Miki Bukimi

Un tome bien dynamique où la mangaka nous offre de beaux combats, et permet de mettre en avant plusieurs super-héros comme Stardust qui était assez absent du récit jusqu'à maintenant. L'Amarilik continue de se dévoiler et ici au plus grand nombre. Le combat entre les soeurs est surprenant, et la fin m'a énormément plu avec Shy. La mangaka a vraiment de bonnes idées et arrive à les mettre en avant!

Le manga "Shy" a toujours cette façon de jouer sur le cœur, d'alterner entre combats physiques et à travers les mots qui lui donne sa petite touche supplémentaire.

D'ailleurs, il y a quelques magnifiques scènes de combats qui permettent de s'en mettre plein les yeux. A chaque fois, les combats savent être en plusieurs phases et surprendre le lecteur. Nous sommes séparés en plusieurs groupes. Pas le temps de s'ennuyer.

Stardust est cette fois-ci sur la couverture et effectivement il aura un rôle important à jouer dans ce tome, et quand même pas mal de présence, y compris du style.

Il a également été très appréciable, autant d'avoir de la variété dans les affrontements, de voir les héros se battre que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur du dôme, que d'apprendre de nouvelles informations sur celui-ci qui ajoute des enjeux, de la tension, y compris d'y mêler la population.

De plus Shy/Teru est toujours accompagné d'Ai, une héroïne et une ninja, cela ajoute également des saveurs, sans compter le duel entre les sœurs ninja, mais où le lecteur ne peut s'empêcher d'avoir le cœur serré par moment, d'espérer, et sera aussi emmené dans leur passé.

Le manga nous réserve de l'action, des rebondissements, des surprises, et également quelques touches d'humour.

Fan de My Hero Academia lisez aussi Shy. Tout ce que vous aimez lors des phases de combats de MHA, vous le retrouverez également ici !



Shy est en effet une belle réinterprétation moderne du thème du super-héros, tout comme l'est MHA. Sauf qu'il accentue encore plus le thème des fragilités qui deviennent des forces, de ce que les gens perçoivent comme des faiblesses qui une fois acceptées permettent de se transcender.



L'autrice est tout aussi à l'aise que Kohei Horikoshi pour mettre en scène depuis le dernier tome des antagonistes qui passent à l'action et lancent une attaque globale. On suit à tour de rôle les membres du groupe des héros qui ripostent. La narration est ultra dynamique avec une caméra à l'épaule qui passe de l'un à l'autre pour rendre le récit de ces combats vifs. A l'aide d'ellipses bien choisies, on avance ainsi assez rapidement. Pour autant, Bukimi Miki n'oublie pas de développer ses personnages, parfois de manière tendre et rigolote, parfois de manière plus sérieuse, mais toujours avec sincérité, chacun affrontant soit son alter-ego soit son opposé pour grandir en tant qu'héros et être humain.



Je me suis ainsi amusée avec une Lady Black amoureusement timide. J'ai trouvé adorable le duel en miroir de Mian Long et Furax qui se trouvent tour à tour mignon et viril et s'envient. J'ai adoré découvrir un autre Stardust, qui rêve d'être le plus super-héros le plus gentil, quand il a affronté le chef des méchants et son acolyte Vade Retro. A chaque combat, l'autrice met en avant les qualités tirées des faiblesses des super-héros mais aussi de leurs opposants, le tout dans un cadre fantastique rappelant des titres comme X des Clamp, avec ce dôme noir opaque, sorte de kekkai moderne.



Quant au duel fratricide (si quelqu'un à le terme au féminin, je suis preneuse ;)) entre Ai et sa jumelle, il tient toutes ses promesses. Il est complexe, poignant, émouvant et dramatique. La façon dont l'autrice mélange leur histoire de vie avec les codes japonais propres aux shinobi est très bien fait. J'avoue juste ne pas être fan de la présence de Shy qui est de trop pour moi. J'aimerais bien qu'elle se fonde plus dans le décor et ne soit pas LA super-héroïne qu'on met autant en avant partout dans chaque combat ou presque, ça empiète de trop sur les autres comme si elle était plus importante ou meilleure qu'eux et ça me dérange, mais je sais aussi que c'est le credo de la saga.



