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Critiques de Paul-Loup Sulitzer (146)
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L'Enfant des Sept Mers

"Fais comme si j'ai quitté la Terre

J'ai trouvé mon étoile, je l'ai suivie un instant

Sous le le vent." Céline Dion et Garou, Sous le vent.





Le jour fixé, le capitaine Kaï O'Hara enlève sa promise, en enfonçant sa porte.

Mais, à la place de la blonde Isabelle, c'est sa soeur que le colosse découvre, Catherine, une grande bringue...





Pour conquérir Catherine (mais quels grands pieds, pas besoin de pirogue avec elle!), Kaï doit grimper sur le paquebot George Truwell.





-Parler à Catherine Margerit? Utilisez le haut-parleur, fit l'officier avec délectation.

-"Quand vous parlerez dedans, tout le bateau entendra le moindre de vos soupirs."

Il y avait 1400 personnes à bord.





- La dame demande qui vous êtes ?

-Comment ça, JE SUIS KAI O'HARA!





- Pourquoi elle viendrait avec vous ?

-Pour qu'on se marie, chuchote Kaï.

-"La dame dit qu'elle n'a rien entendu.

- JE VEUX L'EPOUSER!"...





Après quelques négociations et autres éclaircissements, "une voix tonitruante, répercutée par le haut-parleur, informa tout Singapour et une partie de la mer de Chine des sentiments que portait Kaï O'Hara à la grande bringue."





On maria les amoureux.

- Je ne vous aurais pas mariés, si les bans n'avaient pas été publiés (depuis une semaine...)

Catherine avait prévenu son père déjà.

-" Je n'étais pas certain que tu reviendrais pour m'épouser, mais c'était du 15 contre 1." Grand sourire de Catherine.





Sur le "Nan Shan", la goélette de Kaï, il y a un équipage de Dayaks coupeurs de tête, mais ca n'effraye pas Catherine.





Embarquez sur le "Nan Shan", pour un voyage sur les 7 mers. Avec une Madame Grand-Mère, Oncle Ka, Ching Le Gros et des aventures au bout du monde.
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Oriane ou la cinquième couleur

Oriane Casanove est jugé à la Galerie financière, réputée et crainte parce qu’elle s’intéresse aux scandales financiers et n’hésite pas à s’attaquer aux criminels en col blanc.



En rue, elle assiste à un assassinat d’une femme renversée par une voiture suivi d’un vol des documents qu’elle tenait en mains. S’approchant, elle s’aperçoit qu’il s’agit d’une de ses grandes amies dont le mari s’était suicidé quelque temps auparavant au Gabon. Elle entame alors une enquête discrète sur ces deux décès, enquête qui va l’amener à s’intéresser à de juteux contrats de centrales nucléaires en Birmanie. Sa route sera semée d’embûches, de trahisons, mais aussi d’aides tantôt anonymes tantôt d’un journaliste. Elle rencontrera aussi l’amour.



Paul-Loup Sulitzer a incontestablement le don de construire une intrigue dans ce milieu politico-financier, on suit avec intérêt et curiosité l’enquête de la juge, c’est un livre que je n’ai pas lâché.

Il n’en est pas moins entaché selon moi de défauts : le roman m’a paru quelque peu vieilli avec ses références à des personnages influents au début du siècle, j’ai aussi été dérangé par le nombre incalculable de marques citées dans le livre (Sulitzer se ferait-il payer par des annonceurs ?).

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Kate

J’étais une jeune adolescente quand une amie m’avait prêté les deux tomes d’Hannah de Paul Loup Sulitzer. Ou devrais-je dire de Loup Durand ? A l’époque, j’avais lu et bien aimé cette histoire inspirée de la vie d’Helena Rubinstein, et j’en étais restée là.

Quelques années plus, je découvrais avec beaucoup de plaisir un autre écrivain, Loup Durand, grâce à Daddy, un livre que j’ai depuis relu plusieurs fois et que j’avais bien apprécié.

