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4.07/5 (sur 354 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Toulouse , le 28/11/1974
Biographie :

Noël Boudou-Pergay est nouvelliste et romancier.
Il a travaillé quinze ans à l’hôpital de Limoges, avant de s’installer à quelques minutes de Cahors. Il exerce en tant qu’aide à domicile auprès de personnes âgées, et il adore ce travail. Mais ses deux vraies passions sont le heavy metal, qu’il pratique en tant que chanteur au sein de plusieurs groupes amateurs, et bien sûr les livres.

Il tombe amoureux de la littérature en découvrant Stephen King, dont il est aujourd’hui encore un immense fan. Le thriller a eu sa préférence pendant de nombreuses années, avec une plongée dans les univers sombres de ses auteurs : Graham Masterton, Peter Straub ou encore James Herbert. Puis il se met à lire des romans noirs. Deux livres vont lui donner envie d’écrire : « 1974 » de David Peace et « Natural Killer » de Pierre Pelot. Il écrit plusieurs nouvelles avant de se lancer dans l’écriture d’un premier roman.

Page Facebook : https://www.facebook.com/boudounoel/


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« Et pour le pire », la bande-annonce. Un thriller de Noël Boudou. Bénédicte et Vincent auraient pu vieillir paisiblement ensemble. Malheureusement, le destin en a décidé autrement, il y a vingt ans… Vingt ans. Vingt ans à attendre… à attendre que les assassins de sa femme sortent de prison. Depuis vingt ans, Vincent Dolt n'a qu'une seule idée en tête : venger sa douce Bénédicte… Depuis vingt ans, seule la haine le maintient en vie. Mais une vengeance n'est jamais simple, surtout à 86 ans. Il a vécu le meilleur, il se prépare au pire… Roman disponible le 13 mai 2021 (papier & numérique).

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Citations et extraits (99) Voir plus Ajouter une citation
A mon insu, le monstre, la bête en moi venait de naître.
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Je pourrais chercher des solutions concrètes, affronter mes problèmes comme un homme, seulement voilà, je suis totalement accro à cette merde. Le premier réflexe de mon corps à la moindre petite contrariété : avaler un comprimé ou deux ou trois. Je suis tellement habitué à cette réaction que mes besoins sont automatiquement calculés par mon organisme. Il me réclame la dose nécessaire à m’apaiser en fonction du dilemme auquel je suis confronté.
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Ne pas mourir idiot. Ne pas mourir innocent. Si je me suis trompé et que le dernier jour je me retrouve devant saint Pierre, je vais avoir l'air fin. Je préfère saint Patrick, au moins, chez lui, on boit des bières.
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Je m'enfile le Jack d'un trait et tends le verre pour réclamer Daniel's. Il arrive avec le sourire et plonge dans ma gueule aussi sec.
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Mon cerveau semble paralysé, incapable de faire autre chose que de faire vivre mon corps en forçant mes poumons à respirer, mon cœur à battre et ma main gauche à me glisser un nouveau comprimé dans la bouche. De vieux réflexes de survie. Penser, réfléchir, comprendre, trouver des solutions, il en est incapable. Si ce n’était que de moi, je le foutrai à la porte pour faute grave sans indemnités ni rien. Ma cervelle est un peu comme ce connard de chanteur toxico d’un groupe de rock, personne ne peut plus le supporter, tout le monde a envie de lui coller des tartes dans sa jolie petite gueule, mais voilà, le connard chante magnifiquement bien et il paraît impossible de le remplacer. Voilà, mon cerveau est comme le connard du groupe Oasis, insupportable mais indispensable.
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- Tu vas bien ? Tu as l'air crevé ?
- Ouais, c'est rien, t'inquiète. Après deux trois bières ça ira mieux, n'est-ce pas ?
- La bière soigne tout, c'est bien connu.
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Ma chef fait sa ronde habituelle, me félicite en voyant le service rutilant et m’autorise même à prendre une heure. J’aimerais refuser juste pour la contrarier, mais j’ai beaucoup à faire avant l’arrivée de nos amis. Cette garce ne peut s’empêcher d’ajouter à ses compliments le petit « vous voyez quand vous voulez » assassin qu’elle affectionne tant. Il serait tellement facile de l’étouffer entre un brancard et le mur, et de balancer ses cinquante kilos dans un frigo…
Tu vois, quand je veux je te tue, pétasse !
… Seulement, ce n’est pas dans ma nature. Je suis quelqu’un de calme et de réfléchi. On ne tue pas les gens pour une petite réflexion désagréable. Non, ça ne se fait pas.
Ni vu ni connu je te tue, salope !
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- Je ne sais pas si tu te rappelles, mais avant on était amis et tu savais où se trouvait le bar. Avant que ton fils ne tue ma femme et que tu n'essayes de la faire passer pour une allumeuse aux yeux de tous. Les bouteilles sont toujours au même endroit, rapporte-moi une bière. Tu auras fait au moins un truc utile dans ta journée, enculé.
Il revient deux minutes plus tard, toujours précédé de cette odeur de sueur dégueulasse. Il pose la bière décapsulée devant moi et s'installe en face d'un whisky XXL. Il en avale la moitié, d'une gorgée. Il a le regard aussi vide que celui d'un curé tentant de comprendre l'évolution selon Darwin.
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Ce soir, je me couche détendu. Pas mal bourré, ce qui actuellement revient au même. L’alcool a ce dangereux pouvoir de faire fuir les démons, les mauvais souvenirs, les douleurs et les insomnies. Je deviens peut-être alcoolique, mais je m’en fous. A mon âge, devenir dépendant n’est pas vraiment grave. Je serai mort bien avant que cette dépendance ne devienne dangereuse. Alors je la titille, je joue avec elle. Je sais que c’est pas elle qui me tuera, alors je l’emmerde ! Ouais, bien comme il faut, avec les formes. Je l’emmerde. Demain matin, je me fais un petit déjeuner à la bière.
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Je remonte dans ma chambre – silence dans celle de mes invités –, me déshabille entièrement et m’allonge sur le lit sans prendre la peine de me glisser sous la couette. À la télé, Trump crache sa haine de tout ce qui n’est pas aussi blanc, riche et moche que lui. Comment les Américains ont-ils pu être assez cons pour… Le sommeil me saisit, je n’ai rien vu venir. J’adore ça.
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