En attendant, l'autrice a vraiment fait des progrès dans ses dessins, ceux-ci sont bien plus dynamiques et lisibles qu'au début. Ils ont en même gagné en drame et en noirceur. La symbolique y est forte jusque dans la mise en scène de chacun des combats qui est vraiment propre au héros mis en avant. Ainsi, j'ai beaucoup aimé cet ultime combat de soeurs à la mode japonaise typique avec technique de sabre, influence de la lune et présence de créatures mythiques. C'était top.



Je me suis vraiment régalée avec ce nouveau tome de Shy. J'ai été surprise par la hausse de qualité de l'histoire qui sort un peu de ce schéma à l'unité qu'elle avait auparavant pour offrir des combats plus massifs. J'espère que cela se poursuivra car c'est dans ce format que j'aime les histoires de super-héros et si en plus Bukimi Miki continue de creuser cette veine de héros fragiles devenant plus forts grâce à cela, je sens que je vais adorer.
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On n’est pas sur un tome fort en action, mais plutôt axé sur des débats. Ce que l’on trouve avec les deux personnages masculins qui posent la question de ce qui fait un homme, ou de ce qu’il peut aimer. Ou encore, Miss Foufou qui nous interroge sur les adultes et leur utilisation du rire, criant de vérité. J’ai beaucoup aimé le développement de l’histoire d’Ai, qui vient toujours nous interroger.

Bukimi Miki continue de nous proposer sa version revisitée du shonen de superhéros. Entre combats contre les antagonistes d'Amalarilk et conversation profonde sur le mal être de chacun, nous avançant lentement mais sûrement vers d'autres très belles confrontations.



J'ai à nouveau été séduite par le concept étrange de la série dans ce 6e tome. Malgré un schéma typique emprunté à une série comme Saint Seiya, où chaque héros va affronter son équivalant pendant que les autres avancent, j'ai beaucoup aimé la dynamique de ce tome. Oui, c'est prévisible, oui c'est gentillet et un peu bateau, mais ça fait du bien aussi de retrouver de tels sentiments.



Ainsi, j'ai apprécié le duel entre les deux garçons et leur définition de ce que c'est d'être un garçon, l'un voulant être viril, l'autre aimant tout ce qui est mignon, et les deux tombant d'accord sur le fait que le mieux c'est d'être soi-même et que la société devrait nous accepter. Cette volonté d'accepter, on la retrouve avec Pepshka qui affronte en quelque sorte la disciple de sa mère, une jeune fille qui comme elle porte un masque. La façon dont ces deux opposées se complète fut très joliment mise en scène malgré la rapidité de leur duel. J'ai aimé la tendresse que l'on ressent alors et l'envie de protéger chacune d'elle. Mais je retiens surtout leur discours comme quoi, on a le droit aussi de ne pas toujours être jovial, d'être même parfois un peu froid et réservé, car cela ne veut pas dire qu'on ne ressent rien.



Enfin, la grosse partie du tome est bien sûre consacrée aux jumelles shinobi. Nous avions déjà eu des chapitres sur les autres héros, il nous restait à découvrir Ai. Son histoire avec sa soeur et leur vision opposée du devenir des ninja est volontiers poignante. On sent que l'autrice utilise tous les ingrédients connus pour émouvoir son lectorat et ça marche. Alors oui, c'est facile et prévisible, mais on se laisse quand même piéger et on est touché par leur histoire et le confrontation que cela annonce.



Avec efficacité et surtout émotion, Bukimi Miki continue de déployer son univers tout en nuances où les méchants ne sont pas de vrais méchants et où les héros ne sont pas des surhommes. J'aime cette ambivalence dont elle fait preuve. J'aime que ce qui est considéré généralement comme une faiblesse n'en soit pas une ici, mais plutôt un point positif et utile pour se rapprocher et apprendre à connaître et comprendre l'autre. Cette aura très positive dans l'histoire fait vraiment du bien. Après l'ensemble est archi classique et prévisible malgré ses belles paroles et ses combats punchy, ce qui donne juste le rang de série sympathique à la série.
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"Shy" continue à être une histoire sympathique, intéressante, avec de sacrés combats, de drôles de choix. D'une manière classique, nos héros doivent faire face à leurs ennemis et contrecarrer leurs plans. Des ennemis qui ont l'air fous, redoutables, ou comme sombrant dans les ténèbres et/ou la folie, qui surgissent sans crier gare. Parfois, le groupe se sépare pour continuer à avancer, c'est alors du un contre un, plutôt bien pensé. Mais son originalité, sa touche en plus, sera d'interroger le cœur, d'essayer de voir au-delà, de comprendre, de voir que la notion de bien et de mal est plus complexe qu'elle ne le semble à la base.

