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3.85/5 (sur 1921 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Casablanca (Maroc)
Biographie :

Thierry Cohen est né à Casablanca au Maroc.

Il fait des études de psychologie et de sociologie, puis de communication (DEA et Master ESCP). Il débute son parcours professionnel au sein d’une agence de communication, travaille ensuite dans l’audiovisuel en tant que concepteur rédacteur, avant de diriger le service communication d’une entreprise lyonnaise.

"J'aurais préféré vivre" a obtenu le Grand Prix Jean d'Ormesson en 2007, prix récompensant un roman pour sa capacité à défendre la langue française.

Il est aujourd’hui associé à son frère au sein de l’agence A Capella à Lyon.

Il est marié et père de quatre enfants.

Source : http://www.thierry-cohen.fr/
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Pour sa septième édition, le Festival du Regard vous plonge au coeur de la Nuit photographique. Véritable défi pour ce medium qui, par définition, se nourrit de lumière. Après les thèmes « Adolescences », « Habiter », « Voyages extra-ordinaires » et « lntime et Autofictions », voici « Bonjour la Nuit ! » qui vous emmène dans les univers nocturnes de vingt photographes. Parmi les plus connus, Anders Petersen. le festival a l'honneur de présenter des tirages inédits du célèbre Café Lehmitz. Fasciné par le quartier rouge de Hambourg, le photographe suédois va s'immerger dans le huis-clos d'un petit bar du port et tirer le portrait de ses habitués. Cette série produite en 1967 va propulser l'artiste sur la scène photographique internationale. C'est avec « House Hunting », que Todd Hido s'est fait connaître en 2001. Lui qui a su saisir l'ambiance inquiétante de la nuit américaine en photographiant de simples pavillons éclairés et silencieux… Une ambiance mystérieuse se dégage aussi des tableaux de Juliette Agnel. Dans ses grands formats se déploient, majestueuses, les plus belles cités antiques du Soudan sous un ciel constellé d'étoiles. Troublante beauté que celles des pierres laissées-là depuis la fin du règne du pharaon Taharqa (vers 600 ans avant notre ère). C'est également sous des voutes célestes scintillantes que Thierry Cohen a figé pour toujours les mégapoles de Tokyo, Shanghai ou Rio, sauf que les cieux que nous voyons ne sont pas réels, ce sont ceux que nous devrions voir mais devenus invisibles du fait de la pollution lumineuse. Les étoiles, les constellations sont parfaitement à leur place. Thierry Cohen photographie le ciel à l'exact latitude que la ville, dans un lieu dénué de tout éclairage. Les étoiles devaient être bien visibles ce soir de novembre 1965, lorsqu'une panne de courant générale plongea brutalement la ville de New York dans une quasi totale obscurité. le photographe de Magnum, René Burri, équipé de huit rouleaux de pellicule, a témoigné de cette expérience exceptionnelle dans une des plus grandes villes du monde où on avance comme dans un rêve halluciné… L'absence d'électricité, c'est le lot quotidien d'un milliard d'habitants sur terre. Rubén Salgado Escudero met en scène des habitants des quatre coins du globe, dont la vie a été améliorée grâce à des panneaux solaires portatifs. Quant au Cambodgien, Philong Sovan, il utilise le phare de sa motocyclette pour photographier la vie nocturne et bouillonnante de Phnom Penh.  Il arrive que la nuit devienne féérie lorsque les aurores boréales sont de la partie. Dans Hyperborea, la Russe Evgenia Arbugaeva nous fait découvrir l'extraordinaire magie des nuits polaires. Festive aussi, dans les photo-graphies de Ronan Guillou qui a relevé le défi de la Carte blanche lancée par la Communauté d'Agglomération de Cergy Pontoise en nous dévoilant les coulisses du spectacle flamboyant, Carmen Street, le chef d'oeuvre du compositeur Georges Bizet d'après la nouvelle de Prosper Mérimée. A l'approche de la fin d'année, la nuit se pare de ses plus beaux habits de lumière, comme le montrent les images de Laure Vasconi réalisées à Los Angeles. Là-bas, la tradition des décorations de Noël est une affaire sérieuse. Tout est dans la démesure, c'est à celui qui fera scintiller le plus d'ampoules ! Toujours sur le continent américain, Céline Croze nous emmène au Vénézuela. La photographe nous fait rencontrer les barons de la nuit de Caracas où elle séjourne pendant le tournage d'un film. Un univers de couleurs sourdes et de violence, qu'elle restitue avec force dans la série « Siempre que », présentée pour la première fois dans un festival. C'est également une première pour Françoise Evenou, et ses « Reinas del Bosque », portraits dignes et altiers des travailleuses du plaisir en périphérie de Paris. Enchaînement parfait avec la nuit sulfureuse vue par l'Américaine Merry Alpern qui, en 1993, va épingler les moeurs interlopes des traders de Wall Street dans un peep-show clandestin de New-York. Autre série culte qui interroge sur notre place de spectateur/voyeur : « The Park », du Japonais Kohei Yoshiyuki, décédé cette année, à qui le festival rend hommage. La nuit, au sens métaphorique, le Slovène Evgen Bavcar y est plongé depuis l'age de 11 ans. Aveugle, le photograp

