Mary Simses

Un très beau livre où le temps se décline avec douceur comme le goût de la myrtille, une quête acidulée et des rencontres profondes et marquantes en quête face au bonheur, de pouvoir enfin se sentir complet...

Je le conseille vivement pour les lecteurs à la recherche de gourmandise et d'une pause au Café Myrtille

Roman à l'histoire mignonne et légère. Ce n'est pas de la grande littérature mais il coche toutes les cases de la chicklit, on y retrouve tous les ingrédients et je trouve l'histoire bien finalisée. J'ai passé un bon moment en compagnie de la citadine Ellen et du beau Roy rencontrés dans la jolie commune de Beacon dans le Maine !

Si vous voulez un livre sans prise de tête, n'hésitez pas, vous pouvez y aller.

Il m'a fallu énormément de temps pour entrer dans l'histoire sans qu'il n'y ait vraiment de raison. Ce n'est pas mal écrit, les personnages ne sont pas antipathiques et les sujets évoqués sont des thèmes qui me touchent habituellement. Mais cette fois, je me sentais complètement indifférente à ce qui arrivait à l'héroïne, jusqu'au deux tiers du roman où il se passe enfin des choses un peu plus concrètes.



L'histoire est très mélancolique : l'héroïne revient habiter chez ses parents dans une petite ville du Connecticut le temps de travaux dans son appartement new-yorkais et c'est un véritable bond dans le passé pour elle. Elle retrouve les lieux de son adolescence qui ont finalement peu changés, tout comme ses amies (et son "ennemie") du lycée. Et son petit-ami de l'époque, qui est également de retour en ville, la conforte dans cette idée qu'elle pourrait reprendre sa vie là où elle l'avait laissée. Car ce séjour prolongé dans sa famille, c'est aussi l'occasion d'exorciser les souvenirs plus sombres liés au décès de sa sœur.



Et le roman s'arrête alors que les choses semblent enfin s'arranger : elle a fait le tri parmi ses "soupirants potentiels", elle a admis qu'elle devait peut-être choisir un métier plus valorisant et épanouissant, etc. C'est un peu frustrant de quitter la jeune femme alors qu'elle s'apprête à entamer une nouvelle étape de sa vie et j'aurais bien aimé la suivre encore un peu pour voir comment elle s'en sortait…

A la mort de sa grand-mère maternelle, Ellen est missionnée pour faire parvenir une lettre à un certain Chet Cummings. En découvrant le contenu du courrier, elle décide de se rendre à Beacon dans le Maine pour la remettre en mains propres à son destinataire. En arrivant dans la petite ville, elle manque de se noyer et rencontre à cette occasion Roy. Elle est attirée par lui mais fiancée et heureuse en couple, elle va choisir de se montrer sous son jour le plus antipathique. Grande avocate new-yorkaise, elle est méprisante envers Beacon et ses habitants, et complètement en décalage. La rencontre avec le passé de sa grand-mère va rebattre les cartes et va la pousser à revoir sa position. Une lecture très “clichée”, très américaine entre le roman feel-good et le roman sentimental. Malgré les débuts difficiles qui mettent en scène un personnage principal agaçant, on se laisse prendre au jeu.

Malgré la saison estivale qui incite à des lectures plus légères, je n'ai pas réussi à plonger dans cette histoire à mon goût trop superficielle et sans surprises. Impossible de m'attacher au personnage de Grace qui a perdu son travail, son logement et son amoureux, tout cela en un temps record !

Le retour dans sa famille, les retrouvailles avec les amitiés et amours de jeunesse, tout cela est vu et revu dans nombre de romans feel-good. L'absence d'originalité dans sa quête de soi et sa résilience m'ont vite lassée et je me suis résolue à abandonner la lecture à la page 120...

C’est vraiment une belle histoire prenante comme j’adore !

.

. J’ai adoré l’histoire d’Ellen. J’ai trouvé cette femme attachante.

.

. Je ne peux que recommander ce livre !

