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Citations de Paola Cereda (11)


La mer, en une caresse, se confondit à l'horizon limpide.
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Il m'importe de savoir que tu existes. Il m'importe de pouvoir te caresser.
Leur affinité était la seule chose dont ils avaient la certitude. Le temps s'écoulait et emportait leurs âges. Les illusions. Chaque année, une bougie, une croix de plus sur le calendrier.
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En courant sur le papier, le graphite donnait un petit bruit de découverte et avait la voix honnête qui ressemblait à une partie profonde d'elle - de son ensemble. C'était le vent sur le visage, un bâton de réglisse entre les dents, l'odeur douceâtre du jasmin et celle estivale de la figue, abîmé par l'excès de soleil et l'indifférence.
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Par bonheur, les cahiers orange offraient l'espace de la tendresse et de l'imagination.
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- Ce n'est pas la réalité.
- Evidemment. Dans mon cahier, je mets les visions.
- C'est quoi, les visions?
- Ce sont des désirs utiles.
- Et ils peuvent se réaliser?
- Seulement si tu m'aides.
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On peut vivre au milieu des autres et être terriblement seul
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Guérir, c'est te retrouver sans éclater en mille morceaux.
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Sa fille avait le vice de dessiner et pas moyen de lui arracher le crayon des mains (…) Chacun de ses gestes, chaque pensée, prenait la forme d’un coup de crayon.
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Disparaitre signifiait rejeter, renier. Faire en sorte que chacun sache bien y compris les choses, les arbres et les bêtes qui étaient les envahis et qui étaient les envahisseurs
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Sa fille avait le vice de dessiner et pas moyen de lui arracher le crayon des mains […] Chacun de ses gestes, chaque pensée, prenait la forme d’un coup de crayon.
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Bien peu de gens connaissaient Fosco. Accroché à sa falaise à pic sur la mer, on y accédait par une route étroite, coincée entre la mer et la côte. On y arrivait sur la pointe des pieds ou dans le fracas d'un moteur. Le village entendait et savait accueillir à sa façon.
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