Marie-Claude Vincent

Un petit roman (173p) mais une grande et bouleversante histoire qui ma laissée sous le choc. J'en suis sortie à la fois émerveillée, glacée et triste. un mélange d'émotions assez étrange. Le choix du narrateur est très original la lecture est addictive le message est magnifique. À lire absolument! On n'en sort pas indemne.

Une rencontre entre deux êtres abimés par la vie, qui vont s’aider et s’apporter amour et soutien face à la dureté de la vie et des hommes. Le roman est court et pourtant il a réussi à beaucoup m’émouvoir, et même à énormément me surprendre avec une fin à laquelle je ne m’attendais absolument pas.
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Ce livre traite du travail de deuil que doit faire une jeune fille de 12 ans ( Lou) lorsque sa soeur aînée décède à l'âge de 16 ans.

J'ai été touchée , bouleversée par cette lecture. Je me suis fortement attachée à Lou, je ressentais ses souffrances.

La plume de l'auteur est magnifique et sensible. Les mots sont justes.

J'ai fini le livre en larmes .....

Ce livre m'a fait pleurer du début à la fin, on m'avait prévenu qu'il fallait que je prévois une boîte de mouchoirs mais je n'ai pas écouter. Les personnes du train ses sont retrouvées à me regarder bizarrement.

Un phrasé simple qui sonne vrai.

Ecrin propice à l'éclosion d'émotions douloureuses et délicates.

Elisabeth et Lou sont deux sœurs très complices, partageant beaucoup. Leur relation est presque fusionnelle.

Lorsqu'Eli s'absente pour passer la journée chez son amie Cécile, Lou ne saura pas que c'était la dernière fois qu'elle voyait sa grande soeur. En effet, Eli ne reviendra jamais. Elle est partie, comme l'expliquent les parents de Lou.



Comment affronter un tel drame ? Nous suivons Lou tout au long de son deuil, qu'elle aura énormément de mal à faire. Il lui est impossible de concevoir la vie sans Eli. Alors elle lui écrit, régulièrement. Des anecdotes concernant ses journées, ses parents, sa vie ...



A travers les yeux de Lou, nous assistons également à l'évolution de cette famille. Car la vie doit continuer pour les parents de Lou, et pour son autre sœur, Laura.



Bien que, selon moi, ce livre s'adresse à un jeune public, j'ai trouvé Lou attachante. Perdre un proche est toujours une épreuve difficile de la vie, et j'ai trouvé Lou très courageuse, avec une grande maturité d'esprit pour son jeune âge;



Je remercie grandement Babelio et les éditions Robert Laffont de m'avoir permis de découvrir ce roman.
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Après Le Ravin du monde au Temps Qu'il Fait puis L'Ombre portée et L'Homme de septembre au Mercure de France, À demain, Lou est le quatrième roman de Marie-Claude Vincent. Et c'est un roman lumineux, aussi fort que pudique, que signe Marie-Claude Vincent. L'écriture épurée restitue admirablement l'univers de l'enfance, ses mots, ses rites, faisant écho avec une infinie délicatesse à l'enfant qui palpite en chacun de nous.



Lou a 12 ans quand sa sœur, Élisabeth, 16 ans, ne revient pas d’un week-end passé chez une amie. Devant le silence de ses parents, elle n’ose pas poser de questions sur cette disparition. C'est par son oncle qu'elle apprend qu'Éli s’est noyée. À la veille de ses 16 ans, Lou revient sur cet événement et raconte qu'elle ne peut pas se résoudre à devenir plus vieille que la sœur qui lui manque tant...



À demain, Lou est un tout petit roman d'une rare puissance émotionnelle sur le deuil et la reconstruction après la perte d'un être cher. Émouvant, facile à lire et jamais triste, ce petit bijou de tendresse est à mettre entre toutes les mains, même celles des plus jeunes qui pourront le découvrir dès 12 ou 13 ans !
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Elisabeth seize ans et Lou douze ans sont deux sœurs inséparables.Pour Lou ,Elisabeth est sa confidante,celle qui devient une jeune fille que les garçons regardent, celle qui la rassure, celle qui est son exemple.

Elisabeth part pour un week-end chez une amie et ne revient pas.

Lou dans l'attente de revoir sa sœur décide de tenir un journal pour qu'elle soit au courant de tout à son retour.Mais celui-ci tarde et Lou ne perçoit que des mots qui n'ont pas de sens pour elle.

"Je suis sincèrement désolé que ta grande sœur soit partie "

"Nous avons perdu notre fille aînée "

Pourquoi sa mère retire t-elle petit à petit les objets personnels de sa sœur, pourquoi ses parents et ses grands- parents ne lui disent rien pour ses baisses scolaires alors qu'elle était première de la classe ?

