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Critiques de Olivia de Lamberterie (348)
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Avec toutes mes sympathies

J'ai commencé la lecture de ce livre sans avoir la moindre idée du sujet et de ce qui m'attendait.

Je pensais lire un roman léger, j'ai lu un ouvrage qui vous prend aux tripes tellement il est vrai.



Olivia de Lamberterie partage avec nous ses joies et surtout ses peines de manière très pudique mais extrêmement forte, et au fil des pages toutes ces émotions couchées sur la papier commencent à nous submerger dans la vie réelle.



Un livre peut à la fois servir d'exutoire et de mémorial, je ne puis décider pour le premier, mais ce petit livre est un formidable hommage à son frère Alex.
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Avec toutes mes sympathies

Un roman percutant, émouvant, bouleversant.

Le décès, le suicide. Le choc, la douleur immense, le manque intense.

Dans ce roman Olivia de Lamberterie nous emmène dans sa vie de chroniqueuse, de critique littéraire, mais elle nous livre aussi sa vie, son deuil après le suicide de son frère. Nous sommes traversés par les émotions qu'elle décrit. C'est dur, mais c'est la réalité. Cette colère, cette envie de hurler sa peine, cette tristesse qui vous transperce.

Une plume magnifique qui nous transporte.
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Avec toutes mes sympathies

J'ai refermé ce livre, lu d'une traite, tard dans la nuit. Éprouvant divers sentiments, dont celui d'être honorée par la confiance accordée aux lecteurs. Quand une personne délivre une part d'indicible - une part seulement, comment pourrait-il en être autrement ? - elle ouvre la porte à ses semblables avec sympathie, dans le sens puissant du terme. L'accueil est réciproque et nous l'écoutons. Où es-tu ? Demande Olivia de Lamberterie à son frère suicidé. La réponse est dans ses propres mots. Il est là où elle écrit. La présence au cœur de l'amour. Qui nous fait l'aimer aussi, comme un frère en humanité.

Merci Alex et Olivia.
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Avec toutes mes sympathies

Il s’agit d’un récit intime, un hommage d’une soeur à son frère. Avec tendresse, Olivia parle d’Alex, ce frère qu’elle chérissait, qu’elle a soutenu et qu’elle aurait voulu pouvoir sauver.



Ce roman ne m’a malheureusement pas touché, malgré le sujet bouleversant. En effet, je me suis sentie de trop, tout le long de ma lecture. J’avais l’impression d’avoir ouvert un tiroir qu’il n’aurait pas fallu que j’ouvre: trop de souvenirs familiaux, des évocations de personnes inconnues à moi mais proches de l’autrice et de son frère … J’ai eu la sensation de lire un journal intime et pas un roman ouvert au public. Par conséquent, je n’ai pas ressenti grand chose à part la sensation d’être extérieure à tout cela. Je ne me suis pas sentie prise à part pour une réflexion, embarquée dans un questionnement.



Le ton de l’autrice m’a aussi parfois déplu, certains propos dérangés et ne voyant aucune émotion émerger, aucun sentiment particulier à cette lecture, mis à part la sensation de lire une lettre dédiée à quelqu’un d’autre, j’ai préféré abandonné et ne pas poursuivre.



C’est donc une déception pour moi.
Lien : https://cestecrit.com/2021/0..
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Avec toutes mes sympathies

Olivia de Lamberterie témoigne à travers "Avec toutes mes sympathies" de son amour sans faille pour son frère Alex qui n'a pas su trouver sa place sur la terre et qui a fait le choix de partir.

Ce témoignage est extrêmement touchant car il est fait avec respect, sans jugement mais avec beaucoup de tendresse et d'amour.

Il est difficile de faire une critique sur ce genre de livre, on se demande où est notre légitimité mais en même temps l'auteur a fait le choix d'écrire pour le public ce manque, ce vide, cette absence.

