Mitch Albom

J'ai trouvé le début un peu long, un peu laborieux. Je ne voyais pas trop où il voulait nous emmener.



Et puis le récit à démarré. Je me suis retrouvée sur mon canapé, les yeux vissés à l'écran, incapable de le lâcher. Avide de connaître la suite.



Mitch nous emmène totalement ailleurs de ce qu'on pourrait imaginer (en tous cas de ce que j'avais imaginé). J'étais très surprise mais, en écrivant ces lignes, je me rends compte qu'en définitive, il nous en a éloigné pour sans doute, bien mieux nous en rapprocher.



Je ne suis pas très claire?



C'est normal, je ne veux pas vous le gâcher!



Une très jolie surprise, bien plus dense qu'il n'y parait que je conseille vivement.



Merci aux éditions Kero.

Je remercie les éditions Kero et le site Babelio pour m'avoir fait connaître ce nouveau roman de Mitch Albom.

Je suis une lectrice fidèle de cet auteur.

Je sors de cette lecture mitigée. La lecture a été fluide, rapide, mais il y avait un petit "je ne sais quoi" qui m'a empéché d'apprécier ce roman autant que les autres.

Le dénouement est intéressant, je n'aurais jamais soupçonné cela. Mais le fait de rajouter le doute de fin m'embête un peu.

C'est comme si l'auteur qui écrit beaucoup sur la foi dans ses romans ne voulait pas rayer le mystère et la croyance. Il érige une histoire qui tient debout et à la fin rajoute un détail qui ébranle la structure de l'histoire.



Toujours est il que ca se lit facilement, les personnages sont sympas, quoique la bataille des églises chrétiennes sur la primauté des appels est si réalistes qu'on ne peut empêcher d'être déçue devant le manque de modestie des pasteurs, curés et autres.



Bonne lecture mais pas à la hauteur des autres romans de Mitch Albom!

L'idée est originale et plutôt bien traitée.



Mais je n'ai pas aimé le rythme du roman. Le début est un peu long, on met vraiment du temps à entrer dans le vif du sujet. Le livre me tombait un peu des mains. Quand on commence à entrer dans le sujet .. pouf ... c'est déjà fini.



C'est court, pas très dense ... Une déception.

La petite ville de Clearwater est une ville américaine comme il en existe beaucoup outre-Atlantique : calme, paisible, et même vaguement ennuyeuse, il ne s’y passe jamais rien de notable. Les quelques milliers d’habitants se connaissent tous, car ils vivent dans cette bourgade depuis plusieurs générations. L’on s’y transmet maisons et commerces de père en fils. Jusqu’au jour où Clearwater fait les gros titres des journaux, après un miracle. Oui, vous avez bien lu, un miracle, ni plus, ni moins. L’une des habitantes fait un jour, en pleine messe, une révélation surprenante : elle a reçu un appel téléphonique de sa sœur. Or, celle-ci est décédée depuis deux ans.



D’autres voix s’élèvent alors, d’habitants qui ont tous reçu l’appel d’un proche mort. Les médias s’emparent de l’histoire. Véritable signe divin, ou supercherie cruelle ? Les avis sont partagés, entre ceux qui rêvent de croire à un paradis, et ceux qui rejettent violemment l’idée même d’une vie après la mort.



Premier appel du paradis, Mitch Albom, Kero Allo ? Ici l’au-delà…

Sully Harding, le héros de ce roman, vient de sortir de prison, où il a passé quelques mois. Ces quelques mois incarcéré ont suffit à détruire sa vie : emprisonné injustement, il vient également de perdre sa femme, et se retrouve seul pour élever son fils de sept ans, Jules. Quand Sully a vent de cet étrange phénomène, et qu’il voit son petit garçon attendre désespérément un appel de sa maman décédée, son sang ne fait qu’un tour. Si escroquerie il y a, cet ancien militaire le découvrira.



