Philippe Bloch

Dis-moi comment tu t'exprimes, et je te dirai qui tu es. Laisse-moi découvrir tes expressions, adjectifs et mots préférés, et je te dirai quel est ton état d'esprit.

Le problème, c'est que...

Ce qui me frappe, c'est que nous sommes devenus incapables de penser que les choses peuvent être simples, normales, apaisées, fluides, agréables, que tout n'est pas forcément combat, tension, obstacle ou rivalité. Qu'il n'y a pas QUE des problèmes et qu'il est possible aussi de vivre heureux, voire plus, sans tenter de les débusquer en toutes circonstances.

Souciez-vous de ce que les gens pensent de vous, et vous serez toujours leur prisonnier.

Réapprenons à dire " bonne journée" et interdisons-nous pour toujours de souhaiter "bon courage" à qui que ce soit !

Rien ne prouve qu'avant était mieux qu'aujourd'hui. Comment peut-on vivre dans le passé, alors que le présent est si excitant, et le futur, plus encore.

Donne-moi la sérénité d'accepter les choses que je ne peux pas changer, le courage de changer celles sur lesquelles j'ai du pouvoir et la sagesse de reconnaître la différence.

Évidemment que tout va toujours mal. Mais cela a toujours été ainsi et nous n'y pouvons pas grand-chose. Je veux bien faire partie du club des optimistes qui disent: Soyez heureux quand ça va mal.

Moins notre bonheur est dans la dépendance des autres plus il nous est aisé d'être heureux.

De personne jamais rien tu n'attendras.

Si vous ne réussissez pas du premier coup, relevez-vous et essayez encore

Débarrassez-vous de vos peurs et de votre vision négative des hommes et du monde. Réapprenez à rêver et à agir plutôt qu'à subir. Modifiez le regard que vous portez sur votre vie. Recommencez à croire en vous. Arrêtez de préférer la souffrance au changement. Redevenez simplement un enfant qui apprend à marcher...

Il y a mille façons d'aspirer au bonheur. La plus sûre semble être de parvenir à cumuler la dimension plaisir de la vie et fierté d'avoir un but et de faire chaque jours des choses qui ont du sens.

Quand nous haïssons nos ennemis, nous leurs donnons du pouvoir sur nous. Du pouvoir sur notre sommeil, notre appétit, notre santé et notre bonheur.

"être optimiste, c'est faire un constat lucide au travers duquel on envisage les solutions plutôt que les problèmes"
Frédéric Lenoir

"si vos rêves ne vous font pas peur, c'est qu'ils ne sont pas assez grand"
Richard Branson

l'arbre qui tombe fait plus de bruit que la forêt qui pousse

Le monde appartient à ceux qui, aujourd'hui, auront su renoncer à attendre quoi que ce soit de qui ce soit.

Nous avons tous tendance à nous sentir plus petits que nous ne sommes en réalité, préférant ne vivre qu'à moitié.

Quand on agit, les petites voix intérieures qui nous minent et nous tétanisent ne nous parlent plus.

Mettre l'adjectif petit à toutes les sauces est donc devenu un réflexe naturel. Presque une nouvelle langue. Si l'on admet que les mots sont révélateurs d'un état d'esprit, voire d'une culture, nul doute que nous avons des progrès à faire pour sortir de cette vision étriquée. Pourquoi tout devrait-il être petit, voire minuscule ou médiocre, et le rester ? Ne serait-il pas plus excitant et plus motivant de penser grand ? De donner de l'ambition à nos rêves, du souffle à nos projets, quitte à prendre plus de risques et à nous mettre davantage en danger ? N'aurions-nous pas plus de plaisir à accomplir de grandes choses plutôt qu'une succession d'actes insignifiants, dont nous ne tirons aucune fierté particulière ?