.

Dans ce livre, j'ai découvert la plume de Marty Simses que j'ai beaucoup aimé :)

Tout est beau, riche, prétentieux, hyper citadin et hautain. BMW, New York, building, avocats, galas de charité, golf et country club, bijoux en or, vêtements en soie...



L'héroïne commence en tête à claques et devient à peu près sympa et normale (voire alcoolo) en deuxième partie.



Les descriptions sont longues et sans plus value. On dirait que le but était d'allonger le nombre de pages.



Je m'attendais à tellement mieux. C'est le monde de ouioui. Facile à lire, c'est un feel good sans suspense et finalement pas très drôle.

Une très agréable lecture, certes cousue de fil blanc mais aussi rafraîchissante et qui nous transmet un sentiment de légèreté confortable. Un fond de comédie avec des scènes traditionnelles mais toujours plaisantes. J'ai passé un bon moment lecture avec ce roman.

Bon ce n'est pas un roman qui me marquera. Il m'a fait penser à un téléfilm. On n'aime bien le regarder mais on ne le garde pas du tout en mémoire.

On sait malheureusement dès le début la fin. Ce début est d'ailleurs très long. J'ai failli abandonner ma lecture au bout de 100 pages.

Il y a quelques situations marrantes mais j'en aurai voulu plus pour ajouter plus de rythme à l'histoire. Pareil pour l'histoire de sa grand-mère j'aurai voulu qu'elle soit plus mystérieuse et plus profonde.

C'est dommage l'idée du roman est sympa mais l'histoire est trop superficielle.

Difficile de faire une critique sur un livre, qui ne m'a pas vraiment transcendé.

Sur la 4eme de couverture, ça avait l'air prometteur, mais au final, trop, beaucoup trop de clichés.

La romance est certes jolie, mais le secret de sa grand mère, peu crédible à mon sens, et j'avoue que j'ai eu du mal avec les myrtilles. OK, il y en a plein dans le secteur, mais ça justifie vraiment que l'héroïne ouvre un café pour en faire des muffins, alors qu'on ne sent pas vraiment que la cuisine est sa passion.

Bref, ça reste pour moi une lecture sans prise de tête, mais c'est juste mon ressenti. Peut être qu'il n'était pas pour moi ou que je l'ai lu dans une période moins propice pour l'apprécier.

Je n'ai pas lu le premier roman de Mary Simses qui avait l'air très bien d'après les critiques.

Du coup je ne suis pas trop déçue, ne m'attendant à rien avant de le lire.



L'héroïne Grace Hammond 33 ans traverse une période de loose. Son petit ami vient de la plaquer, elle perd son emploi dans la foulée et au final le plafond de son appartement s'effondre suite à un dégât des eaux.

Retour à la case départ pour 15 jours chez papa maman. Adieu New York. Et vive la côte du Connecticut.

Arrivée dans sa petite veille, Grace retrouve son amie d'enfance. Elle croise aussi son ex amoureux à l'époque où elle avait 16 ans, Peter, divorcé, qui est devenu metteur en scène et tourne en ce moment même dans sa ville. Grace fait la connaissance de Mitch qui travaille dans un magasin de vélo et d'un acteur que les fans s'arrachent.



Grace est une héroïne un peu immature malgré son âge qui enchaine les bourdes et les gaffes. J'avoue avoir avancer dans le roman en me demandant ce qu'elle allait faire encore comme connerie. C'est pour tout dire.

Ce qui m'a le plus touché chez Grâce c'est l'histoire avec sa soeur qui pourrait expliquer qu'elle en soit restée à un comportement adolescent figée dans le temps.

Question romance, l'auteure en fait un peu trop. Trois mecs (canons en plus) qui tombent amoureux au même moment de la même fille. C'est un peu trop à mon goût. Du coup rien n'est vraiment développé.

Je n'ai pas passé un mauvais moment de lecture mais il a manqué des choses pour que j'adhère à l'histoire.

