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3.68/5 (sur 1689 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Indépendence (Louisiane) , le 20/06/1953
Biographie :

Robert Crais est un écrivain américain de romans policiers.

Il est né dans une famille ouvrière travaillant dans les raffineries de pétrole et la police.

Ingénieur de formation il publie très tôt quelques nouvelles et réalise des films en amateur.

Lorsqu'en 1976 il s'installe à Hollywood, il collabore rapidement à l'écriture de séries télévisées à succès, jusqu'à devenir le scénariste de certaines, comme La Loi de Los Angeles ou Miami Vice.

Au milieu des années 80, il quitte la télévision pour se consacrer à l'écriture de romans policiers.

La plupart de ses romans mettent en scène le duo de détectives privés Elvis Cole et Joe Pike.

Il figure aujourd'hui parmi les grands noms du genre, grâce à des titres comme "Prends garde au toréador" (Prix Anthony 1987), "L.A. Requiem" (Prix Dilys 2000), "Indigo Blues", "Un Ange sans Pitié" ou encore "Mortelle Protection" (Prix Barry 2008 du meilleur thriller).

Un de ses livres, Otages de la peur, fut adapté au cinéma par Florent Siri avec Bruce Willis dans le rôle principal : Otage en 2005.

Il vit aujourd'hui avec sa famille en Californie.
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Cette chienne a le meilleur odorat aérien que j'aie jamais vu. Elle pourrait sentir un pet de mouche dans un ouragan.
Page 169
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Elle croisa le regard de l'homme et y vit l'amour, l'approbation...

Elle se remplit la truffe d'odeur. Quand elle faisait plaisir à l'homme, elle se sentait plus en sécurité, plus heureuse. Alors elle se lova près de lui et se disposa à dormir...

Ils vivaient, mangeaient, jouaient et dormaient ensemble. Ils partageaient leurs émotions...

Ils formaient une meute.
Page 138
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La liberté à tout à chacun une série de choix qui pouvaient se révéler terrifiants. Chaque choix recelait un échec potentiel.
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Budress l'avait averti : pas de dernier regard...

Un chien ce n'est pas un homme. Le contact oculaire ne ferait que renforcer son désir de reformer la meute.

Le chien voit ton cœur dans tes yeux et ce cœur l'attire comme un aimant.
Page 241
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Il avait faim ; il avait aussi envie de faire une séance de yoga et de rappeler Cole :mais il devait avant tout rester en mouvement. Le mouvement était synonyme de progrès , et il avait besoin de progrès pour retrouver les assassins de Franc .
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« Il tendit le bras vers la banquette arrière, attrapa le sac de provisions et le posa sur les genoux de Chen, très à l'étroit à l'avant de la Corvette. Grand et maigre, il rappelait une mante religieuse recroquevillée. » p 191
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- Dites-moi un peu, lui répliquait-je, ce René, c'est du lard et du cochon ou bien on l'a fabriqué avec des pièces de rechange?
Page 98
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Elle ne semblait pas aussi décidé. Elle avait l'air du nageur qui, après avoir sauté du plongeoir, s'aperçoit brusquement que le bassin est vide.
Page 167
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Le garçon toussa brièvement. Enfin, non, il ne toussa pas mais me traita de « con-nard » en camouflant l’insulte derrière un accès de toux. La petite gloussa de plus belle.
— Tu disais ? fis-je en décochant au lascar un regard peu amène.
Le gamin se renfrogna et, traînant les pieds, il passa derrière mon bureau. L’envie paraissait le démanger de barboter quelque chose.
— Sors de là, ordonnai-je.
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Le cadre de la loi n'est autre que la manière dont nous définissons et protégeons la justice. S'il était donné à chacun de définir subjectivement ce qu'est la justice, l'ordre cesserait vite d'exister et toute justice disparaîtrait. Ce serait l'anarchie.
Page 259
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