Citations de Pascal Marmet (441)
"Pour réussir, il faut juste jouer la carte de la différence, être exemplaire et ne pas baisser les bras avant d'avoir commencé."P.70
un roman tout en finesse agréablement parfumé les pages se suivent et l'ârôme se dégage agréablement l'intrigue romanesque du jeune non voyant julien et de johanna agrémente la recherche méticuleuse de ce grain de folie qu'est le café les cerises la torréfaction les secrets dévoilés font de ce roman une vrai approche pour tout les amateurs ou pas une vrai réflexion sur ce breuvage qui nous accompagne dans notre vie de tout les jours qu'on le veuille ou non
un roman qui vibre de part tout les pores de chaque page la romance de tony curtiss associé avec le faste de marylin monroe une intrusion agréable dans un contexte parfumé tout pour mettre nos sens en éveil
p. 59 « Un café filtre d’une qualité rare et nette en bouche, des arômes de miel et de fruits mêlés laissant une acidité délicate dans un corps voluptueux accordant un remarquable dessert sucré flottant sur des notes de zeste de mandarine, baies, fruits secs avec une fin florale aussi légère qu’une caresse. »
« Commandez un café, payez-en deux! » Les personnes sans ressources pourront se présenter au comptoir pour demander s’il y a un expresso « en attente » préalablement payé par un client solidaire.
L’arabica préfère l’altitude, le robusta les plaines humides. L’arabica se sème, le robusta se bouture. Les deux font du café, pourtant rien n’est pareil jusqu’aux conditions de récolte et le goût dans la tasse. Ils se ressemblent, mais un océan les oppose.
Dans le café, il faut une surveillance active pour ne pas briser la bonne réputation d’un trésor séculaire venu à nous intact de tout opprobre.
Mélanger, c’était tricher, que rien ne remplacerait un pur arabica tendu de la main à la main par un producteur et fournisseur.
on n’imagine pas l’exode d’un peuple en souffrance abandonnant tout pour chercher fortune vers la nouvelle amérique du sud. J’ai vu des photos de ces gens sur les paquebots. Ils avaient l’air heureux. et ce bonheur, ils l’ont transmis dans ce café italien do Brasil.
Préparer un bon café est un des moments privilégiés de la vie, et on retrouve une dizaine de façons de le boire. Il y a la méthode la plus ancienne dite « à la turque », la cafetière napolitaine, à filtre incorporé, à piston de type mélior, à pression d’air comme la cona, à bascule, à pression, à expresso, et si tu es vraiment coincée, il te restera le très pratique café lyophilisé.
Pour proposer une fière liste d’arabicas variés, préparés dans les règles de l’art des « maîtres », il faut du vécu et l’audace de l’artisan passionné. Que l’on ne s’y trompe pas, notre savoir est un réservoir de talents et notre quête de perfection est sans limites.
Bon grain, bonne mouture, bonne préparation, méthode à dépressurisation
ou extraction douce en alambic de verre… encore comme dans le vin et le parfum, le nez est notre outil. sélectionner les bons grains, c’est bien, mais de la plantation jusqu’à l’extraction, une vingtaine d’étapes sont déterminantes pour la vertu du breuvage.
Un dernier détail qui a son importance:n’utilisez que de l’eau minérale. c’est vital. même avec un très grand café, une eau chlorée endommagera les arômes.
Les filles sorties à peine de l’adolescence ressemblent à des hôtesses de l’air de la classe affaires et les garçons cravatés et de moins de vingt ans ont des allures à la clooney. C’est du café cinéma dans un écrin de luxe servi par des éphèbes et des muses, monsieur,rien à voir avec le vieillard torréfacteur et son horrible crincrin de machine à moudre les tympans. Le vrai must !
On ne sacrifie pas l’Histoire de France, et encore moins celui du grain noir. C’est tout ou que dalle !
À chaque personnalité sa tasse ! café coutume n’est pas que remarquable, il est aussi habile à s’adapter au style du client.
D’après le Larousse, les français et autres européens aiment boire l’expresso
avec un x. en revanche, les Italiens et les anglo-saxons préfèrent le s dans l’espresso. mais pourquoi donc ? me direz-vous. Les anglais et américains considèrent qu’espresso est originaire de pressed out qui veut dire en français « extrait sous pression ».
Mon addiction à la baie voluptueuse est contagieuse, stupéfiante,déraisonnable, et jamais rien ne pourra m’en détourner. Je suis entré dans cette drogue noire sans espoir de retour.
Et si l’expresso venait à disparaître d’un mauvais coup de baguette magique ? ne serait-ce pas plus grave que de vivre sans pétrole ?
Perdre un carburant qui vous réveille le matin et vous accompagne une vie durant serait bien plus douloureux que de n’avoir plus une seule goutte d’essence dans son réservoir. on n’aura qu’à prendre le vélo.C’est aussi le deuxième produit le plus échangé après le pétrole, et un modeste breuvage accessible aux riches comme aux pauvres.
Ne pas aimer le café est un tour de force qui vous condamne au thé, ou pire encore, au coca.À toute heure de la journée, le jus noir s’invite immanquablement à notre table, disons comme un membre de la famille.
Impossible de lui échapper.