Un homme qui aime les choses mignonnes, mais c'est quelque chose de mal vu par la société. Une personne qui sourit bien souvent, mais c'est pour cacher des fêlures.

Le groupe de héros avance vers la tour, mais fera face à bien des obstacles, dont certains seront trompeurs. Parfois même, la situation changera en un instant, ou même face à l'ennemi

il suffit de quelques mots mal placés et interprétés.

Au milieu des combats, des explosions en tout genre, il y a également des réflexions, des confrontations d'opinions.

Du côté de nos héros, Aï prend sa place lentement mais sûrement, et surtout vers la fin, le passage que j'ai préféré, nous revenons dans son village et découvrons son histoire. Notre attention est captée du début à la fin. Et cela permet en même temps de découvrir un autre personnage.

Rien n'est vraiment simple, nos héros sauront-ils illuminés le monde ?

Des chapitres plus calmes et plus doux, mais qui font du bien suite à un arc plus intense et poignant. Dans ce type d'épisodes, la mangaka parvient toujours à créer une atmosphère sereine et happante, tout en affinant les liens entre Teru et sa meilleure amie, de manière à renforcer l'aspect tranche de vie adolescente du titre en parallèle à l'histoire de super-héros. C'est une formule bien équilibrée et traitée comme il se doit, ce qui suffit à rendre cette poignée de chapitres saisissants.
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Depuis que j’ai commencé cette série, je suis séduite par la conception du super-héros du manga. J’aime le fait que la bienveillance soit au cœur des agissements de nos personnages. Cette suite, met en scène un affrontement qui ne sera pas facile avec l’un des pantins de Sigma. Seulement, cet ennemi n’est autre que la défunte mère de Spirits. Combat qui va durer une bonne partie de ce tome pour ensuite laisser place au quotidien un peu plus simple de Shy.



J’ai donc bien aimé cette suite, j’ai hâte d’en savoir plus sur Sigma. On découvre un peu plus sur lui à chaque tome. Je trouve que le tout est bien chorégraphié, entre combats, révélations et univers graphique très dynamique. On a de belles planches qui détaillent les affrontements et d’autres un peu plus douces quand il s’agit de montrer la vie de nos héros en dehors de leur statut. Shy est une héroïne toujours aussi attachante et j’adhère complètement à ses valeurs. J’aime d’ailleurs beaucoup l’esprit positif du manga. Le fait qu’il nous parle autant du cœur humain (pas d’un point de vue anatomique bien sûr).



En somme, j’ai passé un bon moment avec ce nouveau tome plein d’action et de révélations. J’ai bien aimé l’univers et l’histoire développés par ce tome.

J’avais beaucoup apprécié le premier tome. Et bien le deuxième également désormais. C’est une merveilleuse découverte en ce début d’année 2021.Le pitch est original, les personnages intéressants, l’univers est fascinant. Bref tout est réuni dans le manga pour passer un excellent moment de lecture. J4ai déjà plus que hâte de découvrir le troisième tome c’est pour vous dire.



Dans ce deuxième opus on retrouve notre très chère Shy après son combat avec Stigma, elle a beau l’avoir réussi à le battre elle reste une héroïne qui doit encore tout apprendre. Elle ne sait pas encore maitriser son pouvoir et c’est tout de même assez problématique pour une héroïne.. Elle va se battre contre Stardust, le héros de l’Angleterre mais va t’elle réussir à enfin dévoiler le pouvoir qui sommeille en elle?



