déverser leur fiel sur elle.

[...]

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L'Enfant de la Montagne noire

Mathilde a épousé François, métayer comme son père. Elle rêvait en se mariant de sortir de sa condition. Il en a été tout autre. Elle se retrouve emprisonnée dans une condition de paysanne qu'elle déteste.

Un jour sa fille de 5 ans est retrouvée morte, ligotée dans une usine abandonnée.

Qui l'as tuée ?

Deux coupables sont tour à tour désigné.

À l'issue du procès découvrira t-on vraiment qui l'a tuée ?

J'ai adoré le suspens, sans le sang habituel dans ce genre dd livre.

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L'Enfant de la Montagne noire

Un bon roman de terroir, mais pas que ... l'auteur nous enmene dans une intrigue palpitante sur la disparition d'une petite fille. Rumeur, amour, jalousie, tout est la pour alimenter la quête du ravisseur assassin.

C'est un livre que j'ai lu avec plaisir et qui m'a fait passer un bon moment.
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Les disparues de la Saint-Jean

Roman du terroir. Il se déroule dans le Tarn, c'est l'enquête sur le meurtre de 3 jeunes filles. Pas mal
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Les héritières - Tir à l'aveugle - L'enfant de la..

Ce n'est pas un des livre de cette série de sélection que j'ai préféré. Je n'ai lu en entier que 2 histoire: L'enfant de la montagne noir et passion interdite.
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Le crime de la Noël

J'ignorais les talents d'écrivain de Cabrol et ma foi j'ai trouvé son intrigue bien ficellée et prenante. il possède un beau brin de plume, une écriture fluide qui se lit aisément et une imagination qui vous transporte dans un roman noir de par l'histoire des personnages lourde à porter. jusqu'au dernier instant on ne sait qui est qui et qui à tuer. un bon moment en ce qui me concerne.
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Le crime de la Noël

C'est un roman mené comme une enquête criminelle ou judiciaire qui donne l'impression d'être inspiré d'un fait réel à la façon du petit Grégory.

Des faits simples, un meurtre simple et un dénouement simple mais pas simpliste pour autant.

Tout y est : description des personnages, des faits et des lieux qui permettent de projeter.

Agréablement surprise, lecture rapide et captivante.
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L'Enfant de la Montagne noire

L histoire démarre par la découverte du corps d'une enfant... Alors que le titre laisse penser à un roman du terroir. On ne s attend pas à démarrer par une "enquete" ne histoire tragique, poignante. Plein de rebondissements. Un peu lent par moment, mais qui.nous surprend à d autres. On pense connaître le coupable et en fin de compte il n en est rien. J ai lu avec plaisir et j'ai passé un bon moment
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L'Enfant de la Montagne noire

J'aime bien l'écriture de Cabrol et l'énigme est prenante et bien ficelée.
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