La corporation des nautes souhaiterait, en échange, vous racheter à un prix avantageux pour vous, vos terrains sinistrés... et ce afin d'y bâtir de nouveaux entrepôts qu permettront de développer l'activité commerciale de la cité.
Je ne vous cacherai pas que cela va nécessiter beaucoup d'argent. Mais je gage que les autres corporations de nautes, le long du fleuve, seront enclines à nous aider financièrement dans cette entreprise.
L'essor économique de notre cité sera bénéfiques à toutes et à tous !
Grâce à cette série Arelate, le lecteur visualise le passé, y transporte son présent, vit l’Antiquité… Le lecteur devient ainsi le témoin privilégié de ces découvertes.
C'est un grand malheur qui s'est abattu sur vous et sur notre cité d'Arelate.
Grâce à l'intervention courageuse et rapide des vigiles, le pire a été évité et je tiens, devant vous tous ici présents, à les remercier une fois encore.
Personne ici n'ignore que notre cité est située sur un point commercial stratégique, et que nous sommes en plein essor économique, avec toujours plus de marchandises qui y transitent.
La bougie se consumait, relâchant le parfum suave de la baie de laurier... et progressivement, je sentis Kettricken se déployer autour de moi. C'était un contact des plus tenus... je superposai mes sens aux siens. Elle tendit son esprit... elle ne cherchait rien à l'aide de son vif... elle s'apaisait. Son contact était aussi léger qu'une gouttelette de rosée qui glisse sur un fil de toile d'araignée.
- Merci, Hortensis ! Mais ce n'est pas un esclave qui va me faire la morale !
- Hum... Un esclave, certes... mais qui ne quémande pas, lui !
Je suis fatigué d’être mal portant. Mon garçon, je suis fatigué d’être fatigué. (p. 178)