Le récit de Mitch Albom montre comment l’existence d’une petite communauté est chamboulée par un phénomène d’une ampleur qui dépasse ses habitants. Comment réagir face à l’éventualité d’un miracle, face à la possibilité de résoudre une des énigmes les plus anciennes de l’humanité, de découvrir ce qui se cache de l’autre côté du rideau de la vie ? Même le clergé local est dépassé, et contraint de s’allier pour faire face aux questions des fidèles, et aux conversions presque instantanées que suscitent ces étranges appels. Mitch Albom montre avec beaucoup de doigté les dérives de la presse, avec des journalistes prêts à tout pour obtenir une déclaration choc de la part des « élus », quitte à jouer avec une fragilité psychologique de plus en plus marquée. Si l’affaire des appels de l’au-delà n’intéresse au départ qu’une petite chaîne locale, les ténors de la profession finissent par se réunir à Clearwater, devenue en quelques semaines le lieu de pèlerinage de, semble-t-il, l’humanité toute entière.



Cette communauté est croquée avec efficacité et réalisme, d’une manière qui n’est pas sans rappeler Stephen King, dans sa façon de saisir sur le vif un petit village, ses ambitions et ses frustrations, comme il le fait notamment dans Dôme ou Salem. L’efficacité justement caractérise le style de Mitch Albom : celui-ci, sans détour, ne s’embarrasse pas de métaphores ou de phrases trop alambiquées. On va droit au but, et au diable les fioritures. On passe rapidement d’un personnage à l’autre. Cette simplicité du style peut sembler un peu trop facile, et un peu trop brute, mais au fond, sert bien l’histoire et ses rebondissements.



Si Premier appel au paradis n’égale pas le très bon Les cinq personnes que j’ai rencontré là haut, et manque peut-être un peu d’émotion par rapport à ce dernier, il demeure un très bon roman de détente, qui se lit en quelques heures avec beaucoup de plaisir
Lien : http://cafe-powell.com/2014/..

Coldwater, petite ville de 6000 âmes dans le Michigan est une bourgade tranquille. Trois policiers y officient et sont en nombre suffisant, l'usine de cidre est prospère et les seules attractions sont les événements sportifs locaux.

Or, un jour, un phénomène étrange vient bousculer la relative sérénité de certains habitants. Katerine reçoit un appel de sa soeur, décédée. Puis c'est au tour de Jack, chef de la police locale, qui en décrochant son téléphone entend la voix de son fils soldat mort en Afghanistan. Abasourdis, ces "élus" ne savent que faire. Tandis que Jack opte pour taire ce qui lui est arrivé, Katherine n'hésite pas à en parler à l'Eglise.

Dès lors, une certaine animation et fièvre s'emparent de Coldwater. Le clergé se réunit pour statuer sur le caractère miraculeux ; les journalistes arrivent en ombre tout comme les curieux. Le café local prospère et les églises font le plein de fidèles ; d'ailleurs ces derniers deviennent bien plus enclins à aider leur prochain, les sans-abris, les nécessiteux.

Malgré cet engouement, Sully est sur la réserve. Cet ancien pilote est dubitatif d'autant plus qu'il est veuf et qu'il n'a reçu aucun appel de son épouse. Il ne croit d'ailleurs pas possible que ces appels ne puissent être autre chose qu'une supercherie. Mais comment le prouver ? Il va donc essayer de faire la lumière sur ces étranges appels venus de l'au-delà.



J'ai bien aimé ce roman facile à lire, léger, avec son thème qui nous invite à nous positionner ou au moins à nous questionner. Plus que la fin qui ne répond pas à toutes nos questions, la vraie interrogation est plutôt de comprendre comment on peut adhérer à la conception du paradis dont on ne peut avoir de preuve ou a contrario, quelle légitimité a-t-on de réfuter l'existence de quelque chose qui n'est pas visible et dont la conception nous échappe ?



Merci à Babelio, aux éditions Kéro et à leur coursier.



http://uneribambelle.canalblog.com

Parler au téléphone à un proche décédé, est-ce vraiment possible ? Voici l'intrigue de ce roman. Est ce un miracle de Dieu ? Le paradis existe t-il ? Ou est-ce un gros canular ? Les gens de Coldwater doutent, d'autres y croient mais Sully décide de prouver à tout le monde que ce n'est pas possible. Pas par méchanceté ou mesquinerie, vu que sa femme décédée ne le contacte pas, mais simplement pour éviter de faux espoirs à son petit garçon.