Ce livre est une douleur, mais paradoxalement je ne le ressens pas comme un cri, comme quelque chose de violent, au contraire je ressens de la douceur et l'amour de cette famille, l'amour pour ce frère si fragile est ce qui domine.

Les pages se tournent doucement, on est en osmose avec cette douleur et on a presque la sensation d'être, nous aussi, en lien avec Alex qui, s'il n'est plus sur terre semble malgré tout bien présent.
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Avec toutes mes sympathies

Dans "Avec toutes mes sympathies" - expression canadienne utilisée pour présenter des condoléances - Olivia de Lamberterie raconte comment elle tente de faire le deuil de son frère, développeur de jeux vidéos chez Ubisoft et dépressif depuis toujours. L'autrice dresse un portrait réaliste et sensible de l'effervescence qui agite une famille au lendemain du suicide d'un de ses membres. La plume est belle et sincère. Un grand livre sur le deuil et la dépression qui mérite largement son Renaudot.
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Avec toutes mes sympathies

Il est 23h30 ,un plaid et un livre .L’envie de lire quelques lignes du livre de Olivia de Lamberterie ( alors moi je commence par le deuxième chapitre ...)et me voila 254 pages plus tard ,au milieu du salon,avec mon plaid et un trop plein d’émotion .L’écriture chante ,danse ,sublime et remplit le vide laissé par la disparition de son frère Alex .Et de se reconnaître page 161 : «j’ai décidé que je marcherai du côté ensoleillé du trottoir ».J’ai remis le petit papier rajouté sur le livre en place ,la photo ,elle a sa place .Et oui ,l’absence prend de plus en plus de place ,il faut l’exprimer ,la crier. ,la pleurer ,la guetter .Courage a vous madame de Lamberterie et merci à vous pour ce témoignage bouleversant ....Avec toutes mes sympathies ...
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Avec toutes mes sympathies

Avec toutes mes sympathies, c’est l’histoire d’Olivia, amputée de son frère, Alex, siamois, tous deux réunis par le cœur, les mots qu’ils se chuchotent et les maux qu’ils partagent.



Alex s'est suicidé. Il est l’Albatros aux ailes trop majestueuses pour se poser sur le navire de la vie dépassé par sa gaieté, son hypersensibilité et son envie d’absolu.



Au-delà du chagrin, la colère, l'incompréhension, il reste à Olivia l’insufflation d’Alex dans tous les recoins de son être, celle d'oser écrire ce magnifique livre au titre « curieux et parfait », joyeusement triste.

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Avec toutes mes sympathies

(Critique écrite en octobre 2018)



Olivia a perdu son frère. A travers ce récit elle replonge dans leurs souvenirs d’enfance et d’adultes et surtout elle essaie de lui donner vie encore et encore. Elle explique la vie après et la difficulté de vivre sans lui.

C’est un très beau récit d’Olivia de Lamberterie, critique notamment à Elle, que je conseille.



Extrait : « La lecture est un endroit où je me sens à ma place. Lire répare les vivants et réveille les morts. Lire permet non de fuir la réalité, comme beaucoup le pensent, mais d'y puiser une vérité. »
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Avec toutes mes sympathies

La mort d'un être qu'on aimait est toujours une onde de choc et personnellement, je ne sais ce qui résonne le plus péniblement : une mort brutale ou une agonie.

Olivia de Lamberterie a connu les deux tout à la fois avec son si cher frère. Car il y a des personnes comme cela qui ne sont pas faites pour le bonheur. Des personnes pour qui la vie est irréconciliable. Des personnes dont la mélancolie profonde se cache sous le vernis de la gaité puis qui replongent dans les tréfonds de la détresse de vivre. Son frère Alex était de ceux-là. Plus d'une fois il a voulu en finir. Plus d'une fois il est passé à l'acte. Jusqu'au jour où il n'a plus été question d'un acte manqué, mais d'une libération choisie, préparée, pour se libérer de la souffrance qui l'étouffait chaque jour. Alors pour ses proches, l'agonie a finalement duré le temps de sa vie jusqu'à la violence de sa disparition. Je n'ose imaginer le tremblement de terre intérieur que cela doit nécessairement déchainer en soi.



