Lexi Ryan

Ne commettez jamais l'erreur de croire que l'amour suffit en soi, princesse. C'est peut-être vrai dans le Monde d'où vous venez, mais ici, sur ces terres maudites, rien n'est plus éloigné de la vérité.

Ce qu'ils ne comprennent pas, c'est que certains d'entre nous aiment passionnément la nuit et s'y trouvent à leur aise justement parce qu'elle nous permet de discerner clairement la lumière la plus ténue. Tandis qu'eux nient jusqu'à l'existence des ténèbres alors même que le soleil qu'ils vénèrent projette lui-même des ombres !

T'aimer, savoir que tu m'aimes aussi, c'est la plus belle chose qui me soit arrivée. Regretter un bonheur pareil juste parce que tu détournes de moi serait... Ce serait comme regretter d'avoir entrevu les étoiles juste avant de plonger dans la nuit éternelle.

Je fais le vœu que la paix perdure et que tous les faëries de ma Cour connaissent un amour tel que le nôtre.

- T'aimer, savoir que tu m'aimes aussi, c'est la plus belle chose qui me soit arrivée. Regretter un bonheur pareil juste parce que tu te détournes de moi serait... Ce serait comme regretter d'avoir entrevu les étoiles juste avant de plonger dans la nuit éternelle. »

« Personne ne te mérite dans cette Cour, ni même dans ce Monde, Abriella. »

« Ça suffit. Cessez de croire que le monde se porterait mieux sans vous. »

« Que vous en ayez conscience ou non, vous êtes une bénédiction pour cette Cour. Cessez de vous considérer comme une malédiction. »

L'amour n'est rien sans la confiance

J'opine sans quitter Jas des yeux.

«- Vas-y, me dit celle-ci. Ne t'en fais pas pour moi.
- Tu vas me manquer terriblement.
- Rends-moi visite en rêve comme quand on était petites.»

“Ce baiser-là est cru, sauvage, affamé.”

“Je suis l'oiseau de nuit qui vole sous la voûte étoilée. Le cerf-volant détaché qui plane au gré du vent sur la crête des vagues.”

“Mais ce baiser est comme un baume sur mon cœur empli de solitude et de frayeur. ”

C'est un faë. Pire, un unseelie, donc naturellement doté d'une beauté qui n'a d'égale que sa mortelle cruauté.

Abriella, toutes les étoiles du ciel brillent pour vous.

C'est le moment de la journée que je préfère, murmure William.
Je m'appuie contre lui en poussant un soupir d'aise.
- Le coucher du soleil ?
- Non, dit-il en passant la main dans mes cheveux.
Le moment où je suis près de toi.

Je n'essaie pas de te changer, Maggie. J'essaie juste de t'aimer.

Mais ta beauté à toi ? C'est le genre de beauté qui vient du cœur, Maggie. Et la tienne est si éclatante qu'elle irradie au-delà des murs que tu as érigés pour te protéger.

Tu as un très grand cœur, Maggie. Si grand qu'il s'échappe de l'endroit où tu essaies désespérément de le dissimuler.

- Je ne comprends pas comment tu fonctionnes.
- Tant mieux. Comme ça tu ne sauras peut-être pas comment t'y prendre pour me repousser