J'ai aimé ce père de famille dépassé par les événements, son fils perspicace et futé, ils forment un joli duo auquel je me suis rapidement attachée. Sully est un homme en pleine reconstruction, on le voit se battre chaque jour pour reprendre sa vie en main et voilà que des appels de l'au delà sont à deux doigts de tout gâcher.



Les gens de Coldwater sont touchants, comme on peut s'y attendre dans les petites villes, les rumeurs vont bons train et les querelles également, mais au fond, ils sont sensibles, blessés et prêts à tout pour s'améliorer. La religion jouera t-elle un rôle là dedans ? L'auteur nous incite à réfléchir sur les croyances, leur impacts (positifs ou non) et sur la vie après la mort. Que l'on soit croyant ou pas, on est obligé de se poser des questions mais cela n'est pas gênant dans la lecture. On ne se sent pas oppressés par ce côté religieux.



Un style d'écriture simple mais efficace. Pas de fioritures, l'auteur va direct à essentiel avec des phrases courtes et bien structurée. J'ai eu l'impression de voir un peu de Guillaume Musso et Marc Lévy et cela dans le bon sens. C'est fluide et agréable à lire, les pages s’enchainent rapidement surtout que le récit est découpé en petits paragraphes permettant de faire des pauses rapidement si c'est souhaité.



L'auteur laisse planer le doute continuellement, un roman prenant qui nous pousse au questionnement ! Les révélations de fin sont parfaites, tout concorde, j'ai tout simplement aimé ce point final.
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Qui n'a jamais rêvé de pouvoir parler à un proche décédé ?

C'est justement ce qui arrive à quelques habitants de la petite ville de Coldwater, dans le Michigan, par le biais d'étranges appels téléphoniques. Le phénomène est vite récupéré par l'Église et par la presse. Bientôt, toute l'Amérique se passionne pour le « miracle » de Coldwater. Or parmi les habitants, certains sont persuadés qu'il s'agit d'un canular. Sully Harding, ancien pilote de chasse qui a récemment perdu sa femme dans un tragique accident, décide de mener sa propre enquête...



« Ce qui suit dépend de ce que l'on est prêt à croire » annonce Mitch Albom dans les premières pages. Et c'est vrai, son roman joue sur la corde sensible et l'espoir, avec un joli suspense mené jusqu'à la fin. Le questionnement sur l'au-delà est un sujet porteur, certainement à l'origine du succès de ses ouvrages précédents — que je n'ai pas lus — et gage d'un avenir prometteur pour "Premier appel du paradis".



La narration est très simple, à la limite du style journalistique, allant jusqu'à retranscrire les reportages télévisés couvrant l'événement. L'auteur utilise beaucoup de dialogues, un peu d'action et de plaisantes formules distillées sur la vie ou la spiritualité, telles que : « Il y a deux récits pour chaque vie : celui que l'on vit, et celui que les autres racontent. » En filigrane, il commente les étapes de l'invention du téléphone par Graham Bell et ce rappel historique donne une belle résonance à l'histoire. Le dosage est juste, si bien qu'à défaut de grande littérature, ce polar ésotérique s'avère un efficace "page turner".



Un grand merci à Babelio et aux éditions Kero pour ce très bon moment de lecture et.. Oups, je vous quitte, mon téléphone sonne !

Le monde entier est figé sur leur poste de télévision pour assister à l’Evénement.

De Coldwater, petit village sur le lac du Michigan, nous allons assister à un événement exceptionnel que nous nommerons « Le Miracle de Coldwater ».

Le présentateur du journal ABC est en lien direct avec le journaliste Alan qui est sur place.

Alan revient sur cet événement et nous informe que depuis quelques semaines 7 habitants de la région reçoivent des appels du paradis. La première élue fut Katherine Yellin, mère de 2 enfants qui affirme être en contact téléphonique chaque vendredi avec sa sœur Diane décédée il y a 2 ans d’une rupture d’anévrisme.

Pour prouver sa bonne foi, Katherine sera donc enregistrée en direct lors de la prochaine communication de l’au-delà avec sa sœur bien-aimée !