Alex s'est montré toutefois délicat, prévenant pour ceux qu'il aimait - le suicide n'est pas nécessairement égoïste - car il a tenu à ce qu'aucun de ceux qui et qu'il aimai(en)t ne puisse(nt) se faire de reproche. Il a veillé à ce que chacun et tous aient un adieu.

"Au moins il ne souffre plus" console un peu. Parfois.



Je ressors un peu en demi-teinte de ce récit car ce n'est vraiment qu'à partir de l'annonce du décès de son frère que l'auteure m'a véritablement touchée. J'ai aimé les signes qu'elle voyait dans les oiseaux. Je le crois comme elle, nos disparus envoient des messages, des clins d’œil, des "je suis là". J'ai aimé certains passages pour leur émotion. Et je suis heureuse pour elle que ce livre se termine sur un sentiment de paix, tout comme son frère a pu enfin trouver la sienne.
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Avec toutes mes sympathies

Dans ce livre Olivia de Lamberterie revient sur un évènement douleur de sa vie, le suicide de son frère Alex.



Je suis d’accord lorsqu’elle dit qu’un suicide est une double peine, qui génère un silence qui vient prendre toute la place. Oui il ne faut pas que ça le soit mais parfois j’ai été gêné pendant la lecture, pour moi il y a des choses privées qui ne doivent pas être tabous mais qui doivent rester dans la sphère privée, familiale.

Elle a su lui rendre un très bel hommage, Olivia de Lamberterie sait toujours trouver les mots justes que se soit dans ce livre ou dans ses chroniques littéraires, c’est vraiment une qualité qu’elle possède. Elle a su montrer qu’il a été aimé, qu’il faut garder les moments joyeux partagés dans ces moments là mais que la maladie malheureusement parfois prend le dessus.

Un roman intime, délicat, tout en finesse, écrit avec amour

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Avec toutes mes sympathies

Témoignage touchant d'une femme endeuillée par la perte de son frère. C'est un livre agréable à lire même si le style et la construction n'en font sans doute pas un chef-d’œuvre mais il en ressort beaucoup de sincérité, d'humanité et de modestie. Une mention spéciale pour le ressenti des canadiens.
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Avec toutes mes sympathies

Son sujet a attiré mon attention : le suicide d'un proche, d'un frère. Et pour le reste, et bien je me suis reconnue dans ce texte d'Olivia de Lambertie, qui parle de son frère, Alex, qui souffrait d'un trouble psychiatrique peu connu et difficile à soigner : la dysthymie.

Je me suis tellement reconnue que je me dis que finalement, nous ne sommes pas les seuls à vivre cela : la colère, les moments insupportables avec les autres malades, les services psychiatriques lourds, l'absence de moyen pour aider les malades, le fait que lorsqu'une famille est présente, elle est soit coupable d'étouffement, soit coupable d'abandon et malgré le désir sincère des-dites familles, des amis pour aider le patient, lentement, l'enfoncement, l'étouffement et un jour, le mauvais coup de fil après tant d'autres : l'habitude du SAMU, des services de réanimation, des médecins fantômes. Mais, vous ne lâchez pas prise, malgré les barrières, les mots qui blessent, les délires, parce que c'est votre frère, parce que c'est votre soeur, et que sur la photo d'avant, il ou elle avait un beau sourire, une bouille ronde et le même pull que vous tricoté par maman.

Olivia de Lamberterie écrit des critiques littéraires dans un magasine à grand tirage : j'ai retrouvé dans ses affections pour les auteurs, beaucoup des miennes. Je n'ai pas son talent de critiques et mon proche parent est toujours vivant : comme l'auteur le pense, je lui ai dis après sa dernière TS que j'étais désolée qu'elle n'ait pas abouti si c'était ce qu'elle souhaitait, car qui suis-je pour dire qu'on doit vivre quand on ne le peut plus, veut plus ? Ce n'est ni cynique, ni cruel, mais simplement de la compréhension.