Lou attend et passe son temps à se réconforter auprès de sa petite sœur Laura âgée de un an,et tente d'avancer avec cette lourde attente.



Un livre qui émeut et qui fait prendre conscience aux adultes l'importance de dire les choses même les plus graves aux enfants.

Comment ne pas souffrir pour Lou, enfant qui comprend mais attend qu'on lui dise les mots,ceux quels redoutent mais aussi ceux qui pourront la libérer de cette interminable attente.

Un récit difficile à lire mais qui porte à réfléchir sur les choses qu'on doit dire aux enfants ou non.

Difficile de faire face lorsque les parents ont du mal à accepter l'innaceptable.

Certains se murent dans le silence tentant d'oublier leur peine d'autres se remémorent les souvenirs afin de faire exister l'être perdu.

Quoi de plus difficile que de trouver le parfait équilibre pour une situation si dramatique.

pfiouuu c'était fort ce livre! C'est intense, c'est pesant, c'est triste, ça serre la gorge... C'est dur la perte, l'espoir qu'on sait vain... C'est magnifiquement écrit, j'aime beaucoup la plume de cette autrice. Ça parle de deuil, de non-deuil, d'un esprit qui s'échappe devant l'inacceptable. J'ai été tellement émue, j'ai pleuré. Si vous aimez les romans d'action passez votre chemin mais par contre si vous aimez les émotions alors arrêtez-vous, lisez ce livre, n'oubliez pas les mouchoirs et ensuite passez à quelque chose de joyeux.

On le sait, le deuil passe par plusieurs phases. Dans le roman de Marie-Claude Vincent, on s’attarde surtout sur le déni, la dépression et l’acceptation. Lou, bien qu’adolescente, reste une enfant vulnérable et c’est justement toute sa fragilité qui est dépeinte dans l’histoire. Elle imagine des petits rituels, des débuts de conversation avec sa sœur, comme si cette dernière était juste partie en voyage quelques jours, et qu’elle allait franchir la porte de leur chambre d’un moment à l’autre. Qu’il est dur de devoir faire face à la vérité, encore plus lorsque le sujet est tabou au sein de la famille.
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Dans ce livre, nous suivons Jules, une personne agée, abandonné par ses anciens patrons au bord d’une nationale. Il est vite recueilli par Lulu, une jeune femme d’une trentaine d’années, qui lui ouvre les portes de sa maison et l’aime comme s’il était son grand-père. Mais le compagnon de celle-ci n’est pas vraiment d’accord avec cette nouvelle cohabitation.



Quand la violence des hommes et du monde rencontre la bonté des autres.



Ce petit livre / conte est très touchant, remplis de douceur d’un côté et d’horreur de l’autre. Nous avons des personnages très doux, très poétiques, très touchant d’un côté avec Lulu et Jules, et d’autres très dure et odieux de l’autre, avec Félix (le mari de Lulu) et les anciens patrons de Jules.



Nous avons ici l’histoire d’une belle jeune femme battue par son mari et d’un vieux monsieur abandonné par tous.



J’ai adoré découvrir ce conte très émouvant mais très dur que je vous invite à découvrir !
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Lou vit heureuse avec ses parents, sa grande sœur et sa nouvelle petite sœur d’un an. Il ya une grande complicité entre Élisabeth, dite Eli, et sa sœur cadette malgré leur 4 ans de différence. Mais un jour Eli ne revient pas de chez une amie où elle était allée pour le week-end. A Lou on dit juste qu’elle est partie, qu’on l’a perdue et ses parents ne lui permettent pas d’assister à l’enterrement. Elle tient donc deux cahiers, un bleu et un rouge, pour l’informer de tous les changements, matériels ou non, survenus dans la maison, afin que sa sœur soit informée de tout à son retour. Dans la maison il y a un véritable tabou autour d’Elizabeth, on ne prononce jamais son prénom. (Les pages 103 à 105 expliquent bien ce qui se joue depuis la mort d’Eli.)

C’est une mort accidentelle, Eli s’est noyée dans la piscine alors qu’elle venait de passer son brevet de natation, ce n’est pas logique et Lou ne peut donc pas croire à son décès. Elle attend désespérément son retour et développe des TOCs pour ne pas avoir à faire face à la réalité. C’est son oncle qui finira par lui parler de la mort de sa sœur, mettant fin à l’attente et laissant alors le chagrin se déployer.

Texte court et émouvant, qui dit bien le malaise de Lou, son déni et sa façon de faire face tant bien que mal à l’inenvisageable.

On retient ses larmes le plus loin possible dans le récit. On est à la place de Lou et sciemment on a très peu d'informations sur ce qui s'est passé, parce que personne ne pense à expliquer, à dire aussi à Lou. Cloitrés dans leur propre chagrin les parents sont incapables de voir la détresse de Lou. C'est son oncle, de passage, qui va percer la carapace et aider Lou. Si vous avez besoin de comprendre ce qu'expérimente un enfant pendant le deuil. Lisez ce roman qui est une pure merveille.

