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Citations de LouGane Rose (132)


Je la voulais simple, épurée comme l’idée que je me fais de la liberté. Il me l’a tatouée en bas des reins, prenant son envol juste au-dessus des dunes que dessinent mes fesses rondes.
Je ris en pensant à la crise cardiaque que va faire mon père en le découvrant. Mais c’est bien fait, il n’avait qu’à pas m’entraîner dans ce traquenard l’autre soir, chez son boss. C’était il y a quinze jours déjà, mais oui, je suis rancunière, c’est l’une de mes innombrables qualités d’enfant unique et pourrie gâtée ! Et puis il faut rendre à César ce qui appartient à César, c’est cette soirée de merde qui a payé cette douloureuse œuvre d’art qui repose dorénavant, à vie, près de mon séant. Deux cents dollars, je les ai amplement mérités : il m’a fallu supporter « Collant » et « Crétin » pendant plusieurs heures, quand même ! Ouais, c’est comme ça que je les surnomme depuis cette fameuse soirée mortelle. Enfin, Collant a aussi obtenu le surnom de Canon, mais uniquement quand je suis bien lunée.
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Je suis bouche bée devant cette vision parfaite de la beauté féminine, dont la bouche déverse paradoxalement des flots de boue. Et je déteste qu’on me traite de « fils à papa », avec mépris de surcroît ; j’ai bossé comme un fou pour être digne de mon père et de ses attentes. Être son fils n’est pas une insulte comme le sous-entend cette Willow agaçante, je ne la laisserai pas faire.
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Je comprends pourquoi papa m’a demandé d’aider ce pauvre nase. Il faut que je récupère son attention pour la libérer de ce crétin. Non en fait, je veux juste qu’elle me regarde, moi, et pas lui.
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Je m’incline toujours face à la volonté de mon père, j’ai été éduqué ainsi. Formaté pour apprendre et exécuter ce que l’on m’enseigne, jusqu’au jour où je tiendrai les rênes et ordonnerait enfin, à mon tour. À la tête d’un empire, j’oublierai l’amertume de ces moments d’obédience.
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Je serre les dents pour ne pas crier trop fort. Je suis figé, agacé, je me sens usurpé. Pourtant cette nana, je ne la connais pas, mais c’est plus fort que moi, je veux avoir le droit de la revendiquer, moi aussi, de tenter ma chance. Non, pas ma chance, elle est à moi, cette bombe c’est de la dynamite, ma dynamite, je le sais, je le sens !
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Malgré son apparence de jeune fille de bonne famille, cette nana est une tigresse. Ses yeux, sa bouche pleine de promesses à peine suggérées, ses taches de rousseur qui envahissent sa peau laiteuse, ses formes anatomiques… Elle est plus que canon.
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J’ai pour consigne de garder mes distances car la « belle » est pour Angel. Je ne sais pas ce que mon père entendait exactement par là lorsqu’il m’a demandé de servir d’entremetteur entre le débile et la nana, mais pour avoir vu ce dernier à l’œuvre, je sais qu’en matière de drague il a, sans l’ombre d’un doute, besoin d’un coup de pouce.
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J’aime excessivement la vie et je la savoure avec lucidité, les pieds sur terre, comme me l’a si bien enseigné mon mentor : conquérir le monde pour le diriger. Tenir les rênes de sa liberté : celle de choisir, acheter, gouverner, imposer, ordonner… Alors je me défonce un peu à l’alcool et beaucoup au sexe, mais ne perds jamais des yeux mon objectif : la réussite !
Mon père ne m’a donné qu’un seul conseil concernant ma vie privée : m’amuser, butiner, et une fois marié, ne jamais avouer l’avoir fait ! Et surtout continuer à baiser, et pas forcément sa femme ! Mais je suis loin encore de cette dernière étape : croyez-moi, les barreaux du mariage ne sont pas près de subtiliser ma liberté !
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J’adore la finance, les chiffres sont mon dada. Mais attention, je ne suis pas un geek binoclard qui passe ses soirées la tête dans ses dossiers. Non, j’adore m’éclater, faire la fiesta, me bourrer la gueule et surtout baiser : à deux, trois ou quatre, je n’ai pas de limites, surtout en matière de chattes ! Dans la vie non plus d’ailleurs ; l’adrénaline, c’est ma coke. Je ne touche pas à cette dernière, les seuls plaisirs que je me refuse sont les paradis artificiels, je tiens trop à mes précieux neurones pour ça…
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En général, les gosses commencent à parler avec deux mots très simples : « maman » et « papa ». Moi, j’ai su dire le premier très vite et presque deux ans plus tard, j’ai réussi à prononcer le second correctement, James. Mais pour en revenir à ma mère, ne dit-on pas que derrière chaque grand homme se cache une femme ?
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Foutu sourire, il me fout dans la merde à chaque fois qu’elle le dégaine. Et ce corps de déesse qu’elle remue pour m’affoler et dont profitent ces voyeurs… Je vais, ce soir encore, devoir péter des nez. Elle les a tous chauffés à blanc, ils sont en rut. Heureusement que je suis ceinture noire de jujitsu brésilien, et maître guerrier de krav maga…
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Plus elle avance, plus mon souffle devient haletant. La limace près de moi semble avoir un espoir, son œil vicieux pétille à l’approche de la jeune femme et sa bouche grande ouverte lui donne l’air de vouloir la bouffer. Mais Sexy se glisse entre nous deux et, tournant le dos au gros dégueulasse, un escarpin en appui sur la barre du tabouret, elle m’enjambe et me chevauche, ses ongles plantés dans ma tignasse brune.
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Ses nibards sont magnifiques : gros, fermes, nobles, presque prétentieux. Le nez en l’air, ils ignorent superbement leur public asservi. Ils pointent effrontément sous le bout de tissu qui les couvre à peine, ne laissant que très peu de place à mon imagination, qui se veut pourtant fertile… Je mords ma lèvre, fortement, pour obliger ma bouche à se fermer. Sa taille est fine, et sans ses talons, qui doivent avoisiner les dix bons centimètres, elle serait beaucoup moins impressionnante que le mètre quatre-vingt qu’elle affiche.
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Ses hanches, à présent, cognent plus fort, plus vite, sur les beats endiablés de la chanson, et mon rythme cardiaque accélère aussi la cadence pour continuer à tanguer avec elle. Son corps ondoie voluptueusement, je tachycarde synchrone. Ses bras, au-dessus de sa tête, volutent sensuellement. Les spectateurs ont cessé de respirer et je vois ces gros porcs bander comme des cochons. Cette poupée semble inconsciente des tempêtes qu’elle provoque autour d’elle. Enfin, elle met un terme à ma douce agonie ; d’un mouvement de tête, sa crinière dorée balaie son dos et son corps pivote. Dans l’envolée, une mèche est venue agripper ses lèvres. Plusieurs cheveux longs et ambrés lui collent sensuellement, au visage et la mèche glissée sur sa bouche entrouverte et pulpeuse, presque boudeuse, refuse de la lâcher. Comme je l’envie… Je déglutis péniblement, de plus en plus à l’étroit dans mon jean. Mon cœur manque de s’arrêter lorsque l’une des bretelles de sa robe glisse le long de son épaule, dévoilant la naissance d’un sein, rond et plein. Ses paupières sont closes et sa tête penche doucement du côté opposé.
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J’humecte mes lèvres, affamé à l’idée de la goûter. Sa petite robe en coton sombre nargue les hommes hypnotisés, caressant son corps à chacun de ses mouvements, remontant un peu plus le long de ses cuisses délicieusement galbées, absorbant au passage l’humidité de sa peau.
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est pure folie, et je ne parle pas de ses baisers, qui me rendent si fragile. Il lui suffit de m’effleurer pour que je sente mon corps s'allumer, et lorsqu’il m’entoure de ses grands bras, le monde pourrait s’écrouler que je ne m’en rendrais même pas compte, amoureuse et prête à le suivre au bout du monde pour récupérer le cœur qu’il m’a volé. »
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Mon ami était assis sur le canapé en face de moi et ne me lâchait pas du regard, il était perturbé je pouvais le sentir.