Alors pour l'instant, je continue à porter, supporter la souffrance d'une autre, à l'entendre dire des mensonges pour camoufler ses erreurs, à supporter de la voir détruire autour d'elle, ce qui l'entoure comme un trou noir, je continue et je constate une fois de plus, que la maladie psychiatrique est le parent pauvre de la médecine, mais je continue ...

Un livre touchant, ni larmoyant, ni complaisant, comme un miroir dans lequel je me serais contemplée.
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Avec toutes mes sympathies

Lorsqu'on est ou a été critique littéraire, qu’on a fait partie du jury du Prix du cercle littéraire, qu’on est rédacteur en chef (rédactrice en chef ?) du magazine « Elle », qu’on a des relations, on est quasiment assuré de voir ses écrits publiés, aussi mauvais soient-ils. Et, j’ose le dire, « Avec toutes me sympathies » est très mauvais. Olivia de Lamberterie dit, à la fin de ce livre : « Ce livre n’aurait jamais dû exister », et elle a tout à fait raison. On se demande pourquoi elle l’a publié. Mais que voulez-vous, le rêve de tout critique est de passer du côté de l’artiste.
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Avec toutes mes sympathies

Amoureuse des livres, j'écoute avec intérêt les chroniques matinales d'Olivia de Lamberterie depuis une quinzaine d'années. Grâce à elle j'ai découvert de nouveaux auteurs, pour moi elle a déniché quelques pépites. J'ai eu aussi le plaisir de la rencontrer à deux reprises, lors de la remise du Grand Prix des Lectrices de ELLE 2013, et lors du cinquantième anniversaire du Prix au Théâtre de l'Odéon en juin 2019. Entre temps, Olivia avait perdu son frère Alex, et écrit Avec toutes mes Sympathies



Olivia de Lamberterie s'habille volontiers « casual » (jean, marinière, perfecto), mais sa diction est parfaite et son port altier. Olivia de Lamberterie a de la « classe », Olivia se Lamberterie c'est « le feu sous la glace ». Je l'admirais énormément lorsque je ne faisais qu'écouter ses chroniques, au point de suggérer à mes filles encore petites « plus tard, comme métier, tu ne voudrais pas faire comme Olivia de Lamberterie ? » ; je l'admire encore plus depuis que je l'ai lue.



Avec toutes mes Sympathies est un cri d'amour, un témoignage poignant. Les souvenirs sont beaux, les anecdotes touchantes, les mots justes car le récit d'Olivia est empreint d'amour et de sincérité. Elle révèle ce frère qui lui manque douloureusement, et le récit nous révèle Olivia, la femme sensible, lisse et fantasque, docile mais rebelle, la combattante, la fille, la soeur, la mère, l'amie.



Merci Olivia d'avoir partagé ce vécu avec vos lecteurs. J'espère que nous pouvons à travers notre soutien, vous aider (un peu) à porter ce chagrin qui vous a poussée à écrire. En tout cas vous avez réussi à rendre Alexandre immortel, et cet hommage est certainement aussi beau que ne l'est votre frère.



À lire. Absolument.
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Avec toutes mes sympathies

Après les superbes chroniques d'Olivia de Lamberterie, j'avais hâte de lire son premier livre, écrit en hommage à son frère Alex, suicidé en octobre 2015. Je ressors de cette lecture complètement bouleversée. Bien sûr, on ressent intensément, la tristesse, le désarroi total de cette soeur face à la perte de son frère. Mais il n'est pas question que de tristesse dans ce récit ; elle raconte aussi tous les moments joyeux, la puissance de l'amour de cette famille réunie autour d'Alex et son cheminement pour continuer à vivre après sa mort. Et tenter d'accepter l'inacceptable.