Dans ce tome on fait la connaissance de nouveaux héros, notamment celui de l’Allemagne, celle de la Suisse et celui de la Chine. Bien qu’on voit furtivement le héros de l’Allemagne, celle de la Suisse, Lady Black et celui de la Chine, Mian Long, prennent une place un peu plus importante. En effet, Lady Black se rend chez Shy pour poursuivre ses soins étant donné que son pouvoir est celui de la guérison. Elle vient en civile et va rendre service à Shy. Par contre j’adore énormément son personnage, elle me fait tellement rire avec son caractère explosif. La pauvre Shy parfois elle comprend à peine ce qui lui arrive! Mian Long on ne le voit pas beaucoup également, il arrive à la fin du tome mais j’espère qu’on en apprendra un peu plus sur lui plus tard!



Le thème des supers héros est un thème vraiment génial à découvrir dans un manga. Les deux premiers tomes sont clairement une véritable réussite pour moi. C’est une année qui commence super bien du côté de chez Kana. Si vous n’avez pas résisté au charme de Shy, n’attendez plus c’est vraiment excellent!
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Bukimi Miki confirme peu à peu les qualités de Shy via une trame qui se précise, un style bien à elle, et un scénario qui n'a pas les yeux plus gros que le ventre. L'approche a beau être simpliste, elle est pertinente au sein du titre et maîtrisée dans les différents éléments abordés. Une suite convaincante donc, et on espère que les volumes à venir seront de cet acabit.
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Comme je le craignais un peu l'auteur est reparti à alterner petites histoires anecdotiques et vaste complot mondial, mais ce dernier ne parvient pas à prendre l'ampleur qu'on aimerait lui voir...



Bukimi Miki a vraiment mis l'accent sur son héroïne dans cette série qui porte son nom. Ainsi, toutes les histoires que peut faire la terrible organisation Amalarilk n'auront jamais la première place. Non, l'auteur préfère à la place parler de son héroïne, de ses amies, de ses relations aux autres et de la façon dont elle va prendre confiance en elle. Un choix audacieux mais qui ne paie pas toujours.



Je dois avouer que la première moitié de ce tome où Teru et Iko font la connaissance d'une jeune princesse shinobi échappée de son village, qui souhaite gagner en indépendance, n'a pas brillé par son originalité et son intérêt. J'ai trouvé ça mignon mais plat et déjà vu. Certes, c'est chaleureux, la relation amicale entre les trois filles se construit naturellement et avec humour, mais il lui a manqué quelque chose.



Heureusement du coup que ça ne traine pas en longueur et qu'assez vite Amalarilk pointe le bout de son nez. Ceux-ci sont toujours en arrière-plan à chaque fois que Teru rencontre et s'approche de quelqu'un. Ici, notre princesse cache aussi un sombre passé dont elle n'a pas encore parlé et il n'y a pas que son arme qui semble magique. L'auteur nous relance donc dans un combat où Shy va devoir prendre les choses en main et c'est une bonne chose pour nous réveiller.



Cependant, ce tome ne vient qu'amorcer cette nouvelle affaire. On y voir un centrage sur Shy à qui on confie la place de leader dans cette mission de sauvetage qu'il faut organiser à Tokyo. Un travail a alors lieu de la part du mangaka pour montrer l'évolution de son héroïne et combien elle doit prendre sur elle pour grandir et avancer. C'est traité positivement et avec bienveillance, la preuve au-delà de leurs qualités, Shy choisit avant tout ceux en qui elle a appris à avoir confiance, ce qui lui permet elle-même d'avoir confiance.



Ainsi contrairement aux autres titres sur les super-héros auxquels Shy peut faire penser - il y a des mises en scène rappelant furieusement My Hero Academia -, le titre continue à suivre sa propre voie, une voie plus intimiste par son attachement à la personnalité de l'héroïne. Alors certes, ce tome n'est pas le plus passionnant depuis le début, mais il continue à la faire joliment évoluer, ce qui donne envie d'en voir le résultat lors d'une mission sous tension dans le prochain tome.
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On en apprend un peu plus sur le grand méchant mystérieux de l’histoire: Sigma mais il reste pas mal de zones d’ombres le concernant. Il se sent investi d’une mission qui ne peut que nous faire réfléchir. J’aime beaucoup ses apparitions dans le manga qui sont accompagnées de discussions et de combats mémorables. Dans le tome 3, l’accent est mis sur Shy et Spirits. Un voyage en Russie s’impose pour enquêter sur la mystérieuse appariation d’une jeune femme qui n’a pas laissé Spirits de marbre. Une suite qui va amener pas mal d’introspection et d’émotions.



