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Critiques de Maïté Bernard (152)
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Ava, tome 1 : Ava préfère les fantômes

j'ai beaucoup aimé ce livre avec des meurtre cela me faisais penser à Agatha christi
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Ava, tome 1 : Ava préfère les fantômes

j'ai beaucoup aimé ce livre avec des meurtre cela me faisais penser à Agatha christi
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Ava, tome 1 : Ava préfère les fantômes

j'ai beaucoup aimé ce livre avec des meurtre cela me faisais penser à Agatha christi
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Ava, tome 1 : Ava préfère les fantômes

j'ai beaucoup aimé ce livre avec des meurtre cela me faisais penser à Agatha christi
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Ava, tome 2 : Ava préfère se battre

Le ton use sans abuser d'un second degré subtil et d'une légère distance suscitant l'humour, qui se raccrochent évidemment à une ambiance que l'on peut qualifier de typiquement anglaise.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..
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Ava, tome 2 : Ava préfère se battre

Ava est de retour sur Jersey où tout ne se déroule pas comme prévu. Plusieurs fantômes n'acceptent pas cette jeune française de quinze ans, alors qu'ils ont plusieurs centaines d'années. Les conseils d'Harald (un fantôme viking de huit cents ans)ou de Cecilia Watson (l'ancienne consolatrice) ne l'aident pas. Cerise sur le gâteau, elle fait connaissance de Marco, un beau jeune homme (vivant). Si elle savait comment s'y prendre avec les garçons, ou les fantômes...



Dans le précédent tome, nous avions laissé Ava partir de Jersey. On apprenait qu'elle s'était fait un ami d'Harald, un fantôme viking quelque peu rustre ainsi que Cecilia Watson, sa tutrice pour devenir la consolatrice des fantômes. On a plaisir à retrouver ses personnages tout en nuances, qui ont toujours quelque chose à vous apprendre, surtout quand on est une jeune fille de quinze ans. C'est bien là le problème d'Ava. Elle a quinze ans et aux yeux des fantômes, ce n'est pas assez. Avec son caractère, Ava ne se laisse pas faire, au point de créer quelques catastrophes diplomatiques. On n'aborde pas les fantômes comme les adolescents de son âge (et vice-versa), surtout quand il est question de les emmener dans l'au-delà.

Si une dizaine de fantômes hantaient le premier livre, il est question ici de plusieurs centaines, éparpillés sur les différentes îles anglo-normandes. Un casse-tête pour notre héroïne qui devrait aller voir tout le monde et résoudre les problèmes.

Avec un premier tome subtilement anglais, Maïté Bernard mettait la barre assez haute pour le deuxième tome. Qu'à cela ne tienne, elle multiplie les péripéties de son héroïne et réussit à nous tenir en haleine. Non seulement, son héroïne réussit à consoler plusieurs fantômes (du meurtre, de l'amour, etc.) de façon non conventionnelle, mais elle redéfinit le rôle d'un consolateur. Elle fait la connaissance de jeunes gens de son âge et se pose des questions sur les relations entre vivants. Et les fantômes ? Ils n'en font qu'à leur tête. Ils sont morts cette année ou il y a plusieurs siècles, ne se laissent pas faire voire menacent la jeune fille. Pire, on découvre que certains ont développé certaines capacités qui pourraient provoquer... La mort.

Si le tempo était "moderato" dans Ava préfère les fantômes, il devient "allegro" dans celui-ci. L'auteure connaît ses personnages, s'amuse avec eux et avec nous.



Un deuxième tome maîtrisé de bout en bout. Maïté n'oublie pas ce qui avait fait le succès du premier livre, ouvre l'univers et nous l'offre de façon généreuse. Franchement ce serait dommage de refuser, n'est-il pas ? En résumé : Des fantômes qui ne font pas "que" peur, une jeune fille de quinze ans qui découvre les responsabilités et l'amour, un viking rustre, mais philosophe. Vous emballez le tout dans un genre policier-fantastique avec cette pointe de british qui nous émerveille et nous agace. Si ces quelques lignes ne vous ont pas convaincu de lire Ava, vous pourrez vous en servir comme guide de Jersey.



