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Citations de Moussa Nabati (183)


Le vrai bonheur se rencontre en devenant soi.
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Le bonheur consiste à réussir la correspondance, l’adéquation, le mariage entre sa réalité et son idéal.
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L’être soi se construit au sein du triangle père-mère-enfant à l’aide de deux ingrédients majeurs, l’amour et l’autorité…
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Etre soi veut dire s’aimer, s’accepter, se respecter tel qu’on est, dans son corps, son âge et son sexe, en jouissant notamment d’un psychisme séparé, différencié autonome, dégagé des confusions d’identités…
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Le bonheur vient de nous-mêmes. Il représente une disposition, une aptitude interne psychique… Il se trouve dans le plaisir de vivre, dans le désir et l’ « en-vie », d’exister, vivant parmi les vivants, et non dans les plaisirs de la vie…
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L'adolescent ou crise de l'adolescent fait parfois à l'age adulte aussi
constitue une révolte de conflit et de désobéissance, le sujet cherche à s'inventé une nouvelle identité de désir et de destin, différente pour lui ou elle rêvé par ses parents, il se pose et s'opposant en s'habillant, se coiffant et s'exprime de façon provocante , extravagante parfois.
ne veut plus écouter les conseils de personnes et dans les négations constante comme un refus de l'autorités. Risquant parfois de mettre sa vie en péril sans ce rendre compte de ses décisions immatures.
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extrait : le sujet sans qu'il s'en rende compte, du fait de ses sentiments de non merite et d'ingnité, de refuse qu'on l'aime, de repousser des cadeaux, des marques d'affections que , pourtant, il ne cesse de reclamer avec vorasité.
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extrait du livre : c'est pourquoi ils ont tendance à décrire leur travail "ideal" en terme extrêmement affectif, volutif, recreatif, il aiment les ambiance "cool" zen sympathique entouré de collègues pro avec qui ils s'entendent bien et ils sont amené à "confondre" en raison d'une forte "idéalisation" affective et surtout d'un manque de distance , les fonctions et les personnes de leur milieu professionnel avec leur propre "famille", embrassade, tutoiement, anniversaires, et confidences, et susceptibilités "idiotes" et autre harcelement divers en augmentation dans ce millieu, en creant un espace où il serait enfin possible de s’épanouir, de plaire,et surtout materné à guerir la DIP en sécurisant l'enfant interieur mais pas en faisant prendre conscience de son état non equilibré d'adulte, ce livre et une belle therapie quipermet de faire evoluer les sujets vers un meilleur equilibre au sein de leur propre famille.
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Le second, en revanche, faute de réflexion et de recul, emporté par une émotionalité débordante, oscille entre la dramatisation anxieuse et l'excitation euphorique de l'adolescent.
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EXTRAIT :Ainsi, une enfance non vécue, avortée, blanche, se transforme en fantôme, hantant le sujet et l'empêchant d'être lui-même, confiant dans sa bonté et ses capacités. Moussa Nabati montre, à travers de nombreux témoignages, que ce n'est jamais vraiment l'adulte qui souffre, mais le petit garçon ou la petite fille en lui ou elle, sous l'emprise du fantôme.
avis
Le declic doit se faire pour le retour vers une réalité "d'adulte"
et non "d'adolescent" est une priorité pour retrouvé un équibre avec ses proches et une communication d'adulte équilibré et non dans "négation" constante.
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La maison/soi comporte des portes et des fenêtres comme un pays doté de frontières protégées. Celles-ci permettent l'échange, la réciprocité, la communication entre le dehors et le dedans, tout en préservante l'envahissement, des intrusions brutales, des infiltrages insidieux et manipulatoires.
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Dans un monde de plus en plus complexe, où les valeurs qui permettaient à nos parents et grands-parents de se définir sont en pleine mutation, il devient fondamental de renouer avec ce qui nous fonde, de trouver les repères intérieurs qui nous permettrons de devenir sujet de notre vie et de notre histoire.
Le défi est de taille ; car rien ne nous aide véritablement dans le monde extérieur. Nous vivons dans des sociétés ou la performance et le profit sont devenus les enjeux principaux, et qui laissent peu de place à la véritable rencontre avec soi-même. Pour être - conformes -, nous nous devons d'avoir un travail valorisant, une position sociale élevée, de l'argent, un couple qui fonctionne, une sexualité épanouie et des enfants heureux. Le - bronzage psychologique - est de rigueur.
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Donner de l'amour s'avère aussi constructif que le souhait d'en recevoir.