Loup Durand est décédé en 1995, peu de temps après ma découverte de Daddy. C’est à cette époque que j’avais appris que Bernard Pivot l’avait présenté comme le « nègre littéraire de Paul-Loup Sulitzer, en brandissant La Femme pressée. »

J’avoue en être resté très longtemps à cela et il y a quelques mois, je me suis lancée dans la lecture de Hannah et de sa suite : L’impératrice. Pour ma part, les similitudes de style entre Daddy et les deux autres livres m’ont amené à confirmer ce qu’affirmait Pivot.

J’avais aussi dans ma Pal les trois tomes de La femme pressée. Comme il était temps que je m’avance dans mes lectures de mes livres les plus anciens de ma pal, je me suis lancée dans la lecture de ce deuxième tome.

Kate est retournée aux Etats unis avec le fils de Rourke, laissant ce dernier en Chine.

Les deux personnages centraux de cette trilogie vont évoluer chacun de leur côté. Kate va une fois de plus se lancer dans le journalisme car son ambition est toujours la : elle veut devenir la rivale la plus sérieuse de son père : le magnat de la presse Karl Killinger. Rourke quand à lui, continue à être présent sur tous les lieux du monde où il y a des conflits. Il faudra quasi attendre la fin du livre pour que les chemins de ces deux puissent à nouveau se croiser.

Petit détail qui m’a fait une fois de plus confortée dans le fait que l’auteur de livre est bien Loup Durand : un moment, apparait une voiture : et pas n’importe laquelle : une Hispano Suiza, voiture qui a toute son importance dans Daddy. Bah oui, je suis attentive à ce genre de détail car pour avoir admiré une de ces petites merveilles dans un musée, je suis devenue complètement fan.



Challenge Pavés 2023

Challenge A travers l’histoire 2023

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Les routes de Pékin

J’étais une jeune adolescente quand une amie m’avait prêté les deux tomes d’Hannah de Paul Loup Sulitzer. Ou devrais-je dire de Loup Durand ? A l’époque, j’avais lu et bien aimé cette histoire inspirée de la vie d’Helena Rubinstein, et j’en étais restée là.

Quelques années plus, je découvrais avec beaucoup de plaisir un autre écrivain, Loup Durand, grâce à Daddy, un livre que j’ai depuis relu plusieurs fois et que j’avais bien apprécié.

Loup Durand est décédé en 1995, peu de temps après ma découverte de Daddy. C’est à cette époque que j’avais appris que Bernard Pivot l’avait présenté comme le « nègre littéraire de Paul-Loup Sulitzer, en brandissant La Femme pressée. »

J’avoue en être resté très longtemps à cela et il y a quelques mois, je me suis lancée dans la lecture de Hannah et de sa suite : L’impératrice. Pour ma part, les similitudes de style entre Daddy et les deux autres livres m’ont amené à confirmer ce qu’affirmait Pivot.

J’avais aussi dans ma Pal les trois tomes de La femme pressée. Comme il était temps que je m’avance dans mes lectures de mes livres les plus anciens de ma PAL, je me suis lancée dans la lecture de ces trois tomes.

Bon, clairement, ce dernier tome n’apporte pas grand-chose de neuf à part la mort de certains personnages. Si on suit H.H. Rourke en pleine guerre d’Espagne, Kate, quant à elle, continue à s’investir corps et âme pour son journal. Leurs chemins se recroiseront une fois de plus en Chine, après bien des péripéties dont je me rappelle déjà à peine…Bref, une suite et fin d’une trilogie qui ne me laissera pas un souvenir impérissable.



Challenge A travers l’histoire 2023

Challenge Pavés 2023

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La femme pressée

J’étais une jeune adolescente quand une amie m’avait prêté les deux tomes d’Hannah de Paul Loup Sulitzer. Ou devrais-je dire de Loup Durand ? A l’époque, j’avais lu et bien aimé cette histoire inspirée de la vie d’Helena Rubinstein, et j’en étais restée là.