En parallèle, Sully Harding qui a perdu depuis peu sa femme dans un tragique accident de la route veut prouver au monde entier que ce fameux miracle n’est que supercherie... Sully est à la recherche de preuves tangibles car Sully ne croit pas à l’au-delà !

Mais quand les gens croient, ils n’ont pas besoin de preuves à moins d’être confrontés à une vérité indéniable.



Alors canular, phantasme ou ... au-delà.

Tout dépend de ce que l’on veut croire ou ne pas croire...



Un bon moment de lecture, une écriture simple et agréable mais étant complètement athée, je n’ai pas adhéré à certains passages très religieux. Ce roman m’apparaît comme un joli conte avec un brin de suspens mais j’imagine que pour les personnes réceptives au phénomène surnaturel ou religieux, ce roman doit être un enchantement.



Je remercie Babélio et les éditions Kero .

Le propre de ce genre de livre c'est qu'en le lisant et en toute connaissance de cause, on se retrouve en train de se dire "Pas possible, c'est vrai ?". Comme si on était en train de lire le fait divers dans le journal de Coldwater.

Mitch Albom est très fort. J'ai lu ces précédents romans, je suis cliente et une bonne cliente même, donc acte.

Donc on y croit. On croit à ces appels téléphoniques tout comme les habitants de Coldwater. On y croit malgré Sully qui mène l'enquête pour prouver le contraire.

Le danger aurait été de nous entraîner dans un univers parallèle - un univers "stephenkinguisé" (je n'ai rien contre Stephen King, je l'adore ! Mais là n'est pas le propos) - je pense aux grands rassemblements de foule sur la pelouse de Tess ; aux affrontements devant l'église entre les croyants et "les autres" qui m'ont fait penser à l'univers de Stephen King. Mais Mitch Albom surmonte ce danger avec élégance et finesse grâce à ... Alexander Graham Bell (!) qui nous oblige à rester lucides et dans la réalité.

Car la surprise de ce roman et que l'auteur a su, si bien, intégrer, est un savant et intelligent parallèle entre les appels téléphoniques venant de l'au-delà et la véritable invention du téléphone. Une invention tout ce qu'il y a de plus terre à terre - une des inventions les plus importantes de notre société - en parallèle avec une histoire totalement fondée sur la Foi et le surréalisme. Et cette petite astuce sauve toute son histoire. Chapeau !

On cavale avec Sully jusqu'au dernier chapitre, avec appréhension - c'est vrai ? c'est pas vrai ? - et jusqu'à la dernière ligne et le livre refermé, on n'est toujours pas sûr de ce qui est vraiment arrivé.

Quel plaisir j'ai eu de lire ce roman.

(Merci à Babelio de m'avoir permis de le lire aussi rapidement).

- Allô ?

- Oui ?

- Tu as entendu parler du dernier Mitch Albom ?

- Non ça parle de quoi ?

- Tu ferais quoi toi si c’était un proche décédé au bout du fil en ce moment même ?

- Un quoi ? Tu délires ? C’est impossible !

- C’est ce dont traite ce nouveau roman. Un effet papillon engendré par la masse et les nouvelles technologies vont bouleverser la planète quand des gens d’une petite bourgade reçoivent des appels de l’au-delà.

- Ça tourne mal ?

- On y voit toutes les réactions…poussées à l’extrême comme l’est la race humaine à chaque événement incroyable : des croyants et des athées qui se déchirent, des commerciaux et des journalistes qui cherchent pouvoir et argent. Sommes-nous vraiment prêt pour recevoir une telle affirmation ?

- Et c’est vrai tous ces appels ? Ils viennent du paradis ?

- Ça, je te laisse le découvre par toi-même !

- Tu as aimé ?

- Le style est simple, mais efficace. La structure repose sur le cas de plusieurs habitants et, par conséquent, le suspens est bien mené avec ces vies qui s’entrecroisent. On y retrouve également des descriptions techniques, comme un scénario, des émissions TV ainsi que l’histoire de l’invention du téléphone, cet appareil qui a révolutionné nos vies. Tu arriverais à t’en passer toi ?

