Philippe Masson

Ce livre nous place devant une manière de lire les travaux de Becker. Il insiste sur l’ouverture d’esprit du sociologue et sur la liberté que procurent ses propos face aux conventions de la discipline.
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L'ouvrage étant de qualité, on passera outre la double bizarrerie du titre, l'une étant la borne maximale de la période, fixée à 2001 alors que l'ouvrage est paru en 1997 ; l'autre étant le choix d'avoir délimité le sujet par des années précises plutôt qu'un simple L'homme en guerre au XXe siècle, dates qui ne collent pas du tout avec les événements annoncés (la Marne, c'était en 1914 et le siège de Sarajevo a duré de 1992 à 1996).

Plutôt qu'un exposé d'un bloc qui progresserait dans son analyse, il faut prendre L'homme en guerre comme un recueil thématique dans lequel on piochera au gré des envies. C'est le seul défaut du bouquin, l'absence entre les différents sujets évoqués d'un liant plus pointu que le seul cadre du sujet qui est très large sur chacun de ses points – guerre, société, XXe – comme dans leur combinaison.

Cette réserve mise à part, le titre a le grand mérite de proposer une bonne synthèse, accessible sans disposer d'un bac +12000 en histoire ou de 350 ans d'expérience professionnelle dans le domaine militaire.

Masson s'intéresse au visage particulier de la guerre au XXe siècle, ou plutôt aux visages, pluriel de rigueur tant la période abonde en nouveautés (guerre totale, guerre à l'échelle mondiale, guerre pour des motifs idéolologiques, conflits de décolonisation, nucléaire...). Il va surtout s'intéresser à l'humain, embarqué là-dedans, transformé en combattant alors qu'il était un civil peinard, confronté à une expérience et un environnement terribles sur les plans sensoriels et psychiques. Changement de la guerre et changement des armées occupent la moitié de l'ouvrage, l'autre moitié étant occupée par le devenir de ces combattants selon qu'ils finissent blessés, capturés, morts ou parviennent à s'en tirer, à travers l'étude du service de santé, des prisonniers, des sépultures (cimetières militaires et monuments aux morts font partie des grosses nouveautés sociétales du siècle) et des anciens combattants.

Même si un peu décousu dans sa globalité, L'homme en guerre parvient à donner une image claire et précise du combattant dans les limites de ses 400 pages pour un sujet qui en nécessiterait dix fois plus. Masson doit parfois faire vite, survoler certains points sans les creuser, zapper les détails et les références, mais c'est l'exercice de la synthèse qui veut ça, ainsi que les contraintes éditoriales. Il en reste un bouquin intéressant, une très bonne base pour aborder la question.
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C'est l' histoire de deux enfants qui s'appellent Tom et Léa .

ils atterrissent en Irland au Moyen-âge, et découvrent au sommet d'une

falaise un monastère où vivent des moines. Qunad soudain des bateaux à tête

de Dragon s'approchent de la côte : les vikings attaquent !

Au temps du Moyen-Age en Irlande, Léa et Tom croise la route de Vikings.

Un bon cru des aventures de Tom et Léa. Cela faisait longtemps que l'on attendait cela.



Cette fois-ci, les Maîtres Bibliothécaires sont propulsés sur une île irlandaise, près d'un monastère. Frère Michael est occupé à enluminer le volume recouvert de cuir que Tom et Léa doivent récupérer. Ils savent qu'aux heures les plus sombres, ils pourront invoquer l'histoire que le livre contient (s'ils l'ont en leur possession).



Au moment où les vikings attaquent, à bord de leurs drakkars, c'est la panique sur l'île. Les moines se retranchent dans une cachette. Et Tom et Léa se voient confier le tome, et essaie de retourner à leur cabane. Facile à dire, mais difficile à faire... Ils finissent sur un drakkar dont les amarres se détachent. C'est leur heure la plus sombre... et un serpent de mer leur vient en aide. Ils retournent à Belleville de justesse, car deux vikings accourraient à toute vitesse vers la cabane.



Au final, une excellente aventure où les jeunes lecteurs vont apprendre de nombreuses choses, mais où ils vont vibrer aussi. Et rêver devant les illustrations de vikings, de drakkars et de serpent de mer.

Une courte aventure en terre irlandaise. L'histoire est pleine de rebondissements et d'informations intéressantes pour le jeune lecteur.