Quelques années plus, je découvrais avec beaucoup de plaisir un autre écrivain, Loup Durand, grâce à Daddy, un livre que j’ai depuis relu plusieurs fois et que j’avais bien apprécié.

Loup Durand est décédé en 1995, peu de temps après ma découverte de Daddy. C’est à cette époque que j’avais appris que Bernard Pivot l’avait présenté comme le « nègre littéraire de Paul-Loup Sulitzer, en brandissant La Femme pressée. »

J’avoue en être resté très longtemps à cela et il y a quelques mois, je me suis lancée dans la lecture de Hannah et de sa suite : L’impératrice. Pour ma part, les similitudes de style entre Daddy et les deux autres livres m’ont amené à confirmer ce qu’affirmait Pivot.

J’avais aussi dans ma Pal les trois tomes de La femme pressée. Comme il était temps que je m’avance dans mes lectures de mes livres les plus anciens de ma pal, je me suis lancée dans la lecture de ce premier tome.

Les deux principaux protagonistes de cette histoire se déroulant dans les années trente, H.H. Rourke et Kate Killinger sont des héros vivant à deux cent à l’heure. Rourke, qui se destine depuis toujours à être journaliste, se trouve sur tous les fronts et restitue très froidement et objectivement ce qu’il observe. Kate, quant à elle, a beau être née avec une cuillère en argent, essayera de se faire sa place dans le monde de la presse à la force de son talent. Evidemment, ils étaient faits pour se rencontrer……la suite au tome deux….



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Hannah

Sulitzer Paul Loup

Hannah

J’ai beaucoup aimé tout simplement qu’il raconte la vie d’une femme qui partie de rien est devenue la très célèbre Helena Rubinstein que tout le monde connait ou a connu.

Un livre bien écrit dès les premières pages, on s’y attache à cette petite fille juive seule au milieu des flammes de son village pillé par les cavaliers de la mort dont le père est tué

C’est en 1882, de là on vivre avec elle, on souffre avec elle, et on la voit forte et dure parfois gravir les échelon non sans mal, avec des hauts et des bas, des chutes et des triomphes arriver là où elle est allée

Et toujours aller plus loin

Le destin des femmes de cette trempe j’aime énormément et je voudrais qu’elles insufflent à beaucoup de jeunes femmes cette témérité







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Hannah

J'étais une jeune adolescente quand une amie m'avait prêté les deux tomes d'Hannah de Paul Loup Sulitzer. Ou devrais-je dire de Loup Durand ? A l'époque, j'avais lu et bien aimé cette histoire inspirée de la vie d'Helena Rubinstein, et j'en étais restée là.

Quelques années plus, je découvrais avec beaucoup de plaisir un autre écrivain, Loup Durand, grâce à Daddy, un livre que j'ai depuis relu plusieurs fois et que j'avais bien apprécié.

Loup Durand est décédé en 1995, peu de temps après ma découverte de Daddy. C'est à cette époque que j'avais appris que Bernard Pivot l'avait présenté comme le « nègre littéraire de Paul-Loup Sulitzer, en brandissant La Femme pressée. »

J'avoue en être resté à cette époque, et ce n'est qu'il y a quelques temps que je me suis souvenue de tout cela en essayant de ranger mes livres et en tombant sur Hannah .

C'est donc animée d'une certaine curiosité que je me suis lancée dans cette relecture.

Alors j'ai réalisé que finalement, après toutes ces années, je me souvenais relativement bien d e l'histoire, mais j'étais surtout curieuse de voir si il pouvait y avoir des similitudes avec le style de Loup Durand. Je ne suis certes pas critique de livres et mes compétences professionnelles sont fort éloignées du monde de la littérature, mais clairement, oui, j'ai trouvé pas mal de points communs entre les deux livres ( Hannah et Daddy ). Certaines expressions, le style, l'amour des vieilles voitures comme les Hispano-Suiza du siècle dernier… On ne saura jamais quelle est la part exacte de la contribution de Loup Durand à l'écriture de Hannah et de sa suite, l'Impératrice mais elle est surement bien plus importante que ce que Sulitzer a reconnu en nuançant ses propos.

