Citations de Nathalie Sulivane (56)
On ne devient pas amoureux en trouvant la personne parfaite. On devient amoureux en regardant parfaitement la personne imparfaite
Un mystérieux et beau jeune homme s’intéresse à toi ! Un mec qui pense à te créer un calendrier de l’Avent ! Avec peut-être tous les jours une citation. Bella, si un jour tu découvres qui il est, et je te le souhaite, épouse-le sur-le-champ !
Aimer les choses cocooning de la vie ne peut qu'aider à se sentir bien.
Ce n'est pas parce qu'on ne fait pas de grandes études qu'on ne peut pas avoir un beau métier entre les mains.
Il vaut mieux résoudre les problèmes le plus tôt possible que de les laisser pourrir.
Une personne souriante est toujours plus agréable à regarder que quelqu'un qui fait la tête.
A chaque instant où je serai loin de toi, laisse-toi guider par le tempo.
En l'abandonnant, j'ai perdu le droit de l'aimer.
Avec difficulté, je refoule les souvenirs qui envahissent à nouveau mon esprit. Une dispute pour un truc con refait surface. En image devant moi, je me revois lui hurler dessus parce qu’un type l’avait matée d’un peu trop près dans les couloirs du lycée. Je l’ai mis à terre à coups de poings. Personne n’avait le droit de toucher à Coline.
Mon cœur me dicte de la retrouver, mon esprit m’ordonne de laisser tomber.
Je risque de la faire souffrir à nouveau, je ne peux pas lui faire ça pour la seconde fois.
En l’abandonnant, j’ai perdu le droit de l’aimer.
"Je suis ici pour retrouver celle que j'aime plus que tout au monde et pour elle, je peux bien faire cet effort"
Wilson
"- Je ne pourrais pas vivre ailleurs. J'y serai avec toi. Amani sera toujours à nos côtés et tu attendras notre premier enfant. On se sera mariés l'année précédente. John et son fils seront en taule et nous pourrons faire ce que nous aimons : sauver la faune. "
Wilson
– Que vas-tu penser de moi si je me mets à chialer ainsi ?
– Je penserais que tu es un soldat rentrant d’une mission difficile avec ta coéquipière blessée et que tu fais de ton mieux pour mettre de côté toutes les images horribles que tu as pu voir ces derniers jours afin de pouvoir avancer. Je penserais que tu es robuste et courageux, qu’avec le temps tu t’en remettras sans oublier. Je penserais que même l’homme le plus fort de la Terre a le droit de pleurer.
[…]-Frères d’armes, frères de sang, frères de coeur, mais surtout frères d’espoir, reprend-il en choeur avec moi. On ne nous aura jamais, je peux te le jurer.[…]
Tu es à chaque instant avec moi, dans l'air que je respire, dans le soleil qui réchauffe mon être, à mes côtés dans chaque mission effectuée, dans un sourire que j'imagine être le tien. Tu es ma motivation et me donne l'espoir d'un prochain retour.
Je la regarde s’approprier ce nouvel appareil photo en immortalisant Alpha. Elle semble si heureuse de pouvoir à nouveau s’adonner à cette passion. Ses cheveux dansent dans son dos lorsqu’elle se déplace, son sourire redonne vie au mien, sa joie est communicative. Sa sensibilité me donne envie de prendre soin d’elle, de ne pas la décevoir, de la protéger. Oui, c’est ça : de la protéger, de prendre sur moi ses peurs et ses doutes, de l’aider et de tout partager avec elle.
Le froid est saisissant, aucun bruit ne m’entoure. Je tremble légèrement, mais ce n’est pas désagréable, je me sens… vivante !
Tu as bouleversé mon existence, tu as changé toute ma vie. Je ne voulais plus m’attacher à qui que ce soit, j’avais trop peur d’être à nouveau malheureux de perdre quelqu’un. Mais tu m’as donné envie de me battre et de relever la tête pour enfin avancer. Je suis sorti de ma bulle dans laquelle je m’étais enfermé grâce à toi.
L’histoire de la fusée de détresse est oubliée, j’ai compris pourquoi tu avais fait ça. Je ne t’en veux plus. Je ne souhaite plus de mensonges ni secrets entre nous, si nous voulons commencer notre vie ensemble, il le faut.
Elle est tellement belle…
Plus personne n’existe à cet instant précis, ni mon passé, ni son accident d’avion, ni le fait qu’elle soit coincée ici. Rien. Seulement elle et moi, même Alpha a trouvé sa place sur le tapis de l’entrée, nous laissant tranquilles. Le vent souffle à l’extérieur, faisant craquer par moment le bois du chalet, la cheminée crépite derrière nous, et sa respiration… toujours présente est un peu plus intense.
— Stanford… je…
— Moi aussi Lia, murmuré-je en fronçant les sourcils. Je ne sais pas ce que tu as fait à mon pauvre petit cœur, mais tu l’as réanimé. Je ne pensais pas que ça pouvait m’arriver à nouveau, je me voyais finir ma vie seul en compagnie d’Alpha dans les montagnes. Tu es venue bousculer tout mon avenir. En bien, bien entendu, mais je ne m’attendais vraiment pas à une telle rencontre.
Ces aveux me coûtent cher, je dois le dire. Je ne suis pas du genre à m’étendre sur mes sentiments, je cache mes émotions, mais là devant Lia, c’est comme si j’avais envie de me mettre à nu et de lui faire confiance.