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Critiques de Mari Jungstedt (81)
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Le Dandy mourant

Sur l'île suédoise de Gotland, à Visby (la ville principale de l'île), un homme est retrouvé pendu sur la porte des remparts de la ville. Le corps est très vite identifié puisqu'il s'agit d'un notable de l'île, en l'occurrence un marchand d'art qui en tenait la principale galerie d'art. La veille, il avait d'ailleurs organisé une exposition des oeuvres d'un jeune artiste lituanien branché qui a attiré beaucoup de beau monde. Le suicide est donc peu plausible. La police va donc fouiller dans le passé et découvrir la vie parallèle du défunt, ainsi que le journaliste stockholmois Johan Berg, trop heureux de revenir sur l'île où résident sa future femme et sa fille.

Un bon polar scandinave, qui se laisse bien lire, mais qui est finalement très classique.
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Celui qu'on ne voit pas

A l'instar des auteurs venus du froid, Mari Jungstedt oppose la quiétude habituelle d'une station balnéaire de Suède à l'atrocité de crimes particulièrement violents. Le récit s'ouvre sur une soirée entre amis avant que n'éclate une crise de jalousie qui vient clore la fête. Une scène en osmose avec les éléments qui se déchaînent à l'extérieur en ce week-end de Pentecôte.



Un crime atroce est découvert le lendemain et l'on va suivre les enquêtes parallèles que vont mener d'une part le commissaire Knutas de la police locale, et un journaliste fort bien informé venu du continent.



L'auteur pose lentement les fondements de son récit, l'enquête démarre lentement sans vraiment de ligne directrice. Malgré cette lenteur, marque de fabrique des policiers nordiques, l'on ne s'ennuie pas, les indices et les autres crimes se succèdent dans une sorte de torpeur ambiante. Une enquête il faut bien l'avouer qui piétine un peu, plusieurs hypothèses sont avancées sans que la police n'est vraiment de piste sérieuse.



Le récit est entrecoupé de flash-backs qui nous parviennent de la voie du meurtrier, donnant au lecteur une avance sur les enquêteurs. L'intrigue et à la fois simple et efficace, l'enquête est portée par des scènes de vies banales et des scènes de crimes tout ce qu'il y a de classique, que viennent entrecouper les inévitables interventions des journalistes fouineurs. Le lecteur est porté, sans d'intense angoisse, de changement de rythme, même lorsque d'autres crimes surviennent il n'y a quasiment pas d’affolement hormis des autorités qui s’inquiètent pour la saison estivale qui va bientôt débutée. Avec ce roman on n'est pas sans relever une certaine analogie avec La Reine de la Baltique de Viveca Sten.



Exit le flic torturé, alcoolique, l'enquête est menée par un tranquille père de famille, plutôt flegmatique, presque nonchalant. Lorsque des divergences d'opinions surviennent avec les enquêteurs venus de la capitale, c'est tout juste s'il transparaît un peu d'agacement, mais il n'y a jamais d'éclats comme c'est généralement le cas l'orque l'on oppose la police locale aux à la criminelle. Parallèlement à cette enquête menée par l'on police, l'on suit l’enquête menée par un journaliste chevronné et son cameraman. Un journaliste qui a un peu raté sa vie et qui consacre tout son temps à son travail. Des personnages de la vie courante qui m'émeuvent pas plus que cela le lecteur. Chacun avec ses objectifs, les deux hommes vont cheminer de concert, rivalisant d’ingéniosité pour découvrir les indices et les informations susceptibles de les mettre sur la piste du tueur.



On n'est pas surpris par l'arrestation du tueur, c'est l'histoire des victimes qui qui créent la surprise. On a faire ici à un fait de société plus courant que ce que l'on pourrait penser, surtout avec les réseaux sociaux qui peuvent démultiplier les possibilités de torture à la fois morale et physique Un polar doux et plaisant, avec ce coté si unique que l'on ne retrouve que chez nos chers scandinaves.
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Le Dandy mourant

Bonne enquête dans le milieu des galeristes.

(lu 2013)
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Celui qu'on ne voit pas

J'ai été très déçue par ce roman. Il se lit plutôt vite mais l'intrigue n'est pas passionnante.

