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Citations de Marie-Odile Mergnac (108)


Sous l'Ancien Régime, le prénom était un signe d'appartenance à une communauté familiale et villageoise. Le choix était tellement codifié que, pour chaque sexe, cinq ou six prénoms se partageaient les deux tiers de la population d'un village autrefois.
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Et si vous vous trouvez définitivement bloqué, que les archives ne peuvent plus rien pour vous, il vous est toujours possible, avec un peu d'humour, d'ajouter Noé ou Adam en haut de votre arbre ! Bon courage !
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Personne n'a de "papiers" dans une population illettrée; chacun se souvient approximativement de l'époque de sa naissance et les anniversaires ne sont pas des événements familiaux d'importance. Aussi l'âge d'un adulte peut-il être indiqué à deux ou trois an près, voir beaucoup plus.
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Pendant la Première Guerre mondiale, les avions ne sont pas utilisés pour les bombardements (c'est l'artillerie au sol qui pilonne les lignes ennemies) mais seulement pour les reconnaissances... avec bientôt des combats ''chevaleresques'' en plein ciel, à la mitrailleuse légère, contre les aviateurs ennemis.
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Aujourd'hui, c'est souvent au grand-père qui a fait la guerre de 1914-1918 que s'arrête la mémoire familiale. Au-delà commence un autre temps et d'autres générations, qui sont ignorées ou qui ne sont plus connues que par les archives. La mémoire vivante des souvenirs de famille fait progressivement place à une mémoire de papier...
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Vous avez fait le tour des vivants ? Alors interrogez maintenant les morts !
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Un post-mortem n'est ni un rite funéraire, ni un cercueil mais le nom donné à une photographie après décès, principalement d'un nouveau-né ou d'un enfant. Dès les débuts de la photographie et jusqu'en 1920, on permet ainsi à la famille, à travers un portrait dit post-mortem, de conserver un souvenir de l'enfant mort, rangé tout naturellement dans l'album de famille aux côtés des vivants...
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