J’ai commencé à lire le matin de Noël et ne l’ai lâché qu’un moment car je pleurais trop et je l’ai fini le soir même

L’auteur arrive véritablement à parler à travers une enfant de 12 ans et c’est remarquable d’émotion et de finesse

Même douloureux ce fut un merveilleux moment !

Ce fut une lecture bouleversante, tout simplement. J’ai été tellement touché par Lou et son histoire tragique par rapport au décès de sa sœur. C’est un roman qui porte sur le deuil, la vie après qui est si difficile à envisager dû à la peur que l’on oublie la personne et toutes ces choses que l’on ne peut tristement pas contrôler. C’est pour moi la découverte de la plume de Marie-Claude Vincent, fine, réaliste et fluide. L’histoire qui se déroule sous nos yeux se découvre très rapidement et la portée des émotions, notamment grâce aux divers personnages est forte. J’ai eu beaucoup d’empathie pour les parents des filles et pour la petite sœur au milieu de tout cela.

Bref à lire !

J’ai acheté À demain, Lou de Marie-Claude Vincent en même temps qu’Un jules d’exception parce que l’algorithme Amazon me le proposait…

Mais contrairement à l’autre roman de l’auteur, le charme n’a ici pas opéré.

Je me suis sentie étrangement déconnectée de Lou, je n’ai pas vraiment compris sa personnalité, ce qu’elle cherchait à dire. À aucun moment je n’ai ressenti de compassion et je n’ai pas pu m’identifier à elle. Je l’ai trouvé très « creuse », si l’on peut dire : en effet le texte est centré sur elle, elle est l’héroïne mais pourtant celle qu’on voudrait connaître, c’est Elizabeth, celle qu’on voudrait voir, c’est Elizabeth. Lou est presque ennuyeuse, c’est une sorte de faire-valoir, un personnage prétexte pour parler de la disparition d’un enfant. Je me suis ennuyée, ma lecture a été laborieuse, et je crois bien être passée à côté du texte.

De plus, je suis aussi restée sur ma faim : au final, le thème du deuil n’est qu’abordé, le thème de la souffrance n’est qu’abordé, le thème du manque et celui de l’absence ne sont pas plus travaillé. Je suis passée à côté du texte et j’en ai été très chagrinée. J‘ai eu l’impression que tout était là, que tous les ingrédients de la recette étaient réunis sur le plan de travail, mais qu’ils avaient été laissés crûs.

Néanmoins, j’ai retrouvé l’écriture poétique et facile à lire de Marie-Claude Vincent. Sa plume est belle, facile d’accès. Pour moi, c’est sans doute le seul point positif du roman, malheureusement…
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Ce roman attendait sur ma liseuse depuis pas mal de temps. Lorsque je l'ai commencé, je ne me souvenais plus du tout quel était son thème. Je me souvenais juste que je voulais le lire..... Et quelle claque ! Je pense que si je m'étais souvenu de quoi il traitait, je ne l'aurais probablement pas lu, du moins pas à ce moment-là.... Mais une fois commencé, je n'ai pas pu le lâcher et l'émotion m'a submergée durant toute la lecture. Il a remué beaucoup de choses en moi.

"A demain, Lou" aborde le deuil de façon délicate, avec une belle écriture à la puissance émotionnelle très forte.

Comment faire face à l'insurmontable, à l'inacceptable ? Comment se reconstruire et apprivoiser ce vide immense ? Comment, pour une petite sœur, franchir le cap du moment où elle deviendra plus vieille que son ainé(e) ? Tant de questions que je me pose depuis un an et demi et qui ont donc forcément eu une très forte résonance en moi.

Ce livre est petit par son nombre de pages mais très puissant émotionnellement. Ce n'est certes pas une lecture "facile" mais sa fin est aussi un hymne à la vie, qui doit continuer malgré tout.

« À demain, Lou », ce sont les derniers mots que sa sœur de seize ans, Éli, lui adresse avant de partir en week-end avec une amie. Avant de de mourir. Au début, Lou ne comprend pas où elle est partie, ou plutôt, ne veut pas comprendre. Elle fait des listes de choses du quotidien, pour quand sa sœur reviendra. Elle fait tout pour y croire et ne pas penser à son absence béante. Elle se plonge dans des livres, Kafka, Hugo…



Lou se met à entretenir de petits rituels conjuratoires qui lui font croire qu’Éli reviendra si elle les suit ; compter les choses, demander l’heure au clochard, boitiller du matin au soir, porter son pull à l’envers tout en gardant un air dégagé… « Si je ne le faisais pas, à coup sûr mon cœur s’arrêterait de battre ou, pire encore, Éli ne reviendrait pas. Ma vie se résumait à une infinité de listes qu’il me fallait exécuter point par point. »



Quand on n’a que douze ans, on n’envisage pas que sa grande sœur puisse mourir ; son absence est inacceptable. Au collège, ses notes chutent. Du jour au lendemain, le silence tombe sur la maisonnée, le nom d’Éli ne sera plus prononcé par ses parents ; seul le babillage de la petite dernière semble égayer ce silence insupportable. Lou se trouve plongée dans l’attente.