L'histoire est banale et on se doute de tous ce qui va se passer. Pas de suspense, des passages à l'eau de rose tout droit sortis des feux de l'amour,des personnages qui ne sont pas attachants.... Il n'y a aucun rebondissements, c'est du vu et revu. Vraiment rien d'original. Pourtant au début je trouvais ce principe de suivre une enquête non pas par chapitre mais par date d'événements très attrayante.

Bref quelle déception!
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Celui qu'on ne voit pas

Un bon roman policier avec une ambiance bien nordique, le rythme est posé. Mais la trame policière est trop classique, sans surprise.
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Celui qu'on ne voit pas

Sur une petite île suédoise, a lieu toute une série de meurtres les plus effrayants les uns que les autres. L’enquête est menée par Ander Knutas, un policier très attachant mais qui est mis sous pression par les médias et notamment par un journaliste qui semble toujours avoir une longueur d’avance sur la police.

C’est un polar très bien écrit, où les descriptions de cette île participent largement à l’ambiance de huis clos. On le lit avec un réel plaisir et surtout l’envie d’arriver rapidement au terme de ce suspense insoutenable !

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Le cercle intérieur

Ce troisième roman de Mari Jungstedt se situe comme les précédents sur l'île suédoise de Gotland, et débute par la mort de plusieurs chevaux et la disparition mystérieuse d'une étudiante travaillant dans un chantier de fouilles archéologiques. D'autres meurtres se produisent, qui semblent liés à des rites païens.

L'intrigue est très bien menée, les deux enquêteurs (le policier et le journaliste) sont convaincants, chacun dans son domaine. Et la touche de mythologie nordique complète bien les descriptions de la société gotlandaise.
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Le cercle intérieur

Le cercle intérieur fait partie d’une saga qui suit les enquêtes de l’inspecteur Anders Knutas, personnage récurrent de l’auteur donc, mais intrigue inédite. Il s’agit du troisième roman consacré au personnage mais heureusement, les 3 affaires peuvent se lire indépendamment et je n’ai pas eu l’impression de manquer quelque chose en faisant la connaissance du personnage, ouf! Néanmoins, ce roman policier ne m’a pas complètement convaincu.



Tout commence quand deux fillettes retrouvent le corps décapité d’un cheval dans un champ. La population de l’île de Gotland est choqué et la police prend très au sérieux cette affaire. La tête ayant disparu, de nombreuses questions se posent. Puis c’est au tour d’une étudiante de disparaître...



...la suite sur mon blog.
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Le cercle intérieur

Il s'agit de mon premier thriller nordique. Tellement habituée au style américain ou français, à me trouver dans des endroits que me semblent familiers; que j'ai été surprise du rythme au début du livre, nous sommes loin des courses poursuites et des 100 à l'heure auquel je suis habituée.

Surprise, mais cela n'a rien de péjoratif !



Un petit mot pour commencer sur la découpe du livre que j'ai apprécié énormément; chaque chapitre débute avec une date pour laquelle nous découvrons un peu de l'histoire de chacun et de l'histoire à proprement parlé vue par les différents personnages.

Bien mis en place car on sait exactement lorsque l'on passe d'un personnage à un autre grâce à un changement de page.

J'ai eu peur de ne pas réussir à intégrer les noms scandinaves dans la lecture mais en réalité, ils sont, pour la plupart, assez simples et il y a aussi beaucoup de noms communs et français. Pas de crainte là dessus...



--------------------- La suite sur mon blog ---------------
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Les ombres silencieuses

Un petit polar suédois sans grande surprise, avec peu de rebondissements et une fin un peu bâclée à mon goût mais prenant malgré tout. Le personnage de Anders Knutas est toujours aussi avenant et les amours tumultueuses de Emma pimentent une intrigue classique. L'île de Gotland et son atmosphère angoissante constituent les points forts de cet agréable moment de lecture.




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Les ombres silencieuses

Critique publiée initialement sur le site Critiques Libres (2009)



Une heureuse expérience littéraire avec un polar suédois ne constitue pas une piste de départ pour établir une généralité. C’est, en somme, ce qu’on retiendra de ce roman de Mari Jungstedt, ancienne journaliste et productrice télévisée suédoise, qui avait fait une entrée pourtant remarquée avec Celui qu’on ne voit pas (Plon, 2007), qui annonçait une série de polar réussis.



C’est sur l’île de Gotland que se déroule cette histoire peu banale, où le corps sans vie d’un ancien photographe de presse, devenu marginal et alcoolique, est retrouvé dans sa chambre noire. Les premières constatations laissent à penser que l’homme a été assassiné, et rapidement, le commissaire Knutas et son équipe se lancent dans l’enquête.