Peu importe après tout, l'Histoire de la littérature foisonne de succès ayant le même profil… Les oeuvres les plus célèbres d'Alexandre Dumas doivent surement autant à Auguste Maquet qu'à Dumas.

Et Hannah, dans tout cela ? Bah, même si finalement ce personnage calculateur m'a fait sourire par moments, j'ai moins adhéré qu'à ma première lecture…Mes gouts de lectrice ont évolués, que voulez – vous…..





Challenge Pavés 2023

Challenge A travers l'Histoire 2023

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Le Roi vert

Paul Loup Sulitzer, pauvre mec qui bave à présent sur tes liquettes,Souchon t'as remis au mauvais goût du jour,c'est d'autres mecs qui t'ont écrit tes bouquins,ohhhhhhhhhh!

Le roi vert,ahhhhhhhhh!Ce bouquin,je le relis tous les ans,il est tout jaune sur la tranche,les pages commencent à se détacher,mais sauvé de l'incendie,yeah...

A Mathausen, un américain essaie de ne pas devenir fou en récitant du Verlaine,en français,dans sa déambulation horrifique...le vers suivant lui parvient d'une fosse emplie de chaux,en français idem... Reb Klimrod,giton des SS,et rescapé voyageur de ces camps,est tiré de cette fosse,à dix-sept ans;il deviendra "Le roi vert"...Il me semble que son seul meurtre perso est celui d'un type qui a fait,entre autres ,périr un jeune gamin de douze ans,en lui faisant boire de l'essence ,et Reb l'a auparavant obligé de se peinturlurer telle une femme,comme la douzaine de jeunes garçons servant ainsi,,avant de lui faire boire à son tour de l'essence...

Reb,accusé par d'autres prisonniers du camp,d'avoir eu la vie sauve du fait de son statut de giton,intrigue de par ses silences,sa dignité intacte d'être humain,et sa culture,prouvée par sa connaissance de plusieurs langues,et impressionnés par sa "distance,son élégance morale,la froideur de ses récits sur les barbaries dont il et d'autres ont fait l'objet...Il s'enfuit,retrouve la trace de son père,gazé,car,bien qu'éminent médecin, paralysé et se déplaçant en fauteuil roulant....toujours quelques manip' d'avance...Il fait également un détour par le village où des enfants ont été confiés à une "nourrice",maltraitante,cradoque,et persécutante,trois enfants pour lesquels il oblige cette femme à les nourrir de façon correcte,en leur donnant manger deux patates,chacun,s'il vous plaît,pas une,et un peu de bouillon,de lard,sinon,je reviens et qui vivra verra...et plus de traces de coups(tiens,un parallèle énorme avec "L'oiseau bariolé",de Kosinski ).Entre temps,il s'est rendu chez un marchand de livres ,qui a volé tous les livres rares de son père,et qui l'a dénoncé aux nazis encore bien vivaces...Haletant,pas un instant de repos,le Reb contre les allemands..et les forces de libération qui le cherchent,tant ils sont intrigués par le personnage...Reb,qui reprend du poids peu à peu,et des forces physiques lui permettant ,avec son mental glacial de sérial killé,de jouer gagnant à chaque menace extrème...

Reb s'engage dans le Mossad(,je vais la jouer plus courte,d'autant que je ne sais plus où mon bouquin est rangé,donc,seulement la mémoire...)),la poursuite des SS qui tentent de passer par l'Italie pour l'Amérique du Sud...des personnages secondaires étonnamment plantés dans leurs traques,et parfois leur mort ...

