Nationalité : États-Unis
Né(e) à : New Rochelle, New York
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Né(e) à : New Rochelle, New York
Biographie :
Peter V. Brett a fait ses études à l’université de Buffalo, où il a obtenu une licence en Arts, Littérature Anglaise et Histoire de l’Art. Il a fait ses débuts en Fantasy avec "Le Cycle des démons" en publiant en septembre 2008 de son roman "The Painted Man" chez Harper Voyager.
Le roman est sorti à son tour aux États-Unis sous le titre de "The Warded Man" / "L'Homme Rune", aux éditions Del Rey. La suite de ce premier opus, "La Lance du désert" a été publiée en août 2009.
Peter vit à New York dans le quartier de Brooklyn, avec sa femme Dani, leur petite dernière Cassandra et leur chat diabolique, Jinx.
Peter V. Brett a fait ses études à l’université de Buffalo, où il a obtenu une licence en Arts, Littérature Anglaise et Histoire de l’Art. Il a fait ses débuts en Fantasy avec "Le Cycle des démons" en publiant en septembre 2008 de son roman "The Painted Man" chez Harper Voyager.
Le roman est sorti à son tour aux États-Unis sous le titre de "The Warded Man" / "L'Homme Rune", aux éditions Del Rey. La suite de ce premier opus, "La Lance du désert" a été publiée en août 2009.
Peter vit à New York dans le quartier de Brooklyn, avec sa femme Dani, leur petite dernière Cassandra et leur chat diabolique, Jinx.
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Interview de Peter V. Brett par Estelle Hamelin pour ActuSF.com, dans le cadre des Imaginales 2019
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- Je croyais que les hommes n'étaient pas admis dans le palais, afin que la chasteté des dama'ting soit préservée.
- Tu as en partie raison. Les eunuques n'ayant pas de bourses, ce ne sont par conséquent pas des hommes aux yeux d'Erevam.
- Alors, ce sont des... push'ting ?
- Il leur manque leurs bourses. En revanche, leur lance reste parfaitement capable d'accomplir l’œuvre d'un homme, un vrai.
- Tu as en partie raison. Les eunuques n'ayant pas de bourses, ce ne sont par conséquent pas des hommes aux yeux d'Erevam.
- Alors, ce sont des... push'ting ?
- Il leur manque leurs bourses. En revanche, leur lance reste parfaitement capable d'accomplir l’œuvre d'un homme, un vrai.
La nature met du temps à reprendre ses droits, mais elle finit toujours par y arriver.
Il ne devrait pas avoir de fausseté entre un homme et sa femme.
"Le Mariage, c'est la mort de la liberté", avait l'habitude de dire son maître.
- Mère ?
- Oui ?
- Est-ce que tu m'aimeras quand même si je suis stérile ?
- Tu es ma fille. Je t'aimerais même si tu nous enlevais le soleil.
- Oui ?
- Est-ce que tu m'aimeras quand même si je suis stérile ?
- Tu es ma fille. Je t'aimerais même si tu nous enlevais le soleil.
- J'aurais aimé que les chtoniens la prennent, elle, hier soir, marmonna-t-elle.
- Ne dis pas ça, rétorqua son père en levant les yeux vers elle. ne dis ça de personne.
Il lui jeta un regard furieux jusqu'à ce qu'elle hoche la tête.
- Et puis, ajouta-t-il tristement, ils la rendraient probablement aussitôt.
- Ne dis pas ça, rétorqua son père en levant les yeux vers elle. ne dis ça de personne.
Il lui jeta un regard furieux jusqu'à ce qu'elle hoche la tête.
- Et puis, ajouta-t-il tristement, ils la rendraient probablement aussitôt.
La route ne semblait pas avoir subi les outrages du temps, et la pierre grise, uniformément plate, vierge de toute fissure ou de tout défaut, s'étirait à perte de vue.
- Comment ils ont transporté de si gros cailloux ?
- Ils n'ont rien transporté du tout. Ils ont fabriqué une espèce de pâte appelée le bét qui, en séchant, devient dure comme roche. Autrefois, toutes les routes ressemblaient à celle-ci. Elles étaient larges et faisaient parfois des centaines de kilomètres de long.
- Comment ils ont transporté de si gros cailloux ?
- Ils n'ont rien transporté du tout. Ils ont fabriqué une espèce de pâte appelée le bét qui, en séchant, devient dure comme roche. Autrefois, toutes les routes ressemblaient à celle-ci. Elles étaient larges et faisaient parfois des centaines de kilomètres de long.
- C'est très facile de blesser avec les mots, dit Mairy, en écho à ce que la cueilleuse avait dit plus tôt. Mais guérir avec des mots, c'est sacrément dur. N'oublie pas que c'est toi qui lui as fait mal en premier.
(Dans "Brianne battue")
(Dans "Brianne battue")
Certains jours, on est la queue, et d'autres fois le trou.
Kenevah avait raison, le palais des dama'ting n'était pas très différent du Grand Bazar. Mais Soli n'était pas là pour la défendre. Elle repensa à ce que sa mère lui avait raconté au sujet de Krisha.
Puisqu'elle n'était pas de taille à affronter Melan et les autres filles au sharusahk, elle emploierait la méthode maternelle pour résoudre son problème. Elle baisserait les yeux et ferait ce qu'on lui dirait. Elle travaillerait dur. Tendrait l'oreille. Apprendrait.
Et lorsque toutes auraient le dos tourné, elle contaminerait ce qui servait de tente à Melan.
Puisqu'elle n'était pas de taille à affronter Melan et les autres filles au sharusahk, elle emploierait la méthode maternelle pour résoudre son problème. Elle baisserait les yeux et ferait ce qu'on lui dirait. Elle travaillerait dur. Tendrait l'oreille. Apprendrait.
Et lorsque toutes auraient le dos tourné, elle contaminerait ce qui servait de tente à Melan.
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