J'ai été largement frustrée par cette lecture. J'avais quelques espoirs pour ce livre qui promettait dans son résumé le récit du développement personnel d'une protagoniste profonde et réfléchie. Au final, l'héroïne, Grace Hammond, est sans beaucoup de dimension, constamment négative et peu reconnaissante (donc peu agréable à côtoyer au détour de cette lecture). Le récit assez fragile et peu crédible.

On sent que l'héroïne est une femme prisonnière du patriarcat et de ses constantes injonctions à la maigreur absolue, si bien que ce livre ferait presque l'apologie des TCA tellement ce thème est récurrent. En effet, insulter une femme par le terme de "cuisses porcines", lorsque la dispute ne portait absolument pas sur le physique, ne relève pas d'un niveau de rhétorique bien élevé.

Je n'ai terminé ce livre que par fierté et habitude de ne pas vouloir laisser une lecture inachevée.

« Il y a assurément du Jane Austen derrière ce premier roman » dixit Alice Develey du Figaro. Alors j’ai foncé, d’autant plus que le titre du roman se prêtait parfaitement au thème du groupe de lecture auquel je participe chaque mois, j’ai donc fait, d’une pierre deux coups !!



La quatrième de couverture était alléchante et pourtant, au début, ce n’était pas gagné. J’ai trouvé les cent premières pages longues et je n’arrivais pas à entrer dans l’histoire. L’autrice s’est un peu trop attardée, à mon goût, sur le plongeon d’Ellen dans les eaux froides du Maine. Bien sûr il fallait planter le décor, après tout c’est de là que part toute l’histoire de cette jeune et jolie avocate mais j’ai l’impression que ce moment passé dans l’eau n’en finissait pas, j’ai même cru que j’allais lâcher le livre mais je ne l’ai pas fait parce que tout à coup, je ne sais pourquoi, je me suis prise au jeu et voilà que cette histoire m’intéresse au plus haut point !!



Ellen vit à New-York avec Hayden, avocat lui aussi et promis à un bel avenir politique, ils travaillent dans le même cabinet et ont prévu de se marier dans trois mois. La grand-mère d’Ellen, Ruth, est décédée et avant de mourir, elle lui a remis une lettre, lui demandant de se rendre à Beacon, dans le Maine, -là où elle a grandi et vécu une partie de son adolescence- pour remettre, en mains propres, une lettre à un certain Chet Cummings, son amour de jeunesse, un jeune homme dont elle était follement éprise et qu’elle a quitté sans crier gare, 60 ans plus tôt, pour épouser le grand-père d’Ellen.



Ellen se rend dans ce minuscule village où elle ne restera qu’une nuit, la mission est très simple et sera vite accomplie. Elle a l’adresse de Chet, elle lui donne la lettre et s’en va, ce n’est pas plus compliqué que ça mais de petits incidents vont enrayer la machine qui semble si bien huilée !



Elle va d’abord tomber dans l’eau glacée de l’océan, s’appuyant sur une barrière défaillante d’un ponton d’une propriété privée, elle sera secourue par le beau Roy Cummings, qui n’est autre que le neveu de Chet, mais ça elle ne le sait pas encore. L’homme est séduisant, charpentier de son état, il n’a pas hésité un seul instant à braver la froideur de l’océan pour venir la chercher. Bien qu’elle se défende d’avoir eu besoin de lui, -affirmant qu’elle était championne de natation au lycée- une fois sur la rive et au sec, elle se jette dans les bras de son sauveur et l’embrasse tendrement.



Le journaliste local est aux premières loges et immortalise l’instant, c’est le début des petits ennuis pour Ellen dont on va suivre les différentes péripéties avec le sourire. Je me surprends même, tout à coup, à ne plus pouvoir lâcher le livre, moi qui était fébrile dans les premières pages, voilà que je suis totalement ancrée dans l’histoire.