En somme, malgré quelques chapitres qui m’ont paru un peu lent et longs, j’ai bien aimé dans l’ensemble cette série qui m’intrigue. Je me demande ce que la mangaka nous réserve pour la suite. Ce qui m’a le plus séduit, c’est la bienveillance qui émane du personnage de Shy et le fait qu’elle veuille à tout prix progresser pour aider le plus de monde possible.




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Dans le tome 2, Shy comprendra qu’il va falloir qu’elle s’endurcisse. Son combat avec un autre super-héros: Stardust, la mettra à l’épreuve. Elle découvrira en elle des ressources insoupçonnées. J’aime le fait que ces héros puisent leurs pouvoirs dans leur cœur. Il s’agit encore et toujours, non pas de changer, mais de faire de ses peurs une force, de s’accepter et d’être bienveillant envers soi-même et ce qui nous entoure. Les protagonistes de Miki Bukimi sont loin de l’image lisse et parfaite des personnages qui possèdent de grands pouvoirs. Ils ont leurs failles et c’est ce qui fait leur charme.

En somme, malgré quelques chapitres qui m’ont paru un peu lent et longs, j’ai bien aimé dans l’ensemble cette série qui m’intrigue. Je me demande ce que la mangaka nous réserve pour la suite. Ce qui m’a le plus séduit, c’est la bienveillance qui émane du personnage de Shy et le fait qu’elle veuille à tout prix progresser pour aider le plus de monde possible.
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Que d'émotion dans ce tome ! Vraiment hein, j'en ai pleuré à un moment xD



J'adore ce concept de super-héros dont les pouvoirs viennent du "cœur" : ça permet un approfondissement du côté psychologique dont, personnellement, je suis fan. Les méchants sont aussi mystérieux que touchants : on ne comprend pas encore très bien ce qu'est leur but, mais ça viendra par bribes, je pense.



J'aime toujours autant Shy : une héroïne à laquelle je peux m'identifier ! Mais elle évolue, elle prend confiance en elle d'une certaine façon... Et elle fait de nouvelles rencontres ! La dernière d'entre elles m'intrigue beaucoup d'ailleurs...



Mais ce tome, comme le précédent, est surtout centré sur Pepesha ! Cette héroïne au grand cœur (et au foi bien résistant vu les litres qu'elle s'enfile) a une histoire profondément triste, mais tellement belle (oui, c'est à ce moment-là que j'ai pleuré xD ).



Un manga plein de sensibilité mêlée à de l'action : personnellement, c'est mon lot gagnant ^^

Alors que je suis un peu lente et que je viens seulement de réaliser que le logo de la série rougit tout comme son héroïne..., la série, elle semble avoir trouvé son rythme entre tranche de vie gentillet et combat contre l'organisation Amalarilk qui souhaite un monde sans adulte. Ça se laisse très bien lire mais cela a un côté déjà vu que fait que la série manque d'intensité.



En effet, alors que je trouvais le concept assez enthousiasmant, l'autrice ne parvient pas vraiment à concrétiser la chose et propose une histoire encore un peu tiède pour le moment. C'est cependant plein de bons sentiments qui font chaud au coeur et les différentes rencontres sont l'occasion de discussion à coeurs ouverts qui touchent. Toutefois dans un titre mettant en scène des superhéros, je m'attends à plus d'action et moins de palabre, ce qui n'a pas été vraiment réussi dans ce tome.



Celui commençait pourtant bien avec le combat entre Pesh et sa mère, sous le regard attentif de Shy. Le premier chapitre offrait de jolies scènes de combat, scènes qui furent malheureusement vite torpillées par l'orientation plus psychologique du récit. En effet, l'autrice profite de cet affrontement pour plutôt revenir longuement sur la relation mère-fille des deux femmes, aussi bien du point de vue de l'enfant que de la mère. En soi, c'est touchant, avec de belles paroles, de beaux développements sur la parentalité et les relations parents-enfants, mais c'est vu et revu malheureusement, alors je n'ai été qu'à moitié touchée.



