Citations de Paulo Coelho (4393)
J'ai lu pour vous la préface et le prologue afin que vous vous fassiez votre opinion.
Retrouvez ces deux extraits sonores de quelques minutes afin de l'acheter ou l'emprunter en connaissance de cause.
- Ce qui existe, ce sont les échecs. Personne n’y échappe. Aussi vaut-il mieux perdre quelques combats en luttant pour ses rêves que d’être battu sans seulement savoir pour quoi on lutte
à un moment donné de notre existence, nous perdons la maîtrise de notre vie, qui se trouve dès lors gouvernée par le destin. C’est là qu’est la plus grande imposture du monde.
{Quand tu veux quelque chose, tout l'univers conspire pour t'aider à l'avoir}.
{"Mon coeur craint de souffrir",
dit le jeune homme à l'alchimiste, une nuit qu'ils regardaient le ciel sans lune.
-Dis-lui que
"la crainte de la souffrance est pire que la soffrance elle-même et qu'aucun n'a jamais souffert alors qu'il était à la poursuite de ses rêves"}.
{Il sut soudain qu'il pouvait regarder le monde soit comme la malheureuse victime d'un voleur soit comme un aventurier en quête d'un trésor}.
{Une conquête commence toujours par la chance du débutant ,et s'achève toujours par l'épreuve du conquérant}.
Je n'ai regardé que le soleil et j'ai oublié les tempêtes. Je me suis laissé émerveiller par la beauté des roses et je ne n'ai pas fait attention aux épines.
Même les arbres les plus hauts sortent de toutes petites graines comme celles là. Souviens t'en et ne cherche pas à accélérer le temps.
Ce sont des graines de tulipes, le symbole de notre pays. Cependant, bien plus que ça, il y a quelque chose que tu dois apprendre : ce sont toujours des tulipes, même si en ce moment tu ne peux pas les distinguer des autres fleurs. Elles auront beau le vouloir elles ne deviendront jamais des roses ou des tournesols. Si elles choisissent de refuser leur sort, elles finiront par passer une vie amères et mourir.
"Notre âme est gouvernée par quatre forces invisibles : l'amour, la mort, le pouvoir (de decider) et le temps"
"J'ai dormi et j'ai pensé que la vie n'était que joie.
"Je me suis réveillé et j'ai découvert que la vie était Devoir.
"J'ai accompli mon Devoir et j'ai découvert que la vie était Joie."
De toutes les puissantes armes de destruction que l'homme a été capable d'inventer, la plus terrible, et la plus lâche, est la parole.
Il nous reste l'amour. Dans les moments où tout le reste est inutile, nous pouvons encore aimer, sans attendre de récompense, de changement, de remerciements.
Justement au moment où j'avais réussis à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changé.
S'arrêter de temps en temps, sortir de soi et demeurer silencieux devant l'Univers. Se mettre à genoux, corps et âme. Sans rien demander, sans penser, sans même remercier pour quoi que ce soit. Seulement vivre l'amour silencieux qui nous enveloppe. Dans ces moments-là, il se peut que jaillissent quelques larmes inattendues - qui ne sont ni de joie ni de tristesse. N'en soyez pas étonné. C'est un don.
Ces larmes lavent votre âme.
De peur de rapetisser, nous oublions de grandir. De peur de pleurer, nous oublier de rire.
Nous avons marché si vite que nous ne savons plus ce que nous faisons.
Maintenant, nous devons attendre que nos âmes nous rejoignent.
Précisément, répondit le vieil ermite.
Moi, j'ai la musique des sphères, j'ai les rivières et les montagnes du monde entier, j'ai la lune et le soleil, parce que j'ai Dieu dans mon âme. Mais Votre Majesté n'a que ce royaume.
Lorsqu'un vice devient une habitude, il est difficile de le combattre (...). Mais quand il commence à exiger de nous des attitudes nouvelles, des décisions, des choix, alors nous prenons conscience du fait qu'il ne mérite pas autant d'efforts.