Puis vient le début de sa fortune en argent(eh,oui,P-Loup!!!,of course!!!),puis s'ensuit la rencontre avec le grand amour de sa vie,cousine je crois d'un de ses deux sauveteurs des camps de la mort...lorsqu'il va rendre un des bouquins de poésie,Verlaine ou Rimbaud,do not remember)

Je n'omets pas son grand séjour en Amazonie(déjà pour arriver vers cette immense forêt...,,qu'il traverse en finissant par se faire reconnaître par les indiens comme leur porte-parole(il a apparemment vécu avec une amazonienne,qui a été tuée ,ainsi que leur enfant(,plus ça va,plus je me dis qu'en BD ç'aurait été le best +!) ,bref)...C'est là le fondement de son but,mais puis-je le raconter..

Reb finit par devenir ultra-ultra milliardaire(je n'ai rien compris aux explications,des rachats en domino de terrains,d'immeubles,en passant par des journaux édités aux Amériques dans toutes les langues des immigrés...)

Son histoire d'amour avec la cousine...elle réussit à lui faire faire un tas de un (ou dix)milliards de dollars dans une banque,afin de les faire flamber,vraiment,pour voir ce que ça donne.(.ça prend trois jours délirants à la banque de réunir le tas de billets!et l'histoire d'amour,très triste,car elle est complet bargeo).elle est si déjantée qu'elle tue leur enfant,et vit sur un bateau entourée de "servantes abysséennes"...la suite dans le bouquin!!!

Reb Klimrod devient très très riche,il est servi par "les hommes du roi",tous fascinés ,y compris les deux américains du début qui le sauvent de Mathausen),qui s'agrègent au fur et à mesure,,il reste tout du long du roman en pantalon et sac de toile,savates tressées)...Son regard est l'atout pour lui être dévoué à toujours...

Bon,on a perdu Michael (l'un de ses noms) Klimrod,au pied des Nations Unies,où il vient ,accompagné de ses amis amazoniens,revendiquer la création d'une nation au territoire gigantesque, sans valeur monétaire(eh ben,P-Loup?)...où tout est gratuit,et où nul n'a besoin de passeport...Bon,j'ai fait exprès de zapper pas mal de péripéties,mais quel roman d'avanturesssssss!!!

Vous,je sais pas,mais moi..comme je l'ai dit, accro depuis vingt ans....



A suivre:critique de"Ambre",et c'est pas un joke!!!
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Le Roi vert

L'été est passé, dommage, mais voici quand même une bonne lecture de plage ou de vacances.

J'avais bien aimé la trilogie "Cash", "Money" et "Fortune" qui inauguraient un nouveau genre littéraire dans les années 80,celui des westerns financiers, mais je me rappelle avoir littéralement dévoré "Le Roi Vert", je pense un de ses meilleurs romans...

Dès le début du livre, le lecteur est scotché par la folle aventure de Reb Michael Klimrod, et par sa destinée hors du commun : de Mathausen 1945 à New York 1980, le souffle de l'aventure, un thriller implacable, un destin romanesque, passionnant !
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Le Roi vert

Les livres e P L Sulitzer c'est toujours un peu pareil : le héro part de rien ou presque rien, il a de grandes facilités pour l'apprentissage des langues et il devient très riche.

C'est très facile à lire mais il ne faut pas en abuser car c'est un peu lassant mais pour l'été sur la plage si vous n'aimez pas rester à bronzer sans rien faire je vous propose la lecture de Sulitzer ou de la collection arlequin et après la lecture vous pourrez le donner à votre voisin(ne) de serviette (de plage) sans aucun regret.

Bien sur si vous avez l'intention de lier une relation plus soutenues avec votre voisin(ne) de serviette enfouissez ce livre sous le sable et sortez de votre sac le dernier Dostoievski... ça fait mieux tout de même.
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Hannah : L'Impératrice

J’étais une jeune adolescente quand une amie m’avait prêté les deux tomes d’Hannah de Paul Loup Sulitzer. Ou devrais-je dire de Loup Durand ? A l’époque, j’avais lu et bien aimé cette histoire inspirée de la vie d’Helena Rubinstein, et j’en étais restée là.

