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Citations de Patrice Favaro (44)


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Il se sentait heureux comme un fruit baignant dans du sirop de sucre.
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Le bonheur, plus on le partage, plus il grandit.
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Des dizaines d'ombres de différentes tailles étaient appuyées contre les murs ou bien pendaient à des fils accrochés aux poutres noircies du toit. Il y en avait de toutes sortes : des dieux et des déesses, des guerriers, des danseuses aux formes souples et élégantes, des singes portant l'armure, des démons et des ogresses, des animaux fantastiques ; des décors aussi : des arbres couverts de fruits d'or, d'autres remplis d'oiseaux colorés, des fleurs de lotus, un palais aux nombreuses colonnes.
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Je suis folle, je sais. Je devrais me raisonner, faire marche arrière, mais non, pas du tout ! Je m'habille en quatrième vitesse, j'enfile un blouson, un bonnet sur la tête, une écharpe autour du cou, et j'enjambe la fenêtre. Ah, j'oubliais ! Je retourne vers mon bureau et je déchire une feuille de cahier. J'écris :
« Puisque vous ne voulez pas nous dire où est Mouchon, on part le chercher. On se débrouillera seuls. Ne vous inquiétez pas. Signé : Laura et Lucas .»
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- On pourrait peut-être s’acheter quelque chose ? Quelque chose dont on a toujours rêvé ?
- Oui, mais quoi ?
Jagan et son père examinèrent la question. La proposition n’était pas mauvaise, mais ils n’avaient jamais rêvé à rien qui pût s’acheter. A quoi bon, quand on a toujours les poches vides ! Ils se dirent qu’une idée leur viendrait peut-être s’ils allaient faire un tour du côté du bazar.
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Je suis folle, je sais. Je devrais me raisonner, faire marche arrière, mais non, pas du tout ! Je m'habille en quatrième vitesse, j'enfile un blouson, un bonnet sur la tête, une écharpe autour du cou, et j'enjambe la fenêtre. Ah, j'oubliais ! Je retourne vers mon bureau et je déchire une feuille de cahier. J'écris :
« Puisque vous ne voulez pas nous dire où est Mouchon, on part le chercher. On se débrouillera seuls. Ne vous inquiétez pas. Signé : Laura et Lucas .»
Je ne sais pas ce qui m'a pris d'écrire ces mots-là. Ça m'est venu sans réfléchir, comme un coup de colère, une vengeance plutôt. Parce que je suis l'aînée, c'est toujours moi qui hérite du mauvais rôle. Pa et Man nous ont caché la mort de Mouchon pour ne pas faire de peine à Lucas. Et moi ? ils se doutent bien que j'ai compris, non ? Je ne suis pas une imbécile ! Alors pourquoi personne n'est venu me consoler ? « Je la prendrai à part demain...
Je la prendrai à part demain pour lui raconter... » C'est tout ce que Man a trouvé à répondre ! En attendant, elle me laisse la nuit entière pour pleurer !
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Quel âge a-t'il, 13 ans ou plus? Il te servira a couvrir tes dettes, donne-le-moi en échange de ton loyer.
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Les jeunes se désintéressent de la politique ! C’est ce que prétendent la plupart des adultes. Mais nous n’en sommes pas si sûrs ! Car nous nous souvenons – ce n’est pas si lointain – des mobilisations contre le CPE (contrat première embauche) sous Chirac et des manifestations contre les diverses mesures transformant l’école de fond en comble, du primaire à l’université, sous Sarkozy.

Constatons plutôt que vous ne vous intéressez pas à la politique de la même façon que la génération de vos parents. Souvent, vous ne savez pas que la politique est cachée en embuscade, derrière des gestes de la vie quotidienne, comme manger à la cantine, inviter un ami étranger chez soi, ou même derrière des choix beaucoup plus intimes, comme aimer quelqu’un. Ou alors vous le savez, mais il ne vous est pas facile d’évaluer l’importance réelle des décisions politiques sur votre quotidien. Vous avez plutôt l’impression qu’en définitive, vous pouvez agir comme bon vous semble, du moment que vous n’êtes pas dans l’illégalité ou la violence. La réalité, même dans des pays libres comme ceux de l’Union européenne, même en France, est pourtant loin d’être aussi simple…
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Elles sont loin, les portes de la sagesse. Avant de les entrouvrir, combien de temps faudra-t-il encore attendre l'ami qui toujours revient?
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-Pourquoi as-tu atterri ici ?
-Je...
-Tu t'es échappé de chez toi parce qu'on te battait ?
-C'est... c'est compliqué à expliquer, avoua Mohan.
-C'est jamais compliqué. Tu te perds ou alors on te perd ! Moi, ça c'est passé pendant un pèlerinage avec ma famille. On se dirigeait vers le bord du Gange pour se baigner dans son eau sacrée, il y avait des milliers de gens qui faisaient pareil. Je me suis éloignée quelques instants, toute seule, et je n'ai jamais revu mes parents. Je ne pense pas qu'ils m'aient vraiment beaucoup cherchée. Trop pauvres et trop de filles à élever. Il faut se ruiner pour les marier, alors une de moins!
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Nandita, jeune fille de douze ans, habite Pondichéry, une ville du sud de l’Inde. Elle aime les comédies musicales, les friandises, le shopping, mais par-dessus tout, elle adore la danse. Entre une visite au temple et la préparation des fêtes traditionnelles, elle mène une vie paisible, jusqu’à la disparition de sa cousine Vasanti… Refusant d’épouser un mari qu’elle n’a pas choisi, celle-ci s’est enfuie à Bangalore, la capitale des nouvelles technologies. Nandita et son père partent à sa recherche, traversant les campagnes, prospères ou misérables, rencontrant des enfants qui travaillent, s’arrêtant dans un village où vivent des intouchables… Heureusement ils retrouvent Vasanti, qui pourra enfin suivre des études à l’université, et Nandita rêve à son avenir de future danseuse… ou de femme politique. Car en Inde, rien n’est impossible!
Les dépliants représentent une rue commerçante de Pondichéry, un temple de Shiva et une rue de Bangalore, la Silicon Valley indienne.
Patrice Favaro sillonne l’Inde depuis une dizaine d’années. Il y multiplie rencontres et découvertes qu’il note dans ses carnets de route.
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"Les mères n'ont pas besoin de mots, leurs yeux suffisent."
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Une nuit, j'ai fait un cauchemar. Ammi m'a dit, en me prenant dans ses bras : "Dans toutes les langues du monde, le mot le plus doux, c'est celui que les enfants donnent à leur mère."
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"Soleil couchant, soleil levant, le vie est un voyage."
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"Soleil levant, le ciel en feu, Maman me fait un toit.
Mes trompes résonnent, puis elles soulèvent des nuées de notes d'or.
L'eau glisse sur ma peau et ruisselle, je suis une île tranquille. Ensemble derrière Grand(-Mère, et c'est toute la terre qui tremble.
Qui a tressé pour m'enfermer une muraille si serrée ?
Le cadeau qu'on m'a fait : une chaîne, un anneau, un collier."
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[A propos de Patrice Favaro]

Les contes et les histoires ressemblent aux chemins : on commence par en suivre un et, bien vite, on tombe sur mille autres. L'envie vous prend alors de tous les explorer.
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"Le bonheur, plus on le partage, plus il grandit."
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"Il y a cependant une chose que Sigismond n'aimerait jamais avoir entendue : le bruit que fait en secret le chagrin."
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"On croit que le silence règne sur la ville quand tout le monde dort, c'est faux : c'est le moment que choisissent les petites bêtes pour faire du tapage nocturne à Sigismond."
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