AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Mathieu Guibé (788)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


À un sanglot de moi, tu reposes

J'ai passé un excellent moment, je n'ai pas lu toutes les nouvelles d'une traite mais je les ai savourées les unes après les autres sur deux semaines, en lecture parallèle à ma lecture principale.



Je vous invite à écouter mon podcast si vous souhaitez avoir mon avis sur chaque nouvelle, bien que je ne dévoile absolument rien sur le contenu.



En bref : un recueil qui passe en mode "incontournable" si vous aimez les nouvelles et sinon, c'est le moment de les aimer. Le style de Mathieu Guibé est vraiment addictif, j'ai adoré me plonger dans chacune de ses histoires si bien menées.
Lien : http://fleurnlivres.blogspot..
Commenter  J’apprécie          00
Even dead things feel your love

L'auteur a une belle écriture, bien calée sur l'époque où se situe le roman, l'histoire est intéressante, mais je n'ai pas du tout accroché aux personnages. Ce Josiah m'a agacé avec ses atermoiements de donzelle et même les passages "vampiriques" ne m'ont pas donné le frisson, je n'y ai pas cru. Quant à Abigale, sans trop réfléchir, elle se laisse saigner par ce type qu'elle ne connaît pas vraiment, aussi facilement que si elle se faisait faire une manucure, alors que cette décision est si lourde de conséquence, mettant en jeu sa vie ! Bref, je les oublierai vite, je crois...



Je ne parviens pas vraiment à dire ce qui m'a manqué pour m'accrocher, si ce n'est que je suis allée jusqu'au bout en me disant "ça va s'arranger, ça ne peut pas être aussi plat", et bien arrivée à la page finale j'ai pu dire "hélas ! si..." Peut-être un peu de rythme, des dialogues auraient-ils suffi ?



Déception....
Lien : http://la-clef-des-mots-e.mo..
Commenter  J’apprécie          00
Quintessence hiémale contes d’hiver

Bonjour,



Je recherche ce livre, est ce que quelqu'un serait disposé à me le vendre s'il vous plait ?



Bises
Commenter  J’apprécie          00
Even dead things feel your love

Un roman francophone dans la tendance gothique romantique qu’on apprécie d’avoir entre les mains. Even dead things feel your love de Mathieu Guibé nous transporte dès les premières pages dans son univers tout en contraste. Le roman est Amour autant qu’il est Souffrance, il se construit de ses deux amants métaphoriques avides de se nourrir l’un de l’autre.



Une histoire qui pourrait sans conteste être issue du XIXème siècle. On m’aurait confié que Even dead thing feel your love avait un jour figuré sur la table de chevet de Bram Stoker, Oscar Wilde ou Edgar Allan Poe, je n’aurais pas été surprise le moins du monde.



L’univers de Mathieu Guibé est clairement imprégné de l’époque victorienne, tout autant que le sont ses personnages dont l’humeur mélancolique ramène au genre romantique.



Josiah Scarcewillow, notre principal narrateur, est complexe, difficile à cerner. Son identité clair-oscbur nous laisse souvent perplexe et bien que l’on développe facilement une certaine complicité avec lui, on ne peut nier qu’il nous effraie au même titre. C’est un personnage doué de tendresse comme de cruauté. Ainsi, dans cette histoire, il incarne à la fois le supplicié et le bourreau.



Le lecteur se lie très rapidement au personnage et ce malgré la noirceur d’âme de ce dernier. Il devient son complice et cautionne toutes les horreurs que Josiah démontre dans le roman. Le lecteur va même jusqu’à lui trouver des circonstances atténuantes et une en particulier qui se traduit par l’amour soudain que le vampire développe pour la jeune Abigail.



Bien que l’univers de Even dead things feel your love soit sombre et torturé, l’Amour est omniprésent. Il est même le centre autour duquel gravitent les personnages, jusqu’à se perdre dans le néant. On nous dévoile l’Amour sous ses jours les plus cruels. Il en devient un supplice duquel, pourtant, on ne voudrait se libérer pour rien au monde. Ainsi, Josiah se morfond dans ce masochisme que n’autorise que le sentiment amoureux. Il en va jusqu’à se perdre lui-même – dont il n’a pas si belle estime d’ailleurs – pour le souvenir de l’être aimé. On assiste alors à sa descente aux enfers sans appréhender un seul instant jusqu’où il pourra aller.



Mathieu Guibé, avec ce récit, fait se bousculer nos émotions. On passe de la tendresse, au dégout, à la compassion puis à l’horreur presque en une seconde à peine. L’auteur ne nous laisse aucun répit et nous envoie à la figure toute une kyrielle de sentiments contraires et pourtant compatibles.



