Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 11/08/1971
Né(e) à : Paris , le 11/08/1971
Biographie :
Ralph Meyer est un dessinateur de bandes dessinées.
En 1990, il quitte Paris et part en Belgique suivre les cours d'illustration et de bande dessinée de l'institut liégeois "St Luc". À l'issue de ce cursus de trois ans, il démarche auprès d'éditeurs avec différents projets, sans succès.
En 1996, il décide de présenter son travail au scénariste Philippe Tome. Ce dernier lui propose une histoire particulièrement noire : un an plus tard, c’est la parution du premier volume de la trilogie "Berceuse assassine".
Entre-temps, il fonde avec d’autres auteurs l’atelier "Parfois j'ai dur". C’est là que naît l’album Des Lendemains sans nuage qu'il dessine avec Bruno Gazzotti sur un scénario de Fabien Vehlmann.
En 2002, toujours avec Fabien Vehlmann, il lance une série de science-fiction, "I.A.N", qui narre les aventures d’une intelligence artificielle recouverte de nerfs et de peau humaine.
En 2008, il signe avec Xavier Dorison le premier volume de la collection « XIII Mystery » narrant la vie de la Mangouste pour lequel il recevra la prix bruxellois « St Michel » du dessin.
En 2010, lui voit prendre un tournant graphique important avec la sortie de "Page noire", un one-shot scénarisé par Denis Lapière et Frank Giroud.
En 2012, il retrouve Xavier Dorison pour le diptyque, "Asgard", qui le plonge dans les paysages nordiques, paru aux Editions Dargaud.
En 2014, il se lance dans un nouveau projet, toujours avec Xavier Dorison. Ils entament tous les deux une série ouverte dans le monde du Western, "Undertaker", dont le premier tome est paru en 2015.
En 2018, l'ESA SAINT LUC le met à l'honneur en organisant une exposition et une rencontre avec les étudiants.
Après avoir longtemps vécu à Liège, il vit désormais à Barcelone, en compagnie de son épouse Caroline Delabie et de leurs deux filles
page Facebook:
https://www.facebook.com/ralph.meyer.79
+ Voir plusRalph Meyer est un dessinateur de bandes dessinées.
En 1990, il quitte Paris et part en Belgique suivre les cours d'illustration et de bande dessinée de l'institut liégeois "St Luc". À l'issue de ce cursus de trois ans, il démarche auprès d'éditeurs avec différents projets, sans succès.
En 1996, il décide de présenter son travail au scénariste Philippe Tome. Ce dernier lui propose une histoire particulièrement noire : un an plus tard, c’est la parution du premier volume de la trilogie "Berceuse assassine".
Entre-temps, il fonde avec d’autres auteurs l’atelier "Parfois j'ai dur". C’est là que naît l’album Des Lendemains sans nuage qu'il dessine avec Bruno Gazzotti sur un scénario de Fabien Vehlmann.
En 2002, toujours avec Fabien Vehlmann, il lance une série de science-fiction, "I.A.N", qui narre les aventures d’une intelligence artificielle recouverte de nerfs et de peau humaine.
En 2008, il signe avec Xavier Dorison le premier volume de la collection « XIII Mystery » narrant la vie de la Mangouste pour lequel il recevra la prix bruxellois « St Michel » du dessin.
En 2010, lui voit prendre un tournant graphique important avec la sortie de "Page noire", un one-shot scénarisé par Denis Lapière et Frank Giroud.
En 2012, il retrouve Xavier Dorison pour le diptyque, "Asgard", qui le plonge dans les paysages nordiques, paru aux Editions Dargaud.
En 2014, il se lance dans un nouveau projet, toujours avec Xavier Dorison. Ils entament tous les deux une série ouverte dans le monde du Western, "Undertaker", dont le premier tome est paru en 2015.
En 2018, l'ESA SAINT LUC le met à l'honneur en organisant une exposition et une rencontre avec les étudiants.