Bien sûr, retrouver Chet Cummings ne va pas être une mince affaire mais il y a encore plus que ça, Ellen va découvrir que sa grand-mère a occulté tout un pan de sa jeunesse et elle est bien décidée à mener l’enquête enfin de mettre au jour le secret qu’elle a caché à toute la famille.



Ellen découvre rapidement que sa grand-mère était une artiste et qu’elle peignait de magnifiques tableaux, or, personne dans la famille ne s’est douté que Ruth avait ce talent et qu’elle avait gagné le prix du festival annuel des arts de la ville de Beacon, qu’elle avait obtenu une bourse de l’Institut d’Arts de Chicago, pour rentrer à l’université, or Ruth est diplômée de l’Université de Stanford, en Californie. Que s’est-il passé entre temps ?



Ellen mène les investigations et ne lésine sur rien, son enquête prend des tournures parfois loufoques et ça amène un peu de rire et de folie au roman. Elle doit également composer avec Roy qu’elle trouve de plus en plus charmant, pourtant elle se l’interdit, elle aime Hayden et doit l’épouser dans trois mois. Puis Roy et elle ne sont pas du même monde, rien n’est envisageable.



Petit à petit, la jeune femme s’intègre dans cette ville qui lui plait bien, elle s’imprègne des souvenirs de sa grand-mère et a de plus en plus de mal à garder ses distances avec Roy. Un matin il lui fait découvrir une propriété abandonnée, qui est une ancienne exploitation de Myrtilles appartenant à sa famille, l’exploitation, en son temps, a connu un succès fulgurant avec les Myrtilles mais a fini par être vendue. L’endroit est à l’abandon et sera certainement exploité par des constructeurs. Ce lieu est magique et agit comme un aimant sur Ellen qui s’y sent bien, d’autant plus qu’elle a trouvé un tableau où figurent sa grand-mère et Chet dans ce même endroit. Dommage que Chet ne puisse pas racheter le domaine pour le faire revivre. Ellen s’y verrait bien !!



En quelques jours la jeune avocate que tout le monde surnomme « la nageuse » prend des habitudes, elle mange des pains de viande, des donuts, boit des cocktails, -parfois plus que de raison-, joue aux fléchettes, porte des jean’s, tout ce qu’elle ne s’est jamais autorisé à New-York parce que là bas, elle a un statut et un rang à tenir. J’ai envie de dire qu’elle s’éclate !!!



La jeune femme finit par s’interroger sur sa vie, sur ce qu’elle veut réellement, sur sa propre définition du bonheur et se met à penser que ce n’est peut-être pas par hasard que sa grand-mère lui a demandé de venir dans cette ville. Et si c’était un signe du destin, et si sa grand-mère voulait lui montrer le chemin du bonheur ? Ruth aurait-elle regretté son choix de quitter cette ville quand elle était jeune ?



Beaucoup de questions qui, doucement mais sûrement vont trouver leurs réponses, pour notre plus grand bonheur et alors qu’on se dit que tout se met en place, la mère d’Ellen débarque à l’hôtel, suivie, quelques jours plus tard d’Hayden, son fiancé, un nouveau grain de sable vient enrayer la machine et on ne croit pas si bien dire !!!



Situations cocasses, quiproquos, tout y passe et c’est délicieux. Ellen est face à son destin, elle va devoir laisser parler son coeur ou sa raison, que va-t-elle choisir ?



J’ai passé un agréable moment avec ce roman, c’est un bon feel-good qui nous donne plein d’émotions, On rit beaucoup mais il y a aussi des moments doux, des questionnements, des leçons de vie. Le secret qu’Ellen dévoile petit à petit est très intéressant. L’écriture de l’autrice est agréable, on se laisse guider. C’est une lecture parfaite pour l’été, je suis vraiment heureuse d’avoir lu ce roman !!






Lien : https://jaimelivreblog.wordp..

J'ai relu dernièrement ce livre que j'avais eu beaucoup de plaisir de lire en 2019.