AVA PREFERE SE BATTRE

AUTEUR : MAÏTE BERNARD

EDITIONS : SYROS
Lien : http://temps-de-livres.over-..
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Ava, tome 2 : Ava préfère se battre

Après avoir découvert sa véritable nature dans Ava préfère les fantômes, Ava doit maintenant non plus vivre avec ce don encombrant, ce qui était le sujet du précédent livre, mais apprendre à faire son métier de consolatrice, envers et contre tout, et surtout tous.(...)
Lien : http://siletaitencoreunefois..
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Ava, tome 1 : Ava préfère les fantômes

J'ai été un peu déçue par ce livre car je trouve que d'après le résumé et la couverture, il avait l'air vraiment bien. Ce livre est un petit peu enfantin mais je n'ai pas tout compris avec les noms assez compliqués des personnages. Ce roman na pas vraiment de fin, il se finit bizarrement.
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Monsieur Madone

Clémentine est une reporter, qui voyage dans les pays les plus dangereux du monde pour couvrir l’actualité. Mais parfois, pour arrondir les fins de mois, elle joue au paparazzi. Et c’est ainsi qu’elle se retrouve à Versailles, où elle n’avait plus mis les pieds depuis cinq ans. Cinq ans … Cinq ans que Monsieur Madone s’est donné la mort pour ne pas se voir mourir d’un cancer incurable. Cinq ans que l’homme qu’elle aimait est parti et qu’elle doit affronter le monde sans lui.

Une fois le boulot fini, ses pas la mènent à l’ancien appartement de Monsieur Madone et chez ses parents. Elle sonne, tombe dans les bras de la mère d’Hugo, de son père, de sa soeur, … On lui reproche son absence … Et puis, Nicolas, le frère d’Hugo, Monsieur Madone. Et les mots, enfin, sortent, coulent. Et ils réussissent à parler de l’absent.



De Maïté Bernard, j’avais lu Même pas Malte, une enquête du poulpe, dont le titre était un hommage à Marcus Malte. Ici, elle opère dans un tout autre registre et offre un roman tout en pudeur sur le thème du deuil, du suicide, de la perte et de la reconstruction. Publié dans la collection Nouvelles Voix de Pocket, le ton se veut résolument moderne, malgré un sujet intemporel. La jeune narratrice, après s’être enfoncée dans son chagrin, sa colère et son déni, profite de cette occasion inattendue pour se confronter à ses blessures. Curieusement, même si la douleur est toujours présente, la famille de Monsieur Madone va aussi l’aider à les panser. Réussir à enfin parler de sa tristesse, des souvenirs mais aussi d’un possible avenir aide Clémentine à sortir du marasme.



Un joli roman, qui évite de tomber à tout moment dans l’écueil de la facilité ou du larmoyant. Il reste à tout moment plein de pudeur et de tendresse et c’est cela qui m’a plu. Cependant, ce livre ne restera pas longtemps dans ma mémoire car ce n’est pas le genre que j’affectionne le plus et si cela reste une belle lecture, elle ne sort pas du lot.
Lien : http://www.chaplum.com/monsi..
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Monsieur Madone

Clémentine est une reporter, qui voyage dans les pays les plus dangereux du monde pour couvrir l’actualité. Mais parfois, pour arrondir les fins de mois, elle joue au paparazzi. Et c’est ainsi qu’elle se retrouve à Versailles, où elle n’avait plus mis les pieds depuis cinq ans. Cinq ans … Cinq ans que Monsieur Madone s’est donné la mort pour ne pas se voir mourir d’un cancer incurable. Cinq ans que l’homme qu’elle aimait est parti et qu’elle doit affronter le monde sans lui.

Une fois le boulot fini, ses pas la mènent à l’ancien appartement de Monsieur Madone et chez ses parents. Elle sonne, tombe dans les bras de la mère d’Hugo, de son père, de sa soeur, … On lui reproche son absence … Et puis, Nicolas, le frère d’Hugo, Monsieur Madone. Et les mots, enfin, sortent, coulent. Et ils réussissent à parler de l’absent.



De Maïté Bernard, j’avais lu Même pas Malte, une enquête du poulpe, dont le titre était un hommage à Marcus Malte. Ici, elle opère dans un tout autre registre et offre un roman tout en pudeur sur le thème du deuil, du suicide, de la perte et de la reconstruction. Publié dans la collection Nouvelles Voix de Pocket, le ton se veut résolument moderne, malgré un sujet intemporel. La jeune narratrice, après s’être enfoncée dans son chagrin, sa colère et son déni, profite de cette occasion inattendue pour se confronter à ses blessures. Curieusement, même si la douleur est toujours présente, la famille de Monsieur Madone va aussi l’aider à les panser. Réussir à enfin parler de sa tristesse, des souvenirs mais aussi d’un possible avenir aide Clémentine à sortir du marasme.



