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Citations de Peter V. Brett (57)


- Je croyais que les hommes n'étaient pas admis dans le palais, afin que la chasteté des dama'ting soit préservée.
- Tu as en partie raison. Les eunuques n'ayant pas de bourses, ce ne sont par conséquent pas des hommes aux yeux d'Erevam.
- Alors, ce sont des... push'ting ?
- Il leur manque leurs bourses. En revanche, leur lance reste parfaitement capable d'accomplir l’œuvre d'un homme, un vrai.
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Il ne devrait pas avoir de fausseté entre un homme et sa femme.
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La nature met du temps à reprendre ses droits, mais elle finit toujours par y arriver.
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"Le Mariage, c'est la mort de la liberté", avait l'habitude de dire son maître.
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- Mère ?
- Oui ?
- Est-ce que tu m'aimeras quand même si je suis stérile ?
- Tu es ma fille. Je t'aimerais même si tu nous enlevais le soleil.
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- J'aurais aimé que les chtoniens la prennent, elle, hier soir, marmonna-t-elle.
- Ne dis pas ça, rétorqua son père en levant les yeux vers elle. ne dis ça de personne.
Il lui jeta un regard furieux jusqu'à ce qu'elle hoche la tête.
- Et puis, ajouta-t-il tristement, ils la rendraient probablement aussitôt.
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La route ne semblait pas avoir subi les outrages du temps, et la pierre grise, uniformément plate, vierge de toute fissure ou de tout défaut, s'étirait à perte de vue.
- Comment ils ont transporté de si gros cailloux ?
- Ils n'ont rien transporté du tout. Ils ont fabriqué une espèce de pâte appelée le bét qui, en séchant, devient dure comme roche. Autrefois, toutes les routes ressemblaient à celle-ci. Elles étaient larges et faisaient parfois des centaines de kilomètres de long.
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Certains jours, on est la queue, et d'autres fois le trou.
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- C'est très facile de blesser avec les mots, dit Mairy, en écho à ce que la cueilleuse avait dit plus tôt. Mais guérir avec des mots, c'est sacrément dur. N'oublie pas que c'est toi qui lui as fait mal en premier.
(Dans "Brianne battue")
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Certaines femmes ont trop de volonté pour mourir avant d'avoir terminé ce qu'elles ont à faire.
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On ne naît pas Libérateur. On le devient.
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Kenevah avait raison, le palais des dama'ting n'était pas très différent du Grand Bazar. Mais Soli n'était pas là pour la défendre. Elle repensa à ce que sa mère lui avait raconté au sujet de Krisha.
Puisqu'elle n'était pas de taille à affronter Melan et les autres filles au sharusahk, elle emploierait la méthode maternelle pour résoudre son problème. Elle baisserait les yeux et ferait ce qu'on lui dirait. Elle travaillerait dur. Tendrait l'oreille. Apprendrait.
Et lorsque toutes auraient le dos tourné, elle contaminerait ce qui servait de tente à Melan.
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Oh que si, lança Selia en jetant un coup d'œil dur à ses compagnons. Si nous devons... assassiner cette fille, alors nous allons tous, hommes, femmes et enfants, observer l'exécution pour nous rappeler ce que nous avons fait, gronda-t-elle. La loi est la loi.
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Le soleil du désert était accablant. Au-delà de la chaleur ou de l'éclat de ses rayons, il était un véritable fardeau, une force oppressante qui s'abattait sur les épaules d'Arlen. Très souvent il se surprit à s'incliner, comme sous la pression de l'astre du jour.
(Dans "Le grand Bazar")
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- Je n'ai pas besoin d'une escorte, mais il en faut une à Rojer, expliqua l'Homme-rune. (Le jongleur le regarda d'un air sévère, mais il n'en tint pas compte). Tout comme Wonda protège Leesha, je veux que tu gardes un œil sur lui. La magie de son violon est unique et irremplaçable. Elle pourrait faire tourner la chance en notre faveur, si on parvient à l'exploiter.
Gared s'inclina bien bas et s'avança sous un rayon de soleil qui filtrait par une fenêtre.
- Je le jure par le soleil. (Il considéra Rojer.) Je ne le quitterai pas des yeux.
Le jongleur observa calmement l'immense et imprévisible coupeur non sans une légère appréhension, ne sachant pas très bien s'il devait être rassurée ou terrifié.
- Laisse-moi au moins aller pisser en paix, dit-il.
Gared éclata de rire et lui donna une tape dans le dos. Rojer, le souffle coupé manqua de tomber par terre.
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La musique requiert deux choses, Rojer, dit Cholls. De la technique et du talent. L'un s'apprend, mais pas l'autre. Depuis toutes ces années, je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi doué que toi.
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Les "Sharum" sont de grands guerriers, mais ils ne sont pas réputés pour leur intelligence ni pour leur instinct de survie. (Abban à Leesha)
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Le monde est vaste pour les courageux capables d'affronter les ténèbres
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Lorsqu'il était enfant, Arlen jouait dehors jusqu'à la tombée de la nuit avant de répondre aux appels de sa mère. Il n'y avait rien de pire que de rester enfermé, chaque soir, et il était bien décidé à ne pas gâcher une seule minute de lumière du jour en la passant à l'intérieur. [...] Il ralentissait lorsqu'il voyait la maison, malgré les cris de ses parents, marlgré la terreur qu'il percevait dans leur voix. C'était le moment de la journée où il se sentait le plus vivant. Il regardait le soleil descendre dans le ciel, éclipsé par la rotation du monde sous lui. Les ombres commençaient à s'allonger. Il attendait la dernière minute, puis courait jusqu'à sa maison aussi vite qu'il le pouvait. Un frisson de peur excitant s'emparait alors de lui, faisant battre son coeur plus fort et trembler ses mains. L'air lui semblait meilleur pendant ces quelques secondes et son corps s'enivrait de sensations. Il n'y avait rien de plus beau que les rouges et oranges du crépuscule, aucun son n'était plus grisant que les cris d'alarmes de ses parents. Il passait le seuil en trombe, en faisant attention aux runes, puis se retournait pour regarder les chtoniens surgir.
Tandis que les derniers rayons ardents s'évanouissaient à l'horizon, et que la chaleur montait du sol, les démons des flammes sortaient du Coeur terrestre pour danser.
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- Que t'ont-ils révélé ? A propos d'aujourd'hui.
- Que tu te montrerais toujours sincère avec moi, même si je ne veux pas entendre la vérité.
En voyant un pli se former au coin de ses yeux, Inevera sut que Manvah souriait.
- C'est le devoir d'une mère.
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