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Citations de Lee Child (301)


Reacher worked on the principal that you should eat when you can so that you won't have to when you can't.
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Reacher said nothing. In his experience, a verbal promise from a politician wasn't worth the paper it was written on.
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_ donne moi une seule raison de me pas te descendre.
_ deux cent six, plutôt répondis jack.
Quoi ?
_ c'est le nombre d, os que tu as dans tout le corps.je pourrais tous te les briser avant que tu portes la main sur moi.
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Une histoire simple. Suivie par l'errance, qui n'était pas si simple. Pas de travail, pas de maison, la bougeotte. On est sans cesse en mouvement. On a que les vêtements sur son dos. Aucun endroit particulier où aller, et tout le temps du monde pour y arriver. Certains trouvent ça difficile à comprendre.
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- Où allez-vous ?
- Ailleurs. Ça dépend souvent de la météo. J'aime avoir chaud. Ça évite d'acheter un manteau.
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- La gentillesse des inconnus. C'est ce qui fait tourner le monde. Un gars a écrit une pièce de théâtre là-dessus.
- Tennessee Williams. Un tramway nommé désir.
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Le gamin à barbichette bondit de son siège, puis se précipita dans l’allée, sur les talons du vieux à l’enveloppe, deux mètres derrière.
Reacher se leva et les suivit tous les deux.
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Le gamin à barbichette imagina un nouveau plan.
Ça lui vint tout d’un coup. Reacher en vit pratiquement les rouages en mouvement à l’arrière de sa tête. Un pactole en perspective. Une série de conclusions tirées d’une suite d’hypothèses. Les gares routières ne sont jamais situées dans la partie la plus agréable des villes. Les sorties donnent sur des rues piteuses, sur l’arrière des bâtiments, parfois sur des terrains vagues, parfois sur des parkings. Il y aurait des angles morts et des trottoirs déserts. Un jeune de vingt ans contre un septuagénaire. Un coup par-derrière, hop, simple agression. Ça arrive tout le temps. Rien de bien compliqué.
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Le vieux à l’enveloppe se leva.
Il hocha la tête, remonta son pantalon, tira sur sa veste. Tout ce que font les vieux quand ils s’apprêtent à descendre d’un car.
Puis il s’avança dans l’allée en traînant les pieds. Pas de sac. Juste lui. Cheveux gris, veste bleue, une poche pleine, une poche vide.
Le gamin à barbichette imagina un nouveau plan.
Ça lui vint tout d’un coup.
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— Où avez-vous envoyé nos deux hommes ?
— Aux Bahamas. Un gars du casino nous doit de l’argent. Il a un bel hôtel. »
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Ses meilleurs gars l’attendaient. Quatre, identiques les uns aux autres, et à lui-même. On n’appartenait pas à la même famille au sens traditionnel du terme, mais mieux encore sans doute, on venait des mêmes villes, villages et prisons du pays d’origine.
Tous le regardèrent. Quatre visages, huit grands yeux, mais une seule question.
À laquelle il répondit :
— Succès total. Dino a gobé toute l’histoire. C’est un sacré imbécile, je peux vous le dire. J’aurais pu lui vendre le pont de Brooklyn. Les deux gars dont j’ai donné le nom sont de l’histoire ancienne. Il mettra un jour à réorganiser ses opérations. La chance frappe à la porte, les amis. Nous avons environ vingt-quatre heures. Ils sont à découvert.
— Ils sont comme ça, les Albanais, déclara son bras droit.
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Gregory sortit du garage de Center Street, puis prit sa voiture pour retourner en lieu sûr, en territoire ukrainien. Ses bureaux se trouvaient à l’arrière d’une compagnie de taxi, en face d’un prêteur sur gages, à côté d’une agence de cautionnement, qui lui appartenaient tous. Il se gara, puis entra. Ses meilleurs gars l’attendaient. Quatre, identiques les uns aux autres, et à lui-même. On n’appartenait pas à la même famille au sens traditionnel du terme, mais mieux encore sans doute, on venait des mêmes villes, villages et prisons du pays d’origine.
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— Notre espion s’est donné beaucoup de mal et a trouvé un autre fichier.
— À savoir ?
— Une liste.
— Une liste de quoi ?
— Des informateurs confidentiels les plus fiables des services de police.
— Et ?
— Il y avait quatre noms sur la liste.
— Et ?