- Elle me plaît, chuchota-t-il, brisant à peine le silence. Il ne souriait pas, il était sérieux. Putain, ce n'était pas un « elle me plaît » du genre « ouais je la baiserai bien » non c'était plutôt un « Hé, je pourrais tomber amoureux de cette nana-là ».

Je secouai la tête « non ».
- Elle me plaît, murmurai-je en le regardant dans les yeux.

Léandre me sourit.
- Come on mec, on sait très bien ce que ça veut dire. Tu ne veux pas t'attacher, alors laisse-la tranquille. Tu n'as pas besoin de l'ajouter à ton palmarès, d'autant qu'on doit vivre en sa compagnie quelques mois. Ne complique pas tout.

- Non, tu ne comprends pas. Elle me plaît vraiment j'te jure! Je ne sais pas pourquoi, ni comment l'expliquer, mais je le ressens au fond de moi; il y a quelque chose qui se passe... vraiment. En plus, ne te fous pas de ma gueule, tu es pire que moi, alors si tu veux parler tableau de chasse…

- Merde Val, tu fais chier! (Le silence s'interposa entre nous quelques instants, puis il reprit.)
Je ne te la laisserais pas mec.

- Moi non plus, Lé, je ne te la laisserais pas.

Il y avait de la tension dans l'air, je crois que c'était la première fois qu'une fille s’immisçait entre nous, c’était surtout la première pour qui nous ressentions ce que nous semblions ressentir… tous les deux en même temps et pour la même nana, une attirance « plus, plus, plus ». Bordel!
Nous restions à nous toiser un moment avant que «Léandre le sage » ne lâche son verdict. C’était le plus âgé de nous deux, de deux petites années seulement, mais il avait toujours été mon idole, je crois que ça lui avait, naturellement, donné le rôle de chef, celui dont on ne discutait pas les décisions, à qui on demandait conseil, qui avait toujours la phrase juste. Il était moins impulsif, plus posé. Son érudition en faisait un leader naturel. Quand Léandre parlait, on l’écoutait, en temps normal, je l’écoutais. Il m'apaisait, me rassurait. Et bon dieu, ce soir je le détestais pour ça.

- Tu sais comment ça va se passer alors ? La règle. On ne touche pas aux filles qui comptent pour l'autre. Elle compte pour nous deux. Problème réglé, on sera amis...tous les trois.

Putain de pacte...
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Peu importe où il me conduit et peu importe qu’il ait remis son masque d’invulnérabilité, j’ai envie d’être avec lui. « Envie, désir, plaisir » des mots effrayants et sales que j’avais bannis de ma vie en même temps que les hommes.
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C’est fou cette capacité qu’ont les enfants de s’adapter aux gens, aux lieux et aux situations. Du moment qu’ils se sentent en sécurité, tout roule pour eux. Et Capucine est déjà très attachée à son père et à moi aussi. Elle respire la joie de vivre, je l’aime tant, est-ce possible si vite?
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Cet homme qui n’a probablement jamais appris à sourire, je l’avais vu rigoler à plusieurs reprises, et le spectacle, croyez-moi est magnifique. Sa petite fille l’a transformé, il semble avoir pris vie à son contact, et sous mes yeux j’ai vu son cœur , en hibernation depuis des années, se réchauffer. Adam s’avère être un homme touchant et prévenant sous la carapace, malgré des défenses impressionnantes.
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