Citations de Olympe de Gouges (142)
Je hais la ségrégation contre les noirs
Le Paris des droits de la femme sera gagné dans fort bientot
Si une femme peut monter a l’echafaud , elle peut aussi monter en tribune
Les noirs et les blancs doivent être égaux , il existe seulement une race d’homme qui comportois les noirs et les hommes .
Je suis contre la segregation raciale et l’esclavage . Les noirs et les blancs sont des hommes et des femmes , ils ne sont pas de races différentes. Il existe une seule race d’homme au monte , qui comporte les noirs et les blancs
La femme est précieuse , elle donne naissance aux enfants .
Une femme libre doit avoir les mêmes droits que ceux des hommes et pas une différence inhumaine . Je suis contre la discrimination des femmes
Ils traitaient ces gens-là de brutes, d’êtres que le Ciel avait maudits ; mais en avançant en âge, je vis clairement que c’était la force et le préjugé qui les avaient condamnés à cet horrible esclavage, que la nature n’y avait aucune part, et que l’injuste et puissant intérêt des Blancs avait tout fait.
La couleur de l’homme et nuancée, comme dans tous les animaux que la nature a produits, ainsi que les plantes et les minéraux. Pourquoi le jour ne le dispute-t-il pas à la nuit, le soleil à la lune, et les étoiles au firmament ? Tout est varié, et c’est là la beauté de la nature. Pourquoi donc détruire son ouvrage ?
La Constitution est nulle, si la majorité des individus qui composent la nation n’as pas coopéré à sa rédaction.
Nul ne doit être inquiété pour ses opinions mêmes fondamentales, la femme a le droit de monter sur l’échafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la tribune
[à la Reine:] Il n’appartient qu’à celle que le hasard a élevée à une place éminente, de donner du poids à l’essor des droits de la femme, et d’en accélérer les succès.
Les rois justes ne veulent point d'esclaves
LE JUGE,
Votre modération perd aujourd'hui la Colonie
LE M A J O R.
Dites mieux ; elle la sauve peut-être. Vous ne connaissez que vos lois cruelles , et moi, je connais l'art de la guerre et l'humanité. Ce ne sont point nos ennemis que nous combattons ; ; ce sont nos Esclaves, ou plutôt nos Cultivateurs. Pour les réduire, il eût fallu, suivant vous, les faire passer au fil de l'épée.
CORALINE.
J'ai lu dans un certain Livre que pour être heureux, il ne fallait qu'être libre et bon cultivateur. Il ne nous manque que la liberté, qu'on nous la donne, et tu verras qu'il n'y aura plus ni maîtres ni esclaves.
Quelles lois reste-t-il donc à faire pour extirper le vice jusque dans la racines ? Celle du partage des fortunes entre les hommes et les femmes, et de l'administration publique.
Dans les siècles de l'ignorance, les hommes se sont fait la guerre ; dans le siècle le plus éclairé, ils veulent se détruire. Quelle est enfin la science, le régime, l'époque, l'âge où les hommes vivront en paix ?
Je lègue mon cœur à la patrie, ma probité aux hommes (ils en ont besoin). Mon âme aux femmes, je ne leur fais pas un don indifférent; mon génie créateur aux auteurs dramatiques, il ne leur sera pas inutile, surtout ma logique théâtrale au fameux Chesnier; mon désintéressement aux ambitieux, ma philosophie aux persécutés, mon esprit aux fanatiques, ma religion aux athées, ma gaité franche aux femmes sur le retour, et tous les pauvres débris qui me restent d'une fortune honnête, à mon hériter naturel, à mon fils, s'il me survit.
tout apprendra à mes concitoyens que si je n'ai pas cherché la gloire et les récompenses, ma conduite n'en fut que plus pure et plus éclatante.
la femme a le droit de monter sur l’échafaud; elle doit avoir également celui de monter à la tribune