— Deux d’entre eux étaient des gars à moi.
Personne ne dit mot.
Finalement, Dino demanda :
— Qu’avez-vous fait d’eux ?
— Je vous laisse imaginer.
Encore une fois, personne ne dit mot.
Alors Dino demanda :
— Pourquoi me dites-vous ça ? Qu’est-ce que ç’a à voir avec moi ?
— Les deux autres noms sur la liste font partie des vôtres.
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— Que me vaut ce grand plaisir ?
Les bonnes manières sont les bonnes manières.
Gregory répondit :
— Il va bientôt y avoir un nouveau commissaire de police en ville.
— Nous le savons.
— Promu de l’intérieur.
— Nous le savons, répéta Dino.
— Il a promis de sévir, contre nous deux.
— Nous le savons, dit pour la troisième fois Dino.
— Nous avons un espion dans son bureau.
Dino garda le silence. Il l’ignorait.
— Notre espion a trouvé un fichier secret sur un disque dur dans un tiroir, reprit Gregory.
— Quel fichier ?
— Son programme pour sévir contre nous.
— À savoir ?
— Ce n’est pas très détaillé. Par endroits, c’est même extrêmement sommaire. Mais patience. Au fil des jours et des semaines, il assemble de plus en plus de pièces du puzzle. Parce qu’il obtient un flux constant d’informations en interne.
— Par qui ?
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Les négociations avaient été tendues. Il y avait eu de petites guerres de territoire. Et quelques désagréments. Mais finalement un accord avait été trouvé et l’arrangement semblait fonctionner. Chaque camp se tenait à l’écart de l’autre et pendant longtemps il n’y avait eu aucune friction notable entre eux.
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Elle était assez grande pour employer mille deux cents policiers.
Et assez grande aussi pour que le crime organisé y soit divisé en deux clans distincts : l’ouest de la ville dirigé par les Ukrainiens, l’est par les Albanais, avec une ligne de démarcation tracée aussi arbitrairement qu’une circonscription électorale. En principe, cette frontière suivait Center Street, qui courait du nord au sud et partageait la ville en deux, mais en zigzaguant pour inclure ou exclure certains pâtés de maisons et des portions de quartiers bien précis, partout où l’on estimait que les précédents historiques justifiaient des conditions particulières. Les négociations avaient été tendues. Il y avait eu de petites guerres de territoire.
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La ville paraissait petite sur une carte des États-Unis. Juste un point poli, près d’une route rouge étriquée qui s’étirait tel un fil sur à peine plus d’un centimètre de papier sans la moindre trace d’autres localités. Mais vue de l’intérieur et depuis le sol, elle comptait un demi-million d’habitants. Et couvrait plus de deux cent soixante kilomètres carrés. Près de cent cinquante mille familles y résidaient. Elle possédait plus de huit cents hectares de parcs. Dépensait un demi-milliard de dollars par an, et en récoltait presque autant en impôts, taxes et redevances. Elle était assez grande pour employer mille deux cents policiers.
Et assez grande aussi pour que le crime organisé y soit divisé en deux clans distincts : l’ouest de la ville dirigé par les Ukrainiens, l’est par les Albanais, avec une ligne de démarcation tracée aussi arbitrairement qu’une circonscription électorale.
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Dix mille générations lui criaient de se mettre à l'abri, mais la partie avant de son cerveau objectait en s'appuyant sur les progrès de l'humanité, maths, géométrie et probabilités, calculant les chances qu'avaient sept types lambda d'atteindre une cible si petite que des yeux et le haut d'un crâne, à bonne distance, avec des armes de poing, dans la confusion, avec un tir de couverture suffisamment réduit pour que les réflexes ataviques ne prennent pas le dessus, soient mis de côté et laissent l'homme moderne accomplir sa tâche meurtrière sans être dérangé.
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Je ne sais pas encore. Ils jouent les insaisissables. Ils font tout un plat de l'accès aux informations. Le dossier dans lequel elle est mentionnée est apparemment super toxique. De la plus haute importance, la plus grosse affaire au monde. Des conneries de ce genre. Mais la rumeur évoque un énorme scandale qui aurait eu lieu il y a à peu près cinq ans. L'histoire, c'est que Deveraux a fait virer un autre policier militaire des Marines sans raison. La rumeur veut que c'était par jalousie.
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Tout le monde a un plan avant de se prendre un poing dans la figure.
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