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L'adulte psychiquement autonome éprouve la nécessité de se mouvoir au sein d'une entité plurielle. Il pense, s'exprime, choisit et agit sans rigidité, de façon variée, il ne se cantonne pas l'identique. Il sera sensible aux circonstances extérieures et à ses interlocuteurs, certes, mais sera aussi à l'écoute de sa subjectivité. Il se donnera ainsi le droit, sans crainte de l'exclusion, de ne pas toujours coller aux normes collectives, au regard, au jugement et aux attentes d'autrui. [p.110 - 111]
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Aimer, donner, dire « oui » suppose ainsi la capacité d'intégrer les contraires ; le droit de dire « non », de s'opposer, de refuser de recevoir, sans la hantise de déplaire, d'être puni et rejeté. Dans le véritable amour, le donneur ne se sacrifie pas au receveur. Il ne sacrifie pas non plus ce dernier sur l'autel de son égoïsme, pour imposer sa domination psychologique. Une relation saine commence par l'écoute et le respect de soi. Alors il devient possible de s'ouvrir à l'autre, de s'offrir à lui comme personne adulte, entière et, en retour, de l'accueillir dans toute son individualité, sa singularité, son unicité. [p.109]
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Le sujet victime de ces trois clivages [entre l'enfant intérieur et l'adulte, entre l'intériorité et le dehors, entre le présent et le passé] dilapide ensuite une grande part de son énergie libidinale, de son énergie vitale, dans la quête de l'excellence et de l'innocence afin de contenter concrètement ses besoins infantiles de reconnaissance pour conquérir et mériter la légitimité dont il se croyait dépourvu. Il idéalise l'importance des autres et de l'extérieur, leur conférant le pouvoir magique de combler ses manques. Il cherche alors à plaire, à s'intégrer aux normes, à satisfaire aux attentes pour apaiser ses craintes infantiles de rejet. [p.98 - 99]
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L'adulte se définit notamment par sa capacité de réflexion et de distance, face à l'émotionnalité infantile débordante. Il ne s'agit évidemment pas de privilégier la raison en bridant et censurant les émotions. L'objectif est de réparer le clivage entre les deux énergies pour empêcher la domination de l'une sur l'autre, l'extinction dépressive et l'exaltation. Devenir adulte nécessite l'intégration de l'enfant intérieur, la conscience de la complexité des choses, de l'écart inévitable entre la réalité et l'idéal. Le sujet comprendra qu'une idée, une valeur, une substance, aussi bonnes et positives paraissent-elles, sont susceptibles, au-delà d'une certaine limite ou durée, de s'inverser, et même de devenir nuisibles. [p.93]
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Le rétablissement de la dialectique féconde des contraires doit contribuer à la circulation libre et fluide de l'énergie vitale à travers les allées du jardin de l'identité plurielle. Il aide le sujet à se libérer du carcan des schémas rigides et définitifs. Dégagé du clivage, il peut ainsi s'autoriser un minimum de doutes et d'incohérences parfois, considérés à tort comme négatifs, voire pathologiques dans notre culture. (...) Rien de plus étouffant que l'injonction de la certitude absolue, de l'infaillibilité, de l'évidence, du tout ou rien. [p.87]
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La très grande majorité des patients attribuent leur souffrance à l'existence d'un manque, à la privation, à l'absence de quelque chose ou de quelqu'un qui, ils en sont convaincus leur est indispensable pour être heureux (...). En réalité, ce n'est pas la personne ou l'objet manquant en lui-même qui les tourmente, mais toujours le décalage entre un idéal de complétude, de perfection, et une réalité qu'ils considèrent comme médiocre, quand bien même elle semblerait enviable pour de nombreuses personnes.
L'aspect le plus troublant relatif au manque est qu'il envahit la totalité du champ psychique, en faisant oublier à l'individu tout ce dont il dispose encore et pourrait jouir. En fait la privation -de quelque chose ou de quelqu'un- ne constitue pas la cause réelle des plaintes, elle en est un facteur déclencheur. Elle fait remonter à la surface une détresse intérieure / antérieure, un « manque à être soi » de l'adulte qu'il s'acharne depuis longtemps à combattre et à compenser par recours à des remplissages. [p.38]
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Ce n'est pas en brisant le même miroir qu'on effacera ce qu'il reflète ! Plus le sujet se débat contre ce qui le tourmente, l'angoisse ou le déprime, plus il ravive sa douleur ; l'énergie mobilisée se verra alors interceptée et retournée contre lui-même.
Seul l'acceptation de l'inacceptable permet d'économiser ses forces pour gérer l'épreuve « en adulte ». [p.20]
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