La plume de l'auteure Mary Simses, par l'intermédiaire de sa traductrice Julie Groleau est pétillante, drôle. Une lecture feelgood très amusante, avec une héroïne "miss catastrophe" que j'ai vraiment apprécié. C'est agréable de se moquer parfois des héros, cela fait partie aussi du degré d'empathie que l'auteur nous transmet. Ellen Brandford, jeune et brillante avocate de New York, va se rendre dans le Maine selon les dernières volontés de sa grand-mère, pour donner une lettre à un homme très proche de son aïeule. Mais les choses ne vont pas se passer aussi simplement qu'espérer. Mésaventures, rebondissements, vont faire réfléchie Ellen sur sa vie, et surtout est ce la vie dont elle rêvait ? Une lecture distrayante, parfaite pour finir l'été.

un très bon moment en compagnie d'Ellen , de Roy, de Hayden, ...

Un livre agréable à lire même si on se doute comment va se terminer l'histoire dès le début du roman. Il fait du bien, du bien au moral, il fait sourire, .. on voudrait aussi se perdre dans les yeux bleus de Roy.

On partage les doutes d'Ellen, ses découvertes..

Lisez le .. une belle lecture pour cet été

Un roman qui traîne en longueurs pour vraiment pas grand chose. Gros manque de palpitant, d'originalité.

Les personnages, tout comme l'issue du livre d'ailleurs, sont prévisibles. Ellen, agaçante et Hayden stéréotypé.



Un feel good de piètre qualité et intérêt.

L'irrésistible histoire du café Myrtille.



Ellen Branford est une excellente avocate new-yorkaise.Sa vie est rythmée par le boulot et son mari, qui lui est très engagé dans la politique de la ville ! Mais son petit univers va éclater lors de la mort de sa grand-mère bien-aimée.



Avant de partir, celle-ci lui a fait promettre de retrouver une lettre et de la remettre à son destinataire ... qui n'est autre que son premier amour.

Curieuse d'en connaitre un peu plus sur le passé de son aïeule, Ellen part à l'aventure dans une petite ville côtière du Maine .. Beacon.



Son arrivée ne passera pas inaperçue et ce petit séjour va remettre en question pas mal de convictions chez notre héroïne .

Sa vie est-elle vraiment celle dont elle rêvait ?



Avis : C'était une bonne lecture :)



Au départ, j'ai eu un peu de mal avec l'héroïne, ses idées et réflexions préconçues . Mais au fur et à mesure de ses recherches sur la jeunesse de sa grand-mère, elle change beaucoup et ce n'est pas pour nous déplaire !



Nous prenons plaisir avec elle à aller à la recherche de ce premier amour, de cette jeunesse méconnue à ses yeux.. Nous allons de découverte en découverte, qui nous en apprend un peu plus sur sa grand-mère, ce qu'elle a vécu et des décisions qui ont changé sa vie .. et qui changera celle d'Ellen.



Toute l'histoire se déroule dans une petite ville des Etats-Unis, où tout se sait, où tout le monde se connaît. Ok c'est prévisible, ok c'est un peu kitsch mais c'est une lecture qui fait du bien, qui change les idées, donc c'est une bonne lecture !



J'ai le deuxième roman de l'auteure dans ma PAL et j'ai hâte de le découvrir !



Merci à Kube pour cette découverte :)



Le roman en 3 " mots " : Changement de vie ; feel good ; découverte de soi

*lecture terminée*



Petites leçons de grammaire pour trouver l'amour de Mary Simses publié chez les éditions Nil



Grace Harmond est dans une mauvaise passe. Elle vient de perdre son emploi, son petit ami et pour couronner le tout son appartement est victime d'une inondation. Elle retourne donc chez ses parents le temps de la rénovation dans sa petite ville natale. Peter, son premier amour revient également au bercail pour tourner un film. Elle va également faire la connaissance de Mitch, un jeune homme mystérieux et narquois qu'elle agace un peu. Très vite on comprend qu'elle souffre d'une événement tragique lié à son enfance. Arrivera t'elle à le surpasser et remettre sa vie dans les bons rails?!