A la place, j'aurais aimé un vrai développement autour d'Amalarilk sur lequel nous n'avons des informations qu'au compte-goutte. Informations, en plus, déjà entendues, il me semble. J'aime le potentiel de ce groupe et de son leader et j'aimerais qu'il soit mieux exploité, mais l'autrice ne m'entend pas vraiment pour le moment ^^!



Elle préfère mettre en scène et appuyer sur le côté banal et normal de son héroïne, comme elle l'illustre dans la dernière partie. Shy se retrouve malade et se fait aider par sa camarade de classe et amie à qui elle apprend qu'elle a perdu sa soeur aînée. Shy sauve un petit garçon et tombe sur une journaliste qui cherche sa voie et elle l'aide dans ce sens. Shy se balade avec son amie et tombe sur une jeune fille un peu perdue qu'elle prend sous son aile. Ce sont tous des petits instantanés de la vie de l'héroïne qui la montre sous son jour timide, banale, mais profondément gentille et toujours au petit soin pour les autres. C'est mignon tout plein, mais ça ne vole pas très haut non plus ^^!



Je ne sais pas si c'est moi qui n'étais pas dans de bonnes dispositions ou si le titre marque le coup, mais j'ai été moins convaincue ici. J'ai trouvé le tome un peu mou, un peu trop bavard, manquant d'action, de secrets et de révélations. J'en attends plus.
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J’attendais ce tome avec impatience parce que les événements du tome précédent m’avaient beaucoup plu et touchés. Cela permet de revisiter les super-héros en leur donnant toujours un côté plus humain, et encore une fois, la mangaka le met bien en avant dans ce tome, et c’est ce qui me plaît énormément avec ce titre et que je continue de suivre ce titre.



Avec ce quatrième tome, on reprend là où on nous avait laissé dans le précédent, en pleine Russie, plus précisément à l’orphelinat où Spirits a passé une bonne partie de son enfance, et en compagnie de Shy. Si cela semble plutôt nostalgique, nos deux héroïnes étaient en mauvaises postures, en effet, elles affrontaient deux membres du groupe Amalarilk, dont Tevsla qui n’était autre que la maman de Spirits. Ces retrouvailles qui n’ont pas été faites dans les meilleures conditions ont tout de même étaient très touchantes.



On a droit à un superbe combat entre nos deux héroïnes et nos deux ennemies, on n’est plus vraiment sur un combat à la force de ses poings, mais on va plus être sur un combat de paroles. La maman et sa fille en pleine bataille vont échanger sur les non-dits et leurs ressentis, surtout au moment où elles étaient encore ensemble. Des discussions, des paroles, des pensées qui auraient dû être dites quand elles étaient encore réunies. A ce moment-là c’est un peu tard, mais cela va tout de même permettre d’apaiser le cœur de la maman de Spirits, et de pouvoir se libérer de toute cette rancœur qu’elle a gardé en elle. Des éléments qui nous sont racontés à plusieurs reprises, qui me donnent presque une petite impression de redondance.

L’acolyte de Tevsla est plutôt absente dans ce tome, elle a droit à deux ou trois apparitions assez brèves, mais j’espère que l’on pourra la revoir par la suite. Et surtout que l’on apprendra à la connaître ainsi que son histoire.

J’ai vraiment apprécié ce combat de par son côté touchant et les émotions qui ont su être transmises, mais d’une autre part avec Shy. Cette dernière ne fait pas preuve d’une grande force physique comme on avait pu le voir précédemment et que j’avais espéré, mais d’une grande force mentale, et qui aura été une grande aide aussi pour Spirits. Je me sens réconciliée avec la force de Shy.



Dans une seconde partie du tome, on retrouve notre protagoniste Shy, dans un quotidien plus classique pour elle. Elle reprend ses petits sauvetages physiques, ou bien malgré elle, elle va aider d’autres personnes avec de simples paroles. C’est la simplicité de Shy qui est vraiment très intéressante et plaisante.