Après avoir longtemps vécu à Liège, il vit désormais à Barcelone, en compagnie de son épouse Caroline Delabie et de leurs deux filles
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https://www.facebook.com/ralph.meyer.79
Source : bd.amiens.com
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Si tu sais à quoi ces gens ressemblent, tu pourras te fondre parmi eux. Si tu sais ce qu’ils veulent, tu pourras les acheter. Si tu les comprends, tu pourras les prévoir.
Quand on a connu une vie comme la nôtre, on ne peut pas arrêter. La seule option qui nous reste est l’ennui !
Tu vas être riche et aucune loi ne s’appliquera plus à toi. Sauf une, tu es professionnel… tu ne tues jamais sans un contrat.
Le tir, c'est comme le violon, c'est tous les jours...
XIII , c'est surtout une intrigue magistralement montée. Mais si tout est bien dans XIII (personnages, action, décor politique), le fait que l'intrigue première ( Qui est-il? A quelle machination était-il mêlé?) soit si parfaite, impliquait en soi une future lassitude.
J'ai personnellement cessé de lire les XIII quand il était devenu évident que les auteurs commencaient à faire de "la prolongation".
De nombreuses oeuvres artisitiques (cinéma, livres,..) ont également souffert de ce que leurs "parents" ont voulu continuer à faire des petits alors que l'oeuvre initiale était déja totalement aboutie. Raison commerciale? bien souvent...
Mais en ce qui me concerne, rien de ceci n'a affecté la grande qualité des premiers tomes. Au moins jusqu'à l'époustouflant " XIII Vs I " !
J'ai personnellement cessé de lire les XIII quand il était devenu évident que les auteurs commencaient à faire de "la prolongation".
De nombreuses oeuvres artisitiques (cinéma, livres,..) ont également souffert de ce que leurs "parents" ont voulu continuer à faire des petits alors que l'oeuvre initiale était déja totalement aboutie. Raison commerciale? bien souvent...
Mais en ce qui me concerne, rien de ceci n'a affecté la grande qualité des premiers tomes. Au moins jusqu'à l'époustouflant " XIII Vs I " !
Nul ne peut imaginer la tendresse d'une mangouste.
- vous savez que la recherche actuelle tente d’élaborer des IA qui ne soient pas de simples « systèmes experts », mais qui puissent prendre des décisions de façon autonome.
L’Artificial Intelligence Research Institute a donc mis au point un cerveau à structure évolutive, constitué d’un réseau de neurones artificiels couplé à un algorithme d’apprentissage.
- ce qu’il veut dire ?
- en clair, nos robots ne sont pas « programmables » : ils apprennent comme vous et moi, par tâtonnements et tentatives renouvelées. Mais plus vite qu’un humain.
L’Artificial Intelligence Research Institute a donc mis au point un cerveau à structure évolutive, constitué d’un réseau de neurones artificiels couplé à un algorithme d’apprentissage.
- ce qu’il veut dire ?
- en clair, nos robots ne sont pas « programmables » : ils apprennent comme vous et moi, par tâtonnements et tentatives renouvelées. Mais plus vite qu’un humain.
Nous réglons des affaires pour aider les autres, jamais pour satisfaire nos envies.
- à couvert !! Ils ont des balles à explosion lente !
- c'est quoi, ces balles ?
- des munitions chimiques... La moindre particule parvenant à pénétrer sa cible s'accroit et se multiplie jusqu'à tout faire péter de l'intérieur.
Fabrication française à destination des conflits africains...
- c'est quoi, ces balles ?
- des munitions chimiques... La moindre particule parvenant à pénétrer sa cible s'accroit et se multiplie jusqu'à tout faire péter de l'intérieur.
Fabrication française à destination des conflits africains...
Les humains sont beaucoup plus équivoques. Ils ne sont jamais ce qu’ils prétendent être.
Ils affirment rechercher la justice mais sont avides de tuer au nom de l’intérêt général.
Cette contradiction permanente est si...
...méprisable.
Ils affirment rechercher la justice mais sont avides de tuer au nom de l’intérêt général.
Cette contradiction permanente est si...
...méprisable.
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