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Citations et extraits (552) Voir plus Ajouter une citation
L'enfer c'est la conscience de nos erreurs, sans possibilité de réparation.
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En chaque femme, il y a toutes les femmes : la princesse, la jeune fille, l'aventurière, la compagne, la mère ; celles que nous avons été ou que nous aurions pu être ; celles que nous pensons pouvoir devenir un jour ; celles que nous ne serons jamais.
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Perdre ses enfants est la pire des épreuves. Elle laisse une plaie béante dans l’âme, qui jamais ne se referme. 
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Je me souviens avoir un jour entendu un religieux dire qu'un homme a trois chances successives de se construire. Tout d'abord, avec l'aide de ses parents. S'il n'y parvient pas, sa femme lui offre une autre chance de sortir de sa condition d'homme léger, égoïste, immature. S'il échoue, alors ses enfants deviennent son ultime recours. Après... il est foutu.
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Thierry Cohen
Souvent les gens confondent le désir et l’amour. Ils se sont fourvoyés dans des histoires inutiles, ont dilué leur identité, leurs valeurs dans de stupides aventures ou dans des idées trompeuses. Ils se sont perdus et, par là même, ont corrompu cette capacité d’entendre leur âme, de distinguer l’image de leur double. Dès lors, ils se trompent de vie, de route et de personne.
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Souvent les gens confondent le désir et l’amour. Ils se sont fourvoyés dans des histoires inutiles, ont dilué leur identité, leurs valeurs dans de stupides aventures ou dans des idées trompeuses. Ils se sont perdus et, par là même, ont corrompu cette capacité d’entendre leur âme, de distinguer l’image de leur double. Dès lors, ils se trompent de vie, de route et de personne. Ils rencontrent un homme, une femme et, pour toutes sortes de mauvaises raisons, pensent qu’il s’agit de l’être qui leur était destiné. Pour des raisons esthétiques : il est si beau, elle est si belle. Ou sociales : ça se fait, je dois me marier, former un couple, je veux faire comme les autres. Pragmatiques, même : ce sera plus facile à deux. Commerciales également : notre société présente l’amour comme un produit de consommation. Souvent, pour toutes ces raisons à la fois et d’autres encore. Et, dès le lendemain de leur première nuit, ils commencent à s’évaluer. Ah, elle a fait ça, ce n’est pas bien, un point en moins. Tiens, il ne m’a pas dit ce que j’attendais, encore un point en moins. Ils deviennent peu à peu comptables de leur relation, et quand ils font le bilan, celui-ci est déficitaire. Ce qui devait être harmonie devient désaccord, se transforme en querelles et va jusqu’à la désunion. Alors, ils ferment boutique. L’amour, je te l’ai dit, c’est autre chose. C’est une complémentarité qui se révèle immédiatement ou avec le temps. Et on s’émerveille de ce que l’autre soit différent de nous et de ce que cette différence nous apporte, nous transforme, nous rende meilleur.
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L’espoir est une fable que l’esprit raconte au cœur pour le maintenir en vie.
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Ce que cette histoire m’a appris, c’est que la valeur d’un homme est celle du temps qu’il passe à aimer le siens est à recueillir leur amour en retour.
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Chacun d'entre nous est destiné à rencontrer un livre, son livre. Un seul et unique livre qui l'attend quelque part, dans les rayons d'une librairie. Un livre qui donnera sens à son existence, éclairera sa route, fera écho à ses douleurs, à ses espoirs, lui indiquera le chemin à emprunter, les valeurs à préserver et l'accompagnera jusqu'à la mort. C'est cela un livre lumière.
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Des êtres sont nés le même jour que vous, ont poussé leur premier cri à l’unisson du votre. D’autres cesseront de respirer à la seconde où vous quitterez ce monde. Peut-être que la vie vous amènera à rencontrer les uns ou les autres. Peut-être que non. Partagez-vous la même âme que certains d’entre eux ? Qu’importe. Nous avons une vie à mener sans attendre la mort et sans la redouter. Pour ma part, je n’en ai pas peur car j’ai aimé ma vie. J’ai aimé et transmis, me suis construite et ai aidé les autres à en faire de même. J’accepte son issue. En fait, je crois que personne n’a réellement peur de la mort. Nous avons seulement peur de ne pas avoir le temps de nous habituer à l’idée de mourir faute d’avoir compris ce que vivre signifie.
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