Un joli roman, qui évite de tomber à tout moment dans l’écueil de la facilité ou du larmoyant. Il reste à tout moment plein de pudeur et de tendresse et c’est cela qui m’a plu. Cependant, ce livre ne restera pas longtemps dans ma mémoire car ce n’est pas le genre que j’affectionne le plus et si cela reste une belle lecture, elle ne sort pas du lot.
Lien : http://www.chaplum.com/monsi..
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Monsieur Madone





Cinq après le suicide d’Hugo, le grand amour de sa vie, Clémentine revient à son ancien appartement. Cinq années où elle a tenté en vain de fuir la douleur en s’investissant encore plus dans son aux quatre coins du monde. Ce retour lui donne l’occasion de revoir la famille d’Hugo et de passer l’après-midi avec Nicolas le frère de son ancien amant.

Sans tomber dans le mélo ou le larmoyant, ce livre est une belle parenthèse qui s’ouvre sur l’amour, la vie et l’optimisme. Hugo, trente-huit ans et médecin, se savait condamné par la maladie. Plutôt que de subir la dégradation inéluctable de son corps jusqu’à la mort, il a préféré mettre fin à ses jours. Lui et Clémentine s’étaient rencontrés à l’étranger au cours de leur travail. Un couple uni par l’amour, la complicité et l’humour. Après son décès, Clémentine est repartie ou a fui.



La suite sur :

http://fibromaman.blogspot.com/2011/08/maite-bernard-monsieur-madone.html
Lien : http://fibromaman.blogspot.c..
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Le Poulpe : Même pas Malte

J'ai donc fait connaissance de Gabriel Lecouvreur, dit le Poulpe (à cause des bras, si j'ai bien compris) et de sa compagne Chéryl.

Sauf que réapparaît dans son horizon proche (très proche) une rousse flamboyante aux yeux verts, d'origine irlandaise (les clichés les plus vieux sont les meilleurs) nommée Brigid Waterford, l'arrière petite fille de Brigid O' Shaughnessy, un personnage du faucon maltais (oui, Hammett, Bogart, )(soupirs...).

Gabriel et Brigid s'étaient rencontrés il y a neuf ans dans le volume intitulé Le vrai Con maltais de Marcus Malte. Ajoutons que le rêve de Brigid est de mettre la main sur un bon paquet d'argent (qui ne lui appartient pas, bien sûr) et de filer à Malte d'abord, en Colombie ensuite.



Reprenons. Les deux complices vont entraîner le lecteur sans temps mort de Paris à l'Espagne puis à Londres, sur les traces de trafiquants d'oeuvres d'art et de faussaires. Sur des airs de flamenco (olé!).

Mais l'important n'est pas l'histoire policière ou leurs recherches (c'est plaisant quand même), c'est le ton du roman, alerte, tout à tout drôle et émouvant. Gabriel et Brigid s'affrontent, se cherchent, ont peur de se livrer.



"Gabriel se raidit. Un souvenir venait de la traverser. cette scène entre Brigid O'Shaughnessy et Sam Spade après les deux premiers meurtres,quand le détective vient dire à la belle qu'elle est 'de première force... de première. Vos yeux surtout, et puis ce trémolo dans la voix...' Bien sûr, le détective était un personnage de fiction, mais l'héroïne était une projection de la Brigid que Dashiell Hammett avait aimée. Que s'était-il passé entre eux pour que l'écrivain imagine une histoire d'amour où les deux héros, manifestement fous l'un de l'autre, ne se feraient jamais confiance?"



Voici donc une première rencontre bien sympathique avec Le Poulpe, ici sous la plume de Maïté Bernard, qui en profite pour nous parler aussi du chemin de fer de la petite ceinture, de musique espagnole, et d'art afghan.

Merci aux éditions Baleine et à Maïté Bernard,qui me souhaitait "bulleuse, nonchalante et pas sérieuse" : je l'ai été!
Lien : http://en-lisant-en-voyagean..
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