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3.69/5 (sur 351 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Eastbourne, Sussex , le 29/03/1956
Biographie :

Mary Rosalyn Gentle est un écrivain britannique de science fiction et de fantasy.

En 1981 elle se remet à étudier à l’université de Bournemouth afin de parfaire ses connaissances littéraires, historiques et géographiques qu’elle utilisera par la suite dans ses romans. Elle obtient d’ailleurs en 1995 une maîtrise d’étude des tactiques de guerre. Elle vit aujourd’hui à Stevenhage avec son compagnon qui est aussi un grand connaisseur en histoire médiévale.

Elle commence à écrire à l'âge de 15 ans et connait un premier succès trois ans plus tard avec "A Hawk in silver". Elle a, par la suite, écrit plus d’une douzaine de romans dans des genres très différents tels que la fantasy, la SF ou encore les récits érotiques.

Elle est notamment l'auteur de plusieurs romans mélangeant savament fantasy et histoire comme "Le livre de Cendres", une uchronie relatant le parcours d'une chef mercenaire dans la Bourgogne du Moyen Age, ou encore "L'énigme du cadran solaire", un diptyque dont l'action se situe dans l'Europe et l'Orient du XVIe siècle.
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Source : Wikipedia
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Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
Je ferais une épouse bien malheureuse, déclara Cendres d'une voix tranquille. Mais je pourrais devenir une veuve vraiment guillerette.
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"Personne n'est parfait. Et il n'y a pas plus triste sur cette terre que les gens qui cherchent la perfection.

[nouvelle"Éthologie du tigre"]
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Ce ne sont pas les morts qui me dérangent. Ce sont ceux qui doivent vivre avec ce que je leur ai fait.
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"Les stars n'ont pas le droit de rater leur mort. Le public pardonne beaucoup, mais une mort ridicule, ça ne passait pas."

[nouvelle "Chronos"]
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Dieu nous envoie la viande, et le Diable nous envoie des cuisiniers anglais...
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"La mémoire vous joue des tours que l'histoire rectifie obligeamment."

[nouvelle "Utriusque Cosmi"]
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Je ne crois pas plus à la sorcellerie que n’importe qui d’autre. J’y crois même moins, sans doute, car j’ai grandi à la cour de Catherine de Médicis et de ses fils, ainsi que cet illuminé de Nostradamus. J’ai appris très tôt que la méchanceté humaine explique l’immense proportion de mal observable en ce monde. Nul besoin des serviteurs de Satan pour la justifier.

(Folio SF, p.136)
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(Hymne du Capitaine)
Dieu vous apaise, beaux messieurs, que rien ne vous chagrine ;
En ces temps sombres, le Soleil revient, chantez matines.
Nous marchons à la victoire, nos ennemis s'enfuient !
Oh, son Éclat donne réconfort et joie irrésistibles,
Que nul ne peut détruire :
Oh, son Éclat donne réconfort et joie.

p. 40
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La chambre à pignon où j'arrivai, à l'extrémité de la rangée de maisons, ressemblait assez à mon logis français, quoiqu'elle se trouvât dans les faubourgs de Londres. Sans les cris tout anglais qui s'élevaient de la rue, il m'eût été facile d'imaginer que j'allais piétiner en sortant la boue noire curieusement indécrottable des rues parisiennes et me trouver confronté aux cavaliers de la régente...
Gabriel ne se fût pas contenté de panser ma blessure mieux que moi, lui qui disposait des talents d'un soldat ; ni de tendre l'oreille aux rumeurs des tavernes. Il eût représenté une présence discrète qui m'eût aidé à mettre de l'ordre dans mes pensées, quand bien même il m'eût été impossible de les discuter toutes avec lui.
Je vidai un plat en étain moulé, assez profond pour servir de bouclier dans une bagarre, pendant que s'évaporaient les dernières traces du malaise suscité par le coup de pied dans les parties. C'est la régente qui m'intéresse, pas le docteur Fludd...
Si amère que fût la bière anglaise, je fis ensuite les cent pas la chope à la main, plongé dans mes réflexions. Sully. Sully... et Marie de Médicis, la veuve du bon roi Henri. Que pouvait contre elle un messire Rochefort, malgré sa langue bien pendue ?
Voyons voir... Je peux la faire chanter, me dis-je froidement. Puisque moi, je sais qui m'a chargé d'organiser le meurtre d'Henri. Seulement pour cela, il faut que je la contacte, ce qui lui permettra de me retrouver puis de m'éliminer. En France, j'étais entouré d'amis influents, mais les nobles anglais ont leurs intérêts propres, ils ne se sentiront pas si facilement concernés - même si ça reste une possibilité...
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[La Route de Jérusalem] L'absence d'épée trouve son apogée dans la résignation totale, l'abandon aux capacités de la lame. Rien n'a plus d'importance. Ni victoire ni défaite, ni vie ni mort. Non, rien n'a plus d'importance, parce que, dans le cas contraire, il est impossible de faire le nécessaire. Tadmartin atteint à la résignation parfaite, équilibrée du combattant : mort, vivant, vivant, mort. Peu importe. Aucune différence.
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