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Citations de Olivier Pont (33)


Le paradis de la terre se trouve entre les seins d'une femme, sur le dos d'un cheval, dans les pages d'un livre...
proverbe arabe
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Je leur permets de se réaliser pleinement telles qu'elles sont et non telles qu'elles voudraient être...
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Le paradis de la terre se trouve entre les seins d'une femme, sur le dos d'un cheval, dans les pages d'un livre..... proverbe arabe
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Comment tu veux parler de passion sans passer par le corps ?
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Les hommes, ils sont comme ça... Ils nous aiment et puis ils nous abandonnent...
Au début, leurs yeux ils nous disent qu'on est tout pour eux parce qu'on avait quelque chose qui les attirait et qui leur plaisait. Et puis un jour ils nous regardent plus pareil...
Ils ont eu ce qui leur avait plu... Il reste que ce qui leur plait pas...
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Ne vous justifiez pas, je connais ça par cœur, vous avez raison de choisir la radicalité. Trop de gens se noient dans les compromis. Sans être offensant, je me doutais que vous et Sidney ça ne tiendrait pas. C’est un pragmatique, sans vision, sans idéal. Il ne pouvait pas comprendre vos aspirations. Au fond, il ne voyait de vous que ce qu’il avait envie de voir. Vous vous seriez fanée à son contact.
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Eh moi, jamais j’allaite ! Biberon et c’est tout ! Pas envie de me retrouver avec des gants de toilette !
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Plus encore que les froufrous, c'est la sérénité qui impressionne les hommes, l'estime de soi... Rien ne les intimide plus qu'une femme sans complexe, qui s'assume telle qu'elle est.
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C’est une petite boutique discrète, sans prétention, dont les habituées vous diront qu’elle est là depuis toujours. Quand elles en poussent la porte, c’est d’abord pour acheter un peu de tissu, quelques jolies matières qui les mettront en valeur et dans lesquelles elles se sentiront bien. Mais au bout du compte, c’est un peu plus que cela. Au fond du magasin, derrière le rideau, il y a une pièce où je les reçois. Je leur offre un thé, et de l’attention… Nous parlons, de tout, de rien, mais surtout d’elles. Je les laisse seules quand elles le souhaitent. Elles peuvent essayer à loisir, aller et venir sans être dérangées, comme si elles étaient chez elles. En fait, elles sont chez elles. Prenez madame Parison. Elle est venue me voir pour la première fois, il y a trois ans. Des envies de dentelles, de décolletées plongeants. Un homme à séduire, sans doute. Quelqu’un de très timide, madame Parison. De très douce, mais trop peu sûre d’elle. Plus encore que les froufrous, c’est la sérénité qui impressionne les hommes, l’estime de soi. Rien ne les intimide plus qu’une femme sans complexe, qui s’assume telle qu’elle est. Nous sommes allées vers quelque chose de plus sobre, plus élégant. Follement érotique.et je sais que madame Parison est désormais une autre femme. Et une amie.
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Les hommes, ils sont comme ça. Ils nous aiment et puis ils nous abandonnent. Au début, leurs yeux, ils nous disent qu’on est tout pour eux. Parce qu’on avait quelque chose qui les attirait et qui leur plaisait. Et puis un jour, ils ne nous regardent plus pareil. Ils ont eu ce qui leur avait plu ; il reste ce qui ne leur plaît pas.
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Le paradis de la terre se trouve entre les seins d'une femme, sur le dos d'un cheval, dans les pages d'un livre...
Proverbe arabe
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- C'était tes premières menottes?

- Ben oui...

- Dans mes bras mon grand ! Te voilà un homme !!
C'est un coup à prendre, tu verras ! Moi j'avais douze ans pour ma première...

- Douze ans ? Vous êtes un précoce, vous !

- Je t'en foutrais moi, des précoces ! A douze ans les menottes, t'imagines les tarés ? On va où après ? La perpète à treize ans ? La guillotine à quinze ?
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Je pars pour être ce que je suis, tout simplement, et qui n'est pas ce que vous souhaitiez que je sois ...

(page 25)
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Les nerfs, c'est un peu du genre ficelle : ils résistent tant que tu tires sur eux modérément.
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8 ans ensemble... on dit que 7 ans c'est un virage... on avait dû choper du verglas...
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Henri, cette lettre vous surprendra sans doute. Depuis le temps que vous ne me voyez plus, ne m’entendez plus, je doute de votre capacité à anticiper la moindre de mes pensées. Je pars, Henri… Je vous connais suffisamment pour savoir que votre première pensée sera pour le qu’en dira-t-on, pour cette peur du jugement des autres qui vous rend si faible. Peut-être après, laisserez-vous libre cours au mépris que vous cachez si mal, à la colère qui vous prend chaque fois que vous êtes impuissant face aux événements, et que vos amis ne soupçonnent pas chez vous. Comment le pourraient-ils, d’ailleurs ? Vous n’êtes en société que ce que l’on vous demande d’être. Il faut bien que le vernis craque parfois, ailleurs, mais jamais au grand jour. Je pars, Henri, pour respirer au grand air, sans peur de gêner, d’être inconvenante ou déplacée. Cela fait trop longtemps maintenant que j’étouffe dans votre petit univers mesquin, poussiéreux et rigide. Je pars pour être ce que je suis, tout simplement, et qui n’est ce que vous souhaitez que je sois. Je vous laisse à vos chiffres, à vos convenances, vos tristes idées, vos tristes amis. Je ne vous prends pas pour un monstre, Henri, juste pour un homme. Un homme trop petit, trop gris, trop plat, et si nous nous rencontrions aujourd’hui, je ne vous voudrais pas comme ami. Mais vous allez me parler des enfants… Je ne suis plus pour Jacques qu’un meuble encombrant qui l’empêche d’aller et venir à sa guise. Il ne me renvoie au mieux qu’une indifférence polie dont je ne sais que trop bien, grâce à vous, ce qu’elle deviendra. Pour Jeanne, c’est autre chose, et ne plus la voir aussi souvent me pèsera. Mais elle est encore jeune et je ne veux pas lui donner l’exemple de la résignation. Je sais que plus tard, elle comprendra mon geste, qu’il l’aidera à grandir. Et qu’elle m’en remerciera. Je vous laisse, Henri. Tout ce que je suis, mon cœur, mon corps, mes rêves et mes idées, tout ce qui ne vous intéresse plus depuis longtemps mais sur quoi vous conserviez malgré tout un regard de propriétaire. Tout cela explose en ce beau mois de mai. Au bout du compte, vous n’aurez pas su conserver grand-chose. Et surtout pas le semblant de vie qui nous avait fait palpiter il y a cent ans de ça, et à qui j’entends rester fidèle. Bien à vous, Mathilde.
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Dans ce monde de connards, nous les femmes, faut qu'on s'entraide !
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Le pastis, c'est comme les seins. Un c'est pas assez et trois c'est trop (Fernandel).
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- Qui est-ce qui t'a sorti de la mouise, hein ?
- Ouais, eh ben qui c'est qui m'y avait mis ?!
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Non, j'aime pas l'eau ! Je préfère rester dans mon jus !

(page 76)
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