En marge, la petite Fanny vit une liaison ambiguë et dangereuse avec un homme bien plus vieux qu’elle, jusqu’à ce qu’elle disparaisse. Une fois encore, mais avec l’aide de la police criminelle venue du Stockhölm, la police locale sera chargée de l’enquête afin de retrouver la jeune adolescente avant qu’il ne soit trop tard. Sur place, Johan est dépêché par son journal pour couvrir les enquêtes, et il en profitera pour tenter de se rapprocher de celle dont il est l’amant, et avec qui il espère fonder une famille. Mais sur une île, comme dans un whodunnit, les coupables ne sont jamais bien loin, difficiles à démasquer.



Séquencé comme un thriller à l’américaine, avec des chapitres courts d’une à trois page, Les ombres silencieuses adopte une recette qui fait fortune dans le genre, transformant le livre en un véritable film, avec découpage des scènes et action permanente. Sauf que, avec Mari Jungstedt, le découpage se fait sur des chapitres sans rythme, l’histoire manque de mordant, et ne semble passionner ni ses personnages, ni ses lecteurs. C’est dommage, il y aurait pourtant de quoi faire un thriller de qualité dans ce décors (on pense évidemment à Arnaldur Indridason, l’islandais à l’origine de Jar City).
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Le Dandy mourant



Le Dandy mourant, c’est d’abord un très beau tableau de Nils Dardel. Le dandy en costume vert vif, à demi allongé sur le sol, est entouré de quatre personnages, chacun d’entre eux portant un vêtement également de couleur provocante: rouge, violet, bleu et orange. Ce tableau peint en 1918, très connu en Suède, est devenu une icône de la communauté gay dans les années 80. Curieusement, on retrouve un homme habillé de couleurs vives dans ce roman: l’artiste peintre Mattis Kalvalis: cheveux noirs à la frange vert fluo, pantalon en cuir rouge et veste du même vert fluo que sa frange. Le roman nous plonge dans le milieu de la peinture, des galeries, des musées, des ventes aux enchères, et aussi de l’argent qu’on peut faire en vendant des tableaux, y compris s’il s’agit de chefs d’oeuvre volés. Par une étrange coïncidence, on va aussi retrouver plusieurs membres de la communauté gay de Stockholm. Dont Erik Mattsson expert en tableaux modernes qui est tombé amoureux du tableau du Dandy mourant…





Le récit commence par la découverte d’un homme pendu à l’une des portes de Visby. Cet homme c’est Egon Wallin, un galeriste, retrouvé le lendemain du jour du vernissage de l’exposition Mattis Kalvalis dans sa galerie. Ce n’est pas un suicide, c’est un assassinat. L’inspecteur Anders Knutas enquête et découvre vite tous les secrets d’Egon Wallin. Ses surprenants projets, son juteux trafic, et ses amours cachés. De nombreuses raisons de tuer Egon Wallin: l’argent, la haine, le chantage… Dans quelle direction chercher? Vie professionnelle? Vie privée?





J’ai tout aimé dans ce récit: l’intrigue mystérieuse, le cadre médiéval de Visby, le milieu de l’art moderne, les protagonistes tant policiers que journalistes, la construction du récit avec quelques pages sur les agissements du coupable, l’écriture agréable. Mais j’ai particulièrement apprécié le long passage où Erik Matsson, assis sur un banc au musée laisse son esprit vagabonder devant le tableau du Dandy mourant. Il imagine les causes possibles de la mort du Dandy, il se représente le rôle de chacun des personnages autour du Dandy, il cherche les liens entre cette scène tragique et la propre vie de Nils Dardel, ou avec la première guerre mondiale. Qu’a voulu mettre le peintre de lui même ou de la vie de l’époque dans ce tableau? J’ai rarement lu une telle réflexion sur un tableau. C’est profond.

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Le cercle intérieur

Le début du roman est prenant. Le cadre: un chantier de fouilles archéologiques sur l'île de Gotland. Une étudiante, Martina, férue d'histoire des Vikings, et travaillant sur ce chantier est retrouvée morte. Non loin, un projet de complexe hôtelier soulève des oppositions. Le responsable du projet est le père de la morte. Une autre mort survient elle aussi en rapport avec ce même chantier de fouilles. Des vols d'objets anciens provenant de fouilles précédentes sont constatés au musée de Visby. Le sympathique inspecteur Anders Knutas enquête sur tous ces évènements. Le correspondant de la télévision suédoise à Visby, Johan Berg, follement amoureux , est sur les dents. Quand on réunit tout cela, on se dit qu'il il y a matière à faire un bon polar avec en toile de fond l'époque Viking sur l'île de Gotland. Très très bon.



