AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Nina George (161)


Les bêtises de l'amour sont les plus belles. Mais c'est aussi celles pour lesquelles on paie le prix le plus fort.
Commenter  J’apprécie          40
Ah, et ces merveilleuses soirées pendant lesquelles Jean m'initie à la vie au milieu des livres ! Je ne savais pas qu'il existait autant de pensées, de points de vue et de singularités. Les maîtres de ce monde devraient être soumis à un contrôle de lecture, contraints de lire un minimum de cinq, non, dix mille livres avant de comprendre le monde et le comportement de l'humanité. (p.188)
Commenter  J’apprécie          40
Le mal du pays n'est qu'une forme de chagrin d'amour, mais plus grave. (p.121)
Commenter  J’apprécie          40
Je veux le nord et le sud. Je veux vivre avec tout ce qui est vivant ! Je fais le choix du -Et-, pas du -Ou-. Luc me laisse la liberté de tous les -Et- (p.134)
Commenter  J’apprécie          40
Pourtant, il n'était pas question que de sexe quand ils avaient couché ensemble. Il était question de conquérir le monde. De formuler une prière venue du fond du coeur. De reconnaître ce qu'ils étaient , leur âme, leur corps, leur désir de vivre, leur peur de mourir. C'était une célébration de la vie. (p.135)
Commenter  J’apprécie          40
Les libraires n'oubliaient jamais que les livres étaient encore un très jeune moyen d'expression pour changer le monde et renverser les tyrans. Quand Jean Perdu voyait des livres, il ne voyait pas que des histoires, des prix de vente et des premiers soins pour l'âme. Il voyait la liberté avec des ailes de papier. (p.166)
Commenter  J’apprécie          40
A tous ses visiteurs de moins de quatorze ans, il vendait des livres au poids: deux kilos pour dix euros.
_On y perd, non? demanda Max
Perdu haussa les épaules.
_Financièrement, à coup sûr.Mais c'est bien connu que lire rend impertinent, et le monde de demain a bien besoin de quelques grandes gueules courageuses, vous ne pensez pas?
Commenter  J’apprécie          30
Il avait toujours ressenti la proximité des livres comme une protection. Il avait trouvé le monde entier dans son bateau, tous les sentiments, chaque lieu, chaque époque. Il n'avait jamais ressenti le besoin de voyager, ses dialogues avec les livres lui avaient toujours suffi...Il lui était même arrivé de leur accorder davantage d'estime qu'aux hommes.
Ils étaient moins menaçants. (p. 303)
Commenter  J’apprécie          30
Face à une femme, je me demande : est-elle le personnage principal de sa vie? Qu'est-ce qui la motive? Est-ce qu'elle ne tiendrait pas plutôt un rôle secondaire dans sa propre histoire? Est-ce qu'elle se coupe volontairement de son histoire parce que son mari, son métier, ses enfants ou son travail prennent le dessus?
Commenter  J’apprécie          30
Est-ce que le bonheur est quelque chose qu'on ne décide qu'a posteriori ? Est-ce que nous ne remarquons même pas quand nous sommes heureux ? Est-ce que nous ne reconnaissons que plus tard que nous l'avons été ?
Commenter  J’apprécie          30
L'habitude est une déesse dangereuse et vaniteuse. Elle ne tolère pas que l'on interrompe son règne. Elle tue dans l'oeuf une envie après l'autre. L'envie de voyager, l'envie de changer de boulot, l'envie d'un nouvel amour. Elle empêche de vivre comme on le voudrait. Parce qu'à force d'habitude, nous oublions de nous demander si nous voulons vraiment ce que nous faisons.
Commenter  J’apprécie          30
C'est quand une génération arrête de penser à la suivante et qu'elle veut tout changer pour elle-même que commence la déchéance d'un pays.
Commenter  J’apprécie          30
Toute erreur avait un sens quand on la commettait par conviction.
Commenter  J’apprécie          30
"Les libraires n'oubliaient jamais que les livres étaient encore un très jeune moyen d'expression pour changer le monde et renverser les tyrans. Quand Jean Perdu voyait des livres, il ne voyait pas que des histoires, des prix de vente et des premiers soins pour l'âme. Il voyait la liberté avec des ailes de papier."
Commenter  J’apprécie          30
Car les morts que nous avons aimés une fois, nous les aimerons toujours. leur absence nous accompagne jusqu'à notre dernier jour.
Commenter  J’apprécie          30
Les livres ne cesseraient jamais de donner de l'amour à un lecteur ou à une lectrice. Ils étaient un pôle sécurisant dans tout ce qu'il y avait d'imprévisible. Dans la vie. Dans l'amour. Dans la mort.
Commenter  J’apprécie          30
- Ici, les gens travaillent et vivent pour l'avenir. Ils pensent à ceux qui viendront après eux. Et ceux-là, quand leur tour viendra, feront pareil. C'est quand une génération arrête de penser à la suivante et qu'elle veut tout changer pour elle-même que commence la déchéance d'un pays. (p.179)
Commenter  J’apprécie          30
Lire: un voyage sans fin. Un long, oui, un éternel voyage qui vous rendait plus doux, plus aimant, meilleur envers vos congénères. (p.165)
Commenter  J’apprécie          30
Niemand ist dankbar, wenn jemand anderen für ihn verzichtet. Das ist die Grausamkeit der menschlichen Rasse. (311)
Commenter  J’apprécie          30
Tout le monde dispose d'une alcôve intérieure, un recoin où se cachent ses démons. Ce n'est qu'à condition de l'ouvrir et de les affronter que l'homme devient libre.
Commenter  J’apprécie          30



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Nina George (266)Voir plus

Quiz Voir plus

Quand les aliments portent des noms insolites ou pas...

Les cheveux d'ange se mangent-ils ?

Oui
Non

10 questions
232 lecteurs ont répondu
Thèmes : nourriture , fruits et légumes , fromages , manger , bizarreCréer un quiz sur cet auteur

{* *}