Even dead things feel your love est semblable à un long poème. Une complainte, un requiem qui s’effile avec une lyrisme macabre sur près de 260 pages. Un pur régal !
Lien : http://lilibouquine.blogspot..
Commenter  J’apprécie          00
Even dead things feel your love

Un roman francophone dans la tendance gothique romantique qu’on apprécie d’avoir entre les mains. Even dead things feel your love de Mathieu Guibé nous transporte dès les premières pages dans son univers tout en contraste. Le roman est Amour autant qu’il est Souffrance, il se construit de ses deux amants métaphoriques avides de se nourrir l’un de l’autre.



Une histoire qui pourrait sans conteste être issue du XIXème siècle. On m’aurait confié que Even dead thing feel your love avait un jour figuré sur la table de chevet de Bram Stoker, Oscar Wilde ou Edgar Allan Poe, je n’aurais pas été surprise le moins du monde.



L’univers de Mathieu Guibé est clairement imprégné de l’époque victorienne, tout autant que le sont ses personnages dont l’humeur mélancolique ramène au genre romantique.



Josiah Scarcewillow, notre principal narrateur, est complexe, difficile à cerner. Son identité clair-oscbur nous laisse souvent perplexe et bien que l’on développe facilement une certaine complicité avec lui, on ne peut nier qu’il nous effraie au même titre. C’est un personnage doué de tendresse comme de cruauté. Ainsi, dans cette histoire, il incarne à la fois le supplicié et le bourreau.



Le lecteur se lie très rapidement au personnage et ce malgré la noirceur d’âme de ce dernier. Il devient son complice et cautionne toutes les horreurs que Josiah démontre dans le roman. Le lecteur va même jusqu’à lui trouver des circonstances atténuantes et une en particulier qui se traduit par l’amour soudain que le vampire développe pour la jeune Abigail.



Bien que l’univers de Even dead things feel your love soit sombre et torturé, l’Amour est omniprésent. Il est même le centre autour duquel gravitent les personnages, jusqu’à se perdre dans le néant. On nous dévoile l’Amour sous ses jours les plus cruels. Il en devient un supplice duquel, pourtant, on ne voudrait se libérer pour rien au monde. Ainsi, Josiah se morfond dans ce masochisme que n’autorise que le sentiment amoureux. Il en va jusqu’à se perdre lui-même – dont il n’a pas si belle estime d’ailleurs – pour le souvenir de l’être aimé. On assiste alors à sa descente aux enfers sans appréhender un seul instant jusqu’où il pourra aller.



Mathieu Guibé, avec ce récit, fait se bousculer nos émotions. On passe de la tendresse, au dégout, à la compassion puis à l’horreur presque en une seconde à peine. L’auteur ne nous laisse aucun répit et nous envoie à la figure toute une kyrielle de sentiments contraires et pourtant compatibles.



Even dead things feel your love est semblable à un long poème. Une complainte, un requiem qui s’effile avec une lyrisme macabre sur près de 260 pages. Un pur régal !
Lien : http://lilibouquine.blogspot..
Commenter  J’apprécie          00
Even dead things feel your love

Un vrai coup de coeur, j'ai adoré
Commenter  J’apprécie          00
Germ-iN-es[SENS]ce

En fermant définitivement Germ~iN~es[SENS]ce, j'avais l'impression d'avoir vécu une aventure, et tourner la dernière page m'a déçu... car j'en voulais encore. Mais je crois que plus aurait gâché ce plaisir, cette fin belle, mignonne et touchante (oui bon j'ai beaucoup répété ce mot). Car en plus de sa facilité à nous transporter dans ces diverses visions, Mathieu est un magicien des mots, il manipule nos sentiments comme un sorcier avec ses potions. Cette lecture fut comme un crescendo de battements de coeurs, un nuancier entre noirceur et blancheur immaculée en commençant pas le plus sombre pour nous faire douter, pour clore par le plus brillant qui noue les tripes comme lors de la mort de la mère de Bambi (OK j'y vais un peu fort).
Lien : http://themidnightangel.cana..
Commenter  J’apprécie          00
Quintessence hiémale contes d’hiver

Neige et brise hivernale guident le lecteur à travers les pages ...
Lien : http://autrecotedumiroir.net..
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Mathieu Guibé Voir plus

Quiz Voir plus

Adaptations avec Belmondo

Classe tous risques est un film réalisé par Claude Sautet en 1960 dans lequel Belmondo interprète le rôle d'Eric Stark un convoyeur. Le film est l'adaptation d'un roman de:

Antoine Blondin
José Giovanni
Alphonse Boudard

10 questions
39 lecteurs ont répondu
Thèmes : cinema , littérature , adapté au cinéma , romans policiers et polars , noirCréer un quiz sur cet auteur

{* *}