Hélas, le récit manque d'ambition, de souffle, de rebondissements et d'émotions. Pire, on s'égare dans une histoire de secte sans fondement. Et on n'apprend pas grand chose sur les Vikings. Au final, un rendez vous manqué.

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Les ombres silencieuses

Mon avis :

Je découvre cet auteur scandinave avec ce roman et je me sens tout de suite plongé dans… un roman policier scandinave ! Bien sûr, il y a les noms souvent difficilement mémorisables parce qu’on ignore la façon de les prononcer, les lieux aussi, mais surtout, cette ambiance particulière qu’on retrouve chez pas mal des écrivains venus du froid. À tel point que j’ai parfois l’impression qu’ils ont formé une espèce de club avec un pot commun où chacun vient pêcher ce dont il a besoin. Et à la sortie, beaucoup finissent par se ressembler…

Les ombres silencieuses propose une bonne histoire, plutôt solide et bien construite, mais pour moi, il a comme un arrière-goût de déjà-vu. Non pas que la trame me rappelle un autre roman, elle est assez originale, mais c’est tout le reste, l’ambiance, comme je le disais, les personnages qui me semblent interchangeables avec d’autres flics croisés dans d’autres romans…

Mais je dois admettre que j’ai le sentiment que la traduction ne met pas vraiment l’écriture de Mari Jungstedt en valeur. J’ai été gêné, à quatre ou cinq occasions, par quelques maladresses qui me paraissaient plus être inculpables à une interprétation approximative qu’à l’auteur.

Il reste que ce roman est plaisant à lire, mais qu’il ne me laissera pas une impression inoubliable.
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Le cercle intérieur

Bon roman policier, mais peut-être moins convaincant et captivant que "Celui qu'on ne voit pas" que j'avais préféré.
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Le cercle intérieur

Île de Gotland. Un site archéologique, un cadavre d'une jeune fille avec des marques sur le corps, un poney décapité, d'autres cadavres mutilés et l'inspecteur Anders Knutas navigue entre fausses pistes ... Un polar sans génie, au scénario convenu, une écriture plate et au final décevant, bref, un ouvrage sympathique mais oubliable.
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Celui qu'on ne voit pas

Rien d'extraordinaire. Gamin enfance noire. Pète les plombs
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Le cercle intérieur

Les suites des aventures de l'inspecteur Anders Knutas est toujours aussi intéressante et agréable à lire. Le duo improbable avec le journaliste Johan Berg apporte un réel plus au déroulement de ces aventures sur l'ile de Gotland
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Le cercle intérieur





Une île mystérieuse au large de la Suède, un début d'été avec ses touristes assoiffés d'histoires, des fouilles archéologiques ... et des meurtres rituels



A l'orée des manifestations médiévales qui se tiennent dans l'île, Anders Knutas va devoir enquêter sur des actes macabres, apparemment sans lien entre eux. Qui peut bien se cacher derrière des corps pendus et vidés de leurs sang ? Quel rapport avec les poneys et chevaux décapités



Simple mais Efficace

Un bon Polar Scandinave ... un souffle d'Henning Mankell ?
Lien : http://www.tetedelivres.com/..
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Le cercle intérieur

L'histoire :

La saison touristique bat son plein sur l'île de Gotland.

C'est aussi le moment choisi par un groupe d'étudiants en archéologie pour faire des fouilles sur quelques restes viking. Et tout va pour le mieux jusqu'à ce qu'une des étudiants, Martina Flochten, disparaisse.

L'inspecteur Knutas et son équipe vont se charger de retrouver la jeune fille mais c'est finalement son corps pendu et éventré qu'ils vont découvrir.

Bizarrement, elle a été vidée de son sang ce qui leur rappelle une autre enquête portant sur un cheval retrouvé décapité et également vidé de son sang.

Une drôle d'enquête s'annonce sur cette petite île.



Mon avis :

Je ne m'attendais pas à ça(...)
Lien : http://www.livr-esse.com/art..
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