- Je crois pas…

- Et si les morts pouvaient entrer en contact avec nous via ce fil qui nous relie tous ?

Bip. Bip. Bip.

Un peu sceptique au début quand j'ai lu le résumé, j'ai finalement passé un bon moment et ce roman a été vite dévoré. Certes, j'avais peur de tomber dans trop de religion (le paradis existerait !!!???). Mais ce n'est absolument pas le cas.

Les personnages sont bien sûr rassurés en recevant les coups de fil de leurs proches décédés fort de leur certitude que le paradis existe.

Mais voilà, un homme doute, un homme Sully Harding, dont la femme est morte après un coma. Il n'était pas là lorsque cela s'est produit car il se trouvait en prison. Il décide alors d'enquêter sur ce phénomène si bizarre d'autant que les appels ne se font que le vendredi et seules sept personnes reçoivent ces appels.. Pourquoi eux !!?? et pourquoi le vendredi uniquement !!??

Une journaliste enquête sur le phénomène notamment sur Katherine qui communique avec sa soeur Diane, la première des sept personnes a avoir avoué cet appel devant tout le monde à l'église. Bientôt une ferveur religieuse se propage dans Coldwater. Tout le monde veut vivre cette expérience.....

Merci donc à Masse critique et aux éditions Kiro pour cette belle découverte !

J'ai découvert cet auteur il y a un moment avec un autre de ses magnifiques romans. Sa plume m'avait immédiatement emportée et plu, aussi je n'ai pas résisté à l'appel de ce nouveau roman, espérant qu'il serait à la hauteur de mes espérances. A la hauteur, il le fut très largement, car ce roman est tout simplement une vraie perle!



Imaginez un peu: une petite ville sans histoires dans laquelle des gens vont commencer à recevoir des appels de leurs proches ou amis décédés. Chaque vendredi, fidèles au rendez-vous, ils les contactent sur leurs téléphones pour leur parler de l'au-delà et les rassurer. Vérité? Canular? Mais dans ce cas, qui serait capable de reproduire à la perfection les voix de toutes ces personnes disparues?



Autant dire que le jour où une première habitante de Coldwater annonce que sa soeur décédée l'appelle devant tout une assemblée, cela va avoir un effet dévastateur! Cette petite ville si tranquille va se retrouver sous le feu des projecteurs, des médias et des pratiquants de tous bords. Les arrivages en masse vont transformer le quotidien de ces gens de la campagne, pour le meilleur et surtout pour le pire...



L'auteur nous offre ici une histoire qui nous envoûte. Si nous nous posons beaucoup de questions quant à la véracité des faits (ah scepticisme quand tu nous tiens), il est difficile de ne pas s'imaginer ce que cela pourrait être si ces appels étaient vrais. Finalement nous sommes portés par les interrogations de nos différents protagonistes, entre croyants et sceptiques, ce qui engendre une certaine introspection et une réflexion sur nos propres croyances.



Ce sont bien les croyances et la foi qui sont à la base même de ce roman. Sans chercher à orienter le lecteur d'un côté ou d'un autre, l'auteur nous pousse à la réflexion sur notre vision de la vie, de la mort, de la perte d'un être cher, le tout lié à la problématique des médias et de la religion. Franchement, j'ai adoré cette introspection et je trouve ce livre riche en émotions. Je dirais même qu'il m'a fait évoluer sur mes croyances et sur mes propres craintes ou doutes, ce qui est un exploit.



En bref, j'ai adoré ce roman, cette perle difficile à lâcher une fois commencée! Il touche aux croyances sans parler de religion à proprement parler, ce qui permet de s'y retrouver même si nous ne sommes pas pratiquants. Tous les lecteurs devraient y trouver leur compte et ressortir grandis par cette introspection orientée par la plume sublime de l'auteur.

Le passeur du temps – Mitch Albom



Ma note : 3,5/5



C'est un livre coup de coeur, un achat impulsif et incontournable après avoir vu la pochette par hasard sur internet...

J'ai aimé la pochette, elle m'a intriguée, j'ai ensuite tourné le livre et lu le passage qui devait définitivement me faire basculer en état d'achat imminent ... c'était clair, je DEVAIS le lire !



