Lexi Ryan

La guerre fait ressortir le pire chez chacun d'entre nous, commente Jalek

Pour ma part, je ne pratique pas l'espoir. Jamais. L'espoir, on y prend goût et, pour finir, on ne peut plus s'en passer. On repose sur lui. Or, dans un monde aussi cruel, je ne prends pas le risque de me fier à ce genre de béquille.

«Cet endroit me plaît. Il me rappelle une chose que me disait ma mère quand elle m'emmenait dehors la nuit». Une chose que j'avais oubliée jusqu'ici.
«Que vous disait-elle ?
- Que même au plus fort du désespoir, il reste toujours une étincelle d'espoir en moi. Que même si je crois avoir perdu foi en l'avenir, il y a toujours une chose à laquelle je peux croire.»

«Je pensais que ce n'était qu'une légende. Mais c'est vrai ?
- D'après toi d'où naissent les légendes, si ce n'est de la vérité ?»

-Tu es ce qui compte le plus au monde pour moi.Tu ne l'as pas encore compris?

- C'est le moment de la journée que je préfère, murmure William.
Je m'appuie contre lui en poussant un soupir d'aise.
- Le coucher du soleil?
- Non, dit-il en passant la main dans mes cheveux. Le moment où je suis près de toi.

- Tu es gentil avec moi, cela m'effraie. je ne mérite pas ça.
- En effet, tu mérites mieux.

-Je veux ton coeur.Ça ne m'intéresse pas de l'acheter ou de le contrôler.Je veux que tu me le donnes librement.Parce que toi tu possède déjà le mien.Depuis toujours.Et pour toujours.

Maggie est bien trop occupée à se haïr pour aimer quelqu'un.

Ils peuvent m'obliger à me mettre à genoux, mais il n'est pas dit que je courberai l'échine devant leur roi.

-Je pensais à toi.À quel point je désirais te prendre dans la douche.Je m'imaginais caresser chaque centimètre de ta peau de mes mains savonneuses.J'imaginais te faire jouir comme l'autre soir au restaurant,mais cette fois tu pourrais crier aussi fort que tu le voudrais.Tu n'as pas idée à quel point j'ai envie de ça.

Je suis addict et Maggie Thompson est ma drogue.

– Tu m’as vue l’embrasser, dis-je. Pourquoi ne me détestes-tu pas ?

Asher arrête le balancement de ses hanches pendant une fraction de seconde avant de recommencer à danser comme si je n’avais rien dit.

– Je l’ai embrassé. Tu n’as pas vu ? J’étais venue avec toi et je l’ai embrassé.

– Pourquoi veux-tu absolument que je sois en colère contre toi ?

Il passe les doigts sur ma taille, frôle mon ventre de son pouce, passe le bout des doigts sur la courbe de mes hanches.

– Il y a des choses que tu sais, dis-je en m’écartant pour l’obliger à m’écouter. Tu sais certaines choses que personne d’autre ne sait. Que personne d’autre n’a le droit de savoir. Est-ce que tu comprends ça ? Tu ne devrais pas avoir envie d’être avec moi. Tu devrais avoir envie d’être avec quelqu’un… de mieux.

– Je n’en ai rien à foutre de ce qui serait mieux. Je te veux, toi.


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Je pensais que ce n'était qu'une légende. Mais c'est vrai?
- D'après toi, d'où naissent les légendes, si ce n'est de la vérité?

La prochaine fois que tu te déshabilleras pour moi, il te faudra retirer plus que tes vêtements.

- Je t’ai trouvée, mon cœur. Tu peux lâcher prise maintenant. Je t’ai trouvé.

– « N’aies pas peur de te briser, Maggie. Arrête de te cramponner à cette horreur seulement parce qu’elle te permet de reste entière.
Des larmes chaudes s’échappent de mes yeux et me coulent dans les oreilles.
– Et si personne ne peut me réparer?
– Tu n’as pas besoin d’être réparée.
Ses lèvres ébauchent un sourire triste et il écrase une larme de son pouce.
– C’est comme tes mosaïques. La beauté est déjà là, tu ne fais que la découvrir. Lâche prise, chérie.
– J’ai peur de voler en éclats.
Il prend ma main et la porte à ses lèvres qu’il passe tout le long des points de suture qui vont de mon poignet à ma paume.
– Au milieu des éclats, je te trouverai.”

Certains d'entre nous ont le cœur trop dur pour être capable d'aimer vraiment.

J'ai besoin de toi, je ne suis pas complet sans toi.

Maggie, si la vie t'a brisée, je t'aiderai à te reconstruire.