Quelques années plus, je découvrais avec beaucoup de plaisir un autre écrivain, Loup Durand, grâce à Daddy, un livre que j’ai depuis relu plusieurs fois et que j’avais bien apprécié.

Loup Durand est décédé en 1995, peu de temps après ma découverte de Daddy. C’est à cette époque que j’avais appris que Bernard Pivot l’avait présenté comme le « nègre littéraire de Paul-Loup Sulitzer, en brandissant La Femme pressée. »

J’avoue en être resté à cette époque, et ce n’est qu’il y a quelques temps que je me suis souvenue de tout cela en essayant de ranger mes livres et en tombant sur Hannah, et sa suite, l’Impératrice .

C’est donc animée d’une certaine curiosité que je me suis lancée dans cette relecture.

Alors j’ai réalisé que finalement, après toutes ces années, je me souvenais relativement bien d e l’histoire, mais j’étais surtout curieuse de voir si il pouvait y avoir des similitudes avec le style de Loup Durand. Je ne suis crêtes pas critique de livres et mes compétences professionnelles sont fort éloignées du monde de la littérature, mais clairement, oui, j’ai trouvé pas mal de points communs entre les trois livres ( Hannah, l’Impératrice et Daddy ). Certaines expressions, le style, l’amour des vieilles voitures comme les Hispano-Suiza du siècle dernier… On ne saura jamais quelle est la part exacte de la contribution de Loup Durand à l’écriture de Hannah et de sa suite, l’Impératrice, mais elle est surement bien plus importante que ce que Sulitzer a reconnu en nuançant ses propos.

Peu importe après tout, l’Histoire de la littérature foisonne de succès ayant le même profil… le œuvres les plus célèbres d’Alexandre Dumas doivent surement autant à Auguste Maquet qu’à Dumas.

Et Hannah, dans tout cela ? Bon, clairement, j’ai préféré le premier tome au second. Cette deuxième partie ne m’a pas rendu Hannah beaucoup plus sympathique, à part quelques reparties bien senties dont elle a le secret… Et puis j’avoue ne jamais avoir réussi à comprendre pourquoi elle s’est amourachée de ce Taddeuz….Que voulez-vous, mes gouts de lectrice ont changé….





Challenge Pavés 2023

Challenge A travers l’Histoire 2023



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Le Roi vert

Le style western financier mis au point par Sulitzer avec Money atteignit ici son summum. Un roman qui déroule une série d'aventures improbables, avec toujours en arrière fond le monde de la finance.

La saga Reb Michael Klimrod commence à Mauthausen en mai 1945 lors de la libération du camp de concentration puis se déroule sur tous les continents en parallèle des événements historiques.

Le livre a connu un grand succès à l'époque et honnêtement il m'avait plu. J'ignore aujourd'hui si je le relirais avec autant de plaisir et si je trouverais toujours digeste la prose Sulitzer – Durand (son nègre non assumé).
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Franz Cimballi : Cash

Mon commentaire du "roi vert" est tout aussi valable pour Cash!

C'est ça qui est bien avec sulitzer : il a une recette pour tous ses livres et moi j'ai un commentaire polyvalent
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Hannah

Hannah... Quel personnage! Quelle force de caractère, quelle poigne et quelle intelligence! Quelle sensibilité aussi. Je l'adore. Je l'envie. J'ai envie d'être elle. Elle est drôle et en même temps tellement triste... On ne résiste pas à Hannah, ce bout de femme monté sur piles. L'Impératrice est tout aussi flamboyant. A lire, à relire et encore et encore...!
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Hannah

En 1985, Sulitzer avait intégré tous les ingrédients d’un grand roman d’aventure dans cette biographie (très) romancée de Helena Rubinstein, première grande industrielle des produits de beauté. Une vie qui commence avec les pogroms de Pologne à la fin du XIX éme siècle, qui s’accomplit en Australie puis à Londres. Avec cet exemple de réussite économique féminine à une époque très machiste, Sulitzer en rajoute des tonnes côté romance et amour impossible, pour un roman visant clairement le lectorat féminin.