L'interrogation m'a directement touchée, qui et surtout pourquoi un homme s'est-il décidé à mesurer le temps ? Aujourd'hui nous sommes de grands stressés, les yeux rivés sur nos montres, horloges et smartphones des plus perfectionnés ... Et voici qu'un auteur se propose de nous faire voyager, redécouvrir peut-être, réfléchir sans doute sur la vraie valeur du temps.

Le pari est ambitieux. Je ne connais pas l'auteur mais adepte du genre, je me laisse tenter au risque d'être déçue pour en avoir trop attendu, et j'entame la lecture des aventures de ce brave Dor et de ses acolytes Sarah et Victor. J'imagine que l'effet est voulu et que les personnages sont dépeints de manière à cibler un maximum de public cible, afin que chacun puisse s'immerger davantage, mais je n'échappe pas à la règle et les similitudes avec les situations décrites remuent en moi de délicats souvenirs ... Les chapitres sont très court, je n'ai pas pu lâcher le livre avant la fin (et oui, je fais partie de ceux qui attendent la fin d'un chapitre pour refermer le livre le soir quand mes yeux se ferment tout seuls tant la fatigue est là) mais là ... allez, encore un et puis j'arrête ... j'ai arrêté oui, à la fin !

J'ai aimé l'écriture simple, la syntaxe, et le papier tout fin (!) c'était un bon moment de lecture, même si, comme je le craignais, la réflexion sur le temps n'a pas été si intense que je l'aurais espéré ...

Petit point bonus : la fin de l'ouvrage permet de découvrir le premier chapitre de son dernier livre.

Sympa de l'avoir ajouté, et bonne nouvelle, j'ai eu hâte d'en lire plus, à suivre donc ...

c'est un roman qui nous apporte une réflexion sur la vie tout comme j'aime. en dehors de 2 ou 3 paroles sur "Dieu" qui n'est pas trop en accord avec ma non croyance, je le trouve super chouette.

j'ai aimé le retour sur la vie de cet homme par la rencontre de 5 personnages totalement différent. cela passe d'un "Monstre de foire" à un soldat du Vietnam.Il se lit vraiment tout seul.bref je conseille pour ceux qui aime ce genre de lecture

Réflexion sur le sens de la vie, notre place parmi les autres et l'impact de nos actions sur eux. Regarder les événements avec les yeux des autres intervenants peut profondément changer la perception qu'on en avait

Quel beau livre... Un de mes préférés... Le personnage d' Eddie est très attachant. Ce qui se passe après la mort est présenté si joliment qu'on aimerait que ça se passe comme ça...La vie est peu de chose, quelque chose de banal, mais elle est unique et donc précieuse. C'est ce qui me restera de ce livre.

je m'attendais à des réflexions plus profondes, mais ça reste un excellent livre-doudou, plein de charme pour un moment de lecture très agréable.
Lien : http://chezradicale.canalblo..

J'ai trouvé ce livre intéressant, peut être un peu trop leçon de vie et pas assez de sentiments. L'écriture est trop en surface. A relire pour mieux apprécier peut-être ?

Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut est un livre que j'ai lu il y a quelques années et j'en garde un bon souvenir.

Je craignais une vision de l'au-delà mièvre ou trop religieuse mais il n'en fut rien. Ce livre est un joli conte qui propose une vision réconfortante de la vie et de ce qui est susceptible de nous attendre après celle-ci.

Un livre doux et positif qui se lit vite et qui donne à réfléchir sur sa propre existence.

Le roman débute il y a fort longtemps : un homme fait la «découverte» du temps. Il est ensuite exilé dans une caverne où, hors du temps, il restera 6000 ans, à entendre les plaintes de tous ceux qui manquent de temps, avant de réintégrer le vrai monde. Il viendra en aide à une jeune fille en peine d’amour qui tente de se suicider et à un homme riche mourant qui veut se faire congeler.



Titre accrocheur. Le début semblait prometteur, mais mon intérêt a baissé un peu par la suite. J'ai quand même poursuivi pour savoir où l’auteur s’en allait avec ça. Sur la couverture, on parle d’un récit émouvant et magique. Un tantinet exagéré!