J'ai relevé énormément de passages qui m'ont touchée, des mots justes qu'Olivia sait si bien poser sur les sentiments et les sensations vécues. "J'ai perdu ma tête, ton absence m'a enlevé le goût de lire. Ces échappées dans les mots des autres me détournent des miettes de ta réalité que je traque dans les recoins de mon quotidien, une lettre oubliée, une assiette adorée comme une relique de Sainte Véronique. Je voudrais vivre, ivre de vin pétillant, au son de tes cinquante chansons préférées, retrouvées dans ton ordinateur après ta mort. " Bravo pour ce roman très intimiste et ce magnifique cri d'amour partagé.
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Avec toutes mes sympathies

« Avec toutes mes sympathies » c’est une formule de condoléances traditionnelle au Québec.



Olivia de Lamberterie a une profonde affection pour son petit frère Alex depuis sa plus tendre enfance. Alex est adorable, passionnant, flamboyant, l’artiste de la famille. Adulte, il souffre de mélancolie, mais fait tout pour être aimant et aimé. Son mal-être est connu de ses proches et les plonge dans l’angoisse. Quand Olivia apprend la nouvelle du suicide de son frère, elle est dévastée.



Pour pouvoir continuer à vivre, pour conjurer le sort, elle éprouve l'irrépressible besoin de célébrer ce frère tant aimé, de nous témoigner tout son amour. Dans son récit elle partage avec pudeur et délicatesse ses souvenirs de jeunesse et les moments plus douloureux. On ressent très bien l’amour qu’elle vouait et voue encore à son frère.



Enfin le livre se termine sur une plage avec le reste de la famille où tous se remémoreront les souvenirs les plus heureux.

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Avec toutes mes sympathies

🖤 « Empêche-t-on un tsunami de déferler, un volcan d’exploser et de figer le paysage de sa lave ? »



🖤Comment... La question ne peut pas commencer ainsi... Car il n’y a pas de moyen, les raisons échappent, les mots manquent, le corps brûle, le verbe est inutile, tout n’est que douleur et incompréhension. La question est plutôt : Peut-on accepter qu’une pulsion de mort soit plus puissante qu’une vie entière ? Pourquoi, parmi toutes les possibilités, parmi tout ce qu’il est possible de faire au monde, parmi toutes les échappatoires et les chemins de traverse, pourquoi la seule option envisageable était la mort ? Au-delà de l’entendement, cette question en appelle une autre : y a-t-il des maux dont on souffre et ne guérit jamais ?



🖤 Olivia de Lamberterie a perdu son frère Alexandre qui s’est suicidé à Montréal, où il habitait avec sa femme et leurs enfants. Après les premières tentatives et malgré les guérisons, malgré les cures et les médicaments, malgré les discours et les clins d’œil, les fous rires comme promesses de jours meilleurs, son frère a mis fin à ses jours. Comment accepter ? Comment vivre avec la mort, comment vivre avec CETTE mort ? Aurait-elle pu faire mieux, faire autrement, différemment ? Il est des blessures que l’œil ignore, il est des drames qui grouillent à l’intérieur et dont la seule issue ne peut être que tragique.



🖤 Olivia de Lamberterie rend un hommage vibrant à son frère disparu, un cri d’amour empreint d’appréhension et de crainte parfois, de courage et d’espoir aussi. Accepter le suicide d’un proche demande le dépassement de soi, il faut ne pas comprendre le geste, il faut pouvoir accepter que certains êtres sont pris au piège, que rien au monde ne les rendra heureux, il y a ce monstre innommable qui les ronge et les dévore. Il faut accepter que l’ailleurs puisse être le meilleur...
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Avec toutes mes sympathies

Une écriture poétique, poignante et pudique, qui sonde le deuil avec sensibilité.
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Avec toutes mes sympathies

Il y a des livres qui résonnent et qui me restent au fond. Celui-là en fait partie.

J'aime les mots qui sonnent justes, les récits bruts comme s'ils étaient écrit d'un trait et d'un jet.

Les personnes tristes sont comme des fleurs dans le désert, fragiles et éphémères.

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