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Popov

Le chef d'oeuvre de Paul-Loup Sulitzer, un roman d'espionnage financier tellement au plus près de la réalité des oligarchies soviétiques qu'il en devient prédicateur d'avenir. Ecrit avec l'invasion de l'Afghanistan par les Popovs, à lire et à relire pour comprendre Poutine.
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L'argent du thé : Histoire d'une fortune

Un livre un peu différent de l'univers habituel de P-L Sulitzer que ce voyage à travers la Chine, l'Inde, le monde de la fin du XIX siècle. Époque ou tout était plus simple mais également combien plus dangereux ! C'est bien documenté et très agréable à suivre. Signalons aussi de très nombreuses descriptions mais sans longueurs excessives ce qui est relativement rare. A priori, un ouvrage délaissé (ou méconnu) à voir le nombre de lecteur (4) sans raison à mes yeux. Pour découvrir une autre facette de cet auteur.
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Le Roi vert, tome 1 : La traque (BD)

une bonne adaptation en bd du roman de Paul loup

sulitzer .tout commence le 5 mai 1945 les américains

libère le camp de concentration de Mauthausen, et au fond d'une fosse, parmi des dizaines de cadavres, un jeune homme de 17 ans

qui vit encore.chance et miracle de la volonté. il s,

appelle red Michael klimord ,, nul ne sait qui il

est sauf les nazis qui le

traqueront avec acharnement dans toute l,

Europe de l,après guerre.

red klimrod n'a qu'un seul

but : se venger et venger

sa famille déportée, ruinée,

et finalement anéantie.

sa traque le conduira d,

Autriche en Argentine et l,

amènera a disparaître dans les profondeurs de la

forêt amazonienne.des lors, on ne l, appellera plus que (( le roi vert )) .

u
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Le Roi vert

D’aucuns trouveront étrange de traiter sur un même blog d’un livre de Jaume Cabré et des thrillers financiers de Paul-Loup Sulitzer. Effectivement ceci est un curieux grand écart mais si l’ont ne retiens que la notion de plaisir de lecture, les bouquins de l’auteur de l’impératrice ont toute leur place sur ces pages. Je dois bien avouer que plusieurs années après, je garde un souvenir ébloui de la lecture d’Hannah ou du roi vert. Je ne parlerais pas du style que j’avoue avoir oublié mais des destins ô combien romanesque traités dans ces livres haletants, efficaces et implacables. Je me rappelle d’après-midi entières passées aux côtés de Reb Klimrod dont le destin prodigieux me menait du camp de Mathausen jusqu’aux plus hautes sphères de la finance mondiale. Je me souviens de la vie d’Hannah, personnage marqué par la guerre qui n’aura de cesse de bâtir le plus grand empire cosmétique du siècle. Marketing, pools d’auteurs, pompes à fric: tout à été dit sur ces romans dont le succès aura marqué une époque et fait hurler les puristes. De mon côté je ne retiendrais que des heures de lectures passionnantes et surtout une petite porte ouverte sur les livres qui me permettra de découvrir une autre littérature, plus éxigeante et surement plus élitiste. Pour cela et pour ce plaisir populaire partagé , je tiens à remercier l’auteur, qu’il se nomme Sulitzer, Durand ou autre…. On nous Claudia Schiffer, on nous Paul-Loup Sulitzer.....
Lien : http://francksbooks.wordpres..
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Popov

le seul livre de Sulitzer qui a trouvé grace à mes yeux mais je ne sais déjà plus de quoi ça parle... je crois que ça a un rapport avec la russie... avec ce titre on peut s'en douter tout de même.
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