Et cette simplicité ressort aussi dans son quotidien de collégienne, où la mangaka met toujours en avant cet équilibre entre vie personnelle et vie de super-héros. Surtout, on a droit à un joli rappel en compagnie de la nouvelle meilleure amie de Teru, Iko. Les super-héros ne sont pas que des personnes dotées de pouvoirs, ce sont aussi des êtres humains avec des besoins, des envies, des forces et des faiblesses. Ce sont aussi des monsieur et madame tout le monde, et il y a une jolie réflexion de Iko sur ce sujet, qui se rend compte que ce sont aussi des personnes banales, les pouvoirs ne sont qu’un plus.
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Chaque pays a son héro. Dans un monde sans guerre, il ne reste plus qu'une mission principale pour les héros = sauver le coeur de la planète.

Shay est une adolescente d'une timidité maladive. Pourtant elle est Shy, l'héroïne du Japon. Il faudra qu'elle prenne confiance en elle pour être la meilleure héroïne possible.



Un premier volume très prometteur pour la série. Il fait partie de la veine des ouvrages qui déconstruisent un peu les héros forts et qui réussissent tout. Ici Teru est d'une timidité telle qu'elle est malade quand elle doit prendre la parole en public, où est rempli de doutes au quotidien. Elle est d'ailleurs la plus faible des héros. Ce qui en fait une héroine très accessible. La reprise des stéréotypes selon les pays m'a fait beaucoup rire également !



Concernant le dessin, c'est joli, expressif et agréable. Sans grande innovation ça reste sympa.

A voir avec la suite !

Extrait :

On se retrouve pour une nouvelle chronique sur la série Shy, avec le troisième tome de la série. Cette fois-ci direction la Russie, le pays d’origine de Spirits, en quête de réponses et d’indices. Une fois de plus Shy va briller de mille feux à sa façon et prouver que l’on peut compter sur elle malgré ses défauts !



Avec ce nouveau tome, centré sur Spirits, on en apprend plus sur son passé, où et comment elle a grandi, mais surtout comment elle en est venue à boire tout le temps (ce qui est assez triste et comique à la fois je trouve). Mais ce n’est pas la seule chose qu’on apprend sur elle, et il se pourrait qu’elle est un passé commun avec l’un des acolytes de Stigma… Le tome fini sur un combat en cours, dont vous pouvez deviner la tournure avec la couverture du prochain tome.



Les héros sont au centre de ce récit, mais malgré tout, l’auteur ne met pas de côté d’autres personnages comme Koishikawa, l’amie que Shy a sauvé précédemment. Bien au contraire, celle-ci est intégrée dans la trame du récit, et permet même d’aider nos héros à sa façon, avec ses propres capacités et son propre vécu. J’espère que ce développement continuera ainsi pour elle, afin de continuer à la voir soutenir Shy durant ses différentes épreuves.



[...]



En bref, la série continue de me plaire et j’attends avec impatience la suite des évènements !
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Dans un monde où des super-héros sont apparus, la guerre a ainsi disparue. Chaque pays possède son héros.

Pour le Japon il s'agit d'une ado de 14 ans super timide. Son surnom : SHY!

Pas facile de passer devant les caméras et être médiatisée dans ces circonstances.

D'autant que les héros tirent leur pouvoir de leurs émotions.

Si jamais SHY perdait sa confiance ou son envie de se battre face à un ennemi, son pouvoir disparaîtrait.

Il va falloir qu'elle prenne confiance en elle, d'autant qu'un nouveau méchant vient d'apparaître...



Nouvelle série des éditions kana, SHY est un shonen avec une héroïne, ce qui est déjà original.

Ensuite l'héroïne est elle aussi plutôt originale car contrairement aux héros habituels elle a un manque total de confiance en elle et est super timide.

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Le pouvoir des héros est lui aussi assez particulier car ils peuvent le perdre à tout moment, il n'est pas acquis et il ne suffit pas de devenir super fort.



Perso, j'ai eu beaucoup de mal avec le personnage de SHY, je l'ai trouvé trop pleurnicharde et malgré l'originalité du manga et la qualité du dessin, ça m'a un peu gâché la lecture.

Je vais tenter le tome 3 quand même... pour voir...
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Un premier tome intéressant, qui nous propose une revisite intelligente du mythe du super-héros en la personne d'une jeune fille de quatorze ans rongée par la timidité.

Le scénario est efficace mais souffre de la brièveté du tome ; je pense que pour prendre la pleine mesure de la qualité de l'œuvre, il peut être intéressant d'enchaîner avec le second tome directement.
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