La voix de Lou m’a immédiatement plu, le regard qu’elle porte sur le monde, sa façon de conjurer le sort malgré tout, de préserver sa naïveté… Avec émotions, Marie-Claude Vincent nous offre un très beau roman sur le deuil et son acceptation, la fin de l’enfance, qui malgré tout reste lumineux.
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« A demain, Lou », ce sont les dernier mots qu’Elisabeth « Eli » a lancé à sa petite sœur avant de partir chez une copine.

Quand j’ai lu le résumé, j’ai supposé qu’Eli allait faire une mauvaise rencontre, mais non, même pas. On apprend très vite qu’il n’en est rien, et que c’est encore plus « bête » que ça, même si les détails, on ne les découvrira que plus tard.

Après la disparition d’Eli, la famille plonge dans le silence : Laura qui, trop petite, ne réalise pas, les parents, bouleversés, les grands-parents et Lou. Lou qui ne comprend pas vraiment ce qu’implique ce « Eli est partie » qu’on lui a asséné. Quand quelqu’un part, il est supposé revenir, non ? Comme l’oncle Charles qui est parti vivre à l’autre bout du monde mais qui revient de temps en temps.

Alors Lou attend. Elle attend le retour de sa sœur. Sans poser de question, sans oser prononcer son nom, parce qu’au fond d’elle, elle sait bien ce que veut dire « Eli est partie ». Mais à douze ans, impossible de se confronter à cette réalité, impossible d’admettre, de se résigner.

L’écriture s’adapte aux pensées d’une adolescente de douze ans. C’est une écriture simple, les choses sont dites sans détour, avec beaucoup de douceurs, même quand Lou a envie de tout casser dans la maison.

C’est un roman bouleversant sur le deuil chez l’enfant et j’ai pleuré pendant la moitié du livre.

A plusieurs reprises, on se rend compte que les parents, en voulant protéger Lou, n’ont fait que la perturber davantage et on se demande comment ils vont vivre cela quand ils vont s’en rendre compte. Car tout ce qu’ils font, ils le font par amour et le fait de s’être « trompé » sur la manière d’agir envers Lou risque de les plonger un peu plus dans l’affliction. Heureusement, entre les parents de la mère et le frère du père, ils sont bien entourés.

C’est un roman sur le deuil, mais c’est aussi un roman sur l’attente. Nous lecteurs, attendons que Lou accepte la mort de sa sœur. Les parents, les professeurs, attendent que Lou se reprenne, fasse son deuil, sans vraiment réaliser que ce deuil elle ne peut pas le faire, puisque la mort d’Eli n’est pas une réalité pour elle. Enfin Lou est celle qui attend le plus, mais aussi celle qui n’a aucune chance de voir son attente récompensée : elle attend le retour de sa sœur.

En plus du deuil en lui-même, Lou va devoir accepter de devenir plus vieille qu’Eli, de devenir l’aînée de la famille. Elle sera toujours la grande sœur de Laura, mais elle va devoir accepter qu’elle ne sera plus la petite sœur d’Eli. Eli qui aura 16 ans pour toujours tandis que Lou va devoir avancer, vivre sa vie et par là même vivre tout ce que sa sœur ne vivra jamais. Et ce refus de devenir « plus grande » qu’Eli se ressent jusque dans son corps qui semble vouloir la maintenir « plus petite ».

Marie-Claude Vincent a vraiment su trouver non seulement les mots pour parler du deuil mais aussi le ryhtme. Lou ne s’en sort pas comme par magie du jour au lendemain. Elle avance, recule, avance de nouveau.

C’est un roman à lire, un roman qui a été un vrai coup de coeur

Un livre qui m'a particulièrement bouleversé car tout comme l'héroïne Lou, et au même âge, j'ai perdu non pas ma soeur mais mon papa.

Comment faire face, à un si jeune âge, à l'insurmontable et se dire que l'on ne reverra plus jamais la personne avec qui nous étions juste quelques heures avant, comment faire face à ce vide immense, comment se reconstruire ou du moins essayer.

"A demain, Lou" aborde le deuil de façon touchante et délicate. Une lecture que je vous conseille