Citations de Marie de Hennezel (534)
- Si ton cœur te condamne, Dieu est plus grand que ton cœur. -
Marcher, c'est énergétiser l'être tout entier, et ce n'est pas pour rien que le mot hébreu - Asher - signifie à la fois le bienheureux et celui qui est en marche. -
le contact avec l'autre humain, le contact avec la nature, le contact avec soi, et le contact avec le Vivant.
Il y a tant d'inconnu dans cette maladie : - pourquoi moi ? - , mais aussi - pour quoi ? - , - où mène-t-il, ce cancer ?, - à la mort, ou vers une autre vie ? La maladie oblige presque toujours à une interrogation sur sa vie, sa manière de vivre, pose la question du remaniement.
Les malades ont besoin de comprendre ce qui leur arrive, le pourquoi et le comment des traitements qu'on leur impose. Cela leur permet d'avoir une relative maîtrise.
C'est au psychologue qu'il revient de rappeler que l'être humain se caractérise par son inachèvement, ce qui l'ouvre à tous les possibles.
Marcher aide aussi à lâcher prise, à vivre le présent.
Pour rester vivant, il faut aller de l'avant, marcher.
La maladie peut transformer les êtres
Quand la vie est menacée, il est urgent d'aller vers l'essentiel.
Le royaume intérieur, le royaume du cœur.
Ce n'est pas l'église extérieure - la basilique baroque - mais l'église intérieure, le divin qui nous habite, que nous cherchons !
Ce n'est pas le but qui compte, mais le chemin !
La maladie peut transformer les êtres : c'est cet immense potentiel que j'ai exploré au fil des années.
Quelle est la main qui nous pousse, pour nous donner notre élan, et pour le raffermir ? Ce serait peut-être la main des épreuves ?
Au sein des - groupes de parole - , des mots sont mis, comme des pensements, sur tous les bleus de à l'âme.
Si, au lieu de fuir les personnes malades, handicapées, très âgées ou mourante, comme nous le faisons si souvent, nous nous en rapprochions ?
N'est-ce pas nous les psychologues qu'il appartient d'aider ceux qui en ont peur à entrer dans l'orbite de la vulnérabilité, pour découvrir toute la richesse de cette proximité ?
- Nous sommes tous si démunis ! Je les aides comme je peux, en leur souriant. -
- Ce n'est pas tant les paroles et les doctrines qui enseignent, mais c'est un ton, un sourire, une lumière qui se dégagent parfois, rarement, fugitivement,... de certaines paroles singulières. -
Quelle étrange activité que le rêve !