J'avais beaucoup aimé le premier roman de l'auteure, l'irrésistible histoire du café myrtille. Malheureusement ça ne l'a pas fait pour celui là. J'ai trouvé beaucoup de clichés et quelques longueurs. Je l'ai fini en diagonale je l'avoue parce que je voulais savoir comment ça finirait.

Il n'y a pas que du négatif, dans l'ensemble j'ai quand même bien aimé l'histoire et l'auteure aborde un évènement tragique avec beaucoup de tact et d'empathie. Ce roman parle de la reconstruction de soi, qu'elle se passe toute seule ou avec l'aide de proches.



J'invite tout le monde à se faire son propre avis évidemment, cet avis ne concerne que moi et mon état d'esprit du moment. Je pense que cette lecture est parfaite pour l'été ou entre deux grosses briques.



Tu connaissais? Tu as déjà lu cette auteure?

Un libraire m'avait conseillé ce roman quand j'avais demandé une romance qui ne prenne pas la tête sans scènes érotiques pour pouvoir ensuite le passer à mon ado.

Bravo à lui, le livre correspond parfaitement à mes critères.



Néanmoins, je ne peux pas dire que ma lecture a été une réussite. J'ai trouvé le roman très convenu, l'héroïne faisant gaffe sur gaffe (et ne tenant vraiment pas l'alcool) et je n'ai pas réussi à m'enthousiamer pour sa recherche du passé de sa grand-mère ni ses hésitations entre deux hommes.



Parfait pour les vacances et se vider la tête. Je n'ai sûrement pas choisi le bon moment!

J'aime beaucoup les couvertures des romans des Editions NiL et celle-ci confirme la règle. J'ai découvert la plume de Mary Simses, avec « L'irrésistible histoire du café myrtille », qui se lit plutôt bien. Mais ma série coup de cœur dans cette édition est la trilogie mettant en scène Alfréd et sa famille : « Les dix vœux d'Alfréd ». Inoubliable.



Grace traverse une mauvaise passe. Licenciée, quittée et dont le studio est impraticable, la jeune femme se retrouve chez ses parents, dans la ville de son enfance. Exigeante et perfectionniste, Grace va devoir un peu lâcher du leste et peut-être repenser sa vie. Mais tout ceci est sans compter sur la rencontre avec son amour de lycée.



Le postulat de départ est très prometteur. Il donne envie, par ce temps maussade de se plonger sous un plaid, un chocolat chaud à la main et de lire cette romance qui promet d'être guimauve à souhait. Tous les ingrédients de la romance sont là : une femme qui se remet en question, son retour dans la ville de son enfance, son amour de jeunesse. Et même le garçon exaspérant. Ajoutez à tout ceci, un secret ou un lourd passé que Grace a du mal à digérer et tout est là pour en faire un roman plus qu'intéressant.



Mais voilà, la sauce met beaucoup trop de temps à monter. Entre des épisodes dignes de Bridget Jones et des longueurs inutiles, le lecteur s'ennuie un peu et trouve le temps long. À noter qu'il a fait un effort, en sortant de ses genres littéraires de prédilection, tout de même. Le personnage de Grace, au lieu de se rendre empathique auprès du lecteur est un véritable cruche. Il ne lui manque plus que les boutons d'acné, et on y est. Ok, c'est un peu dur, mais elle peut se révéler un tantinet crispante tout de même.



Le petit plus de ce roman sont les règles de grammaire qui introduisent chacun des chapitres du roman, et qui en sont un peu le fil conducteur. Hormis cela, les romances - oui, il y en a plusieurs qui se profilent à l'horizon - n'avancent guère. Puis finalement, tombent comme un cheveu sur la soupe. L'autrice a loupé le coche. À trop tergiverser, on rate le train.
Lien : http://lillyterrature.canalb..