Me revoilà avec la suite des aventures de Tom et de sa soeur Léa, cette fois ci nous partons en Irlande, Pays des vikings, vous savez ces grands blonds avec leur air pas très aimable, et bien je confirme ils ne sont pas aimable du tout et ne vont pas faciliter la tâche à nos deux enfants. L'histoire se tient bien, elle m'a plus convaincu que les précédentes. Bref, je continue aux parents de lire ces histoires facilement compréhensibles à leurs enfants et aux enfants qui ont déjà le goût de la lecture, de se lancer dans les aventures Cabane magique.

Ce livre m'a été offert par un petit garçon de neuf ans, Elie, à qui je rends hommage avec cette critique. Car en effet, j'ai promis de lire cette histoire et de lui faire un retour ; je ne peux donc pas manquer à ma parole et le décevoir.

J'ai découvert avec plaisir une lecture intelligente c'est-à-dire, qui ne cherche pas à séduire par la facilité ou la familiarité. A la fois distrayant et instructif, ce récit met en scène des personnages vifs et curieux aux prises à l'aventure et à la culture. Les jeunes lecteurs s'instruisent en même temps que les personnages (Léa et son frère, Tom) grâce à un livre merveilleux remis par la fée avant leur départ hors du temps et l'accomplissement de leur mission : dans ce volume, il est question d'enluminures, de la vie des moines ou encore des Vikings. Ces petits récits entraînent nos héros et les lecteurs dans différents moments de l'Histoire, ce qui est une belle idée pédagogique pour se questionner sur la culture et les moeurs des temps passés, les peuples ou encore le langage (il est question de latin dans ce récit). Je salue également le style de l'auteur, soutenu par une écriture de très bonne qualité. En effet, l'auteur et la traductrice ne tombent pas dans des clichés littéraires ou pire, des tics de langage propre au langage "jeune" qui se démodent rapidement. Aussi, le vocabulaire et les conjugaisons ne sont pas simplistes, ce qui donne l'impression que l'auteur a misé sur la qualité tout en faisant confiance aux enfants sur leurs compétences d'apprentissage. Enfin, le découpage en courts chapitres ornés de belles illustrations offrent à la fois du suspens et matière à s'évader.

Il me semble toutefois que les personnages âgés de 7 et 9 ans ont une capacité de réflexions et surtout de décisions bien trop développée pour leur âge mais, nous sommes dans l'univers du récit et donc, de la fiction, voire dans ce cas, du merveilleux (n'oublions pas qu'ils ont pour mentor Morgane la Fée).

Encore un chouette tome dans cette série de livres pour enfants...

La cabane magique est un beau roman pour les jeunes enfants, avec de l'aventure et du suspens. Les deux héros qui sont frères et soeur ont chacun un caractère bien trempé et leur humour mouvemente le récit. Facile et court, ce petit roman a toutes les qualités pour que les jeunes lecteurs l'apprécient, surtout s'ils sont transportés à Olympie grâce à leur cabane magique...

Un peu de magie avec une rencontre inattendue en Grèce. Comme toujours de nombreux rebondissements et informations culturelles tiennent le jeune lecteur en haleine du début à la fin.

Suite des aventure de Tom et de Léa, nous voilà partis dans la Grèce antique, Tom et Léa vont continuer leur quête et trouver le document demandé par la fée Morgane, et rencontrer en chemin, le grand, magnifique et sympathique Platon, ils vont aussi rencontrer une civilisation très sexiste qui ne va pas du tout être de leurs goûts. En lisant ce livre à mon fils, j'ai toujours été conquise par les histoires des cabanes magiques mais il m'a manqué un petit quelque chose pour rajouter une quatrième histoire à cette histoire comme si celle ci avait été un peu bâclée pour finir ce cycle et passer à autre chose.

Je vais malgré tout continuer à lire les cabanes magiques avec mon fils car c'est un bon moment de partage.

Léa et Tom participent aux jeux Olympiques du temps de leur création, quel plaisir !

Un chouette tome qui nous parle maintenant des Jeux Olympiques ! Vraiment pas mal...

Tom et Léa vont passer une journée dans la Grèce antique afin de récupérer un manuscrit pour la fée Morgane.

De multiples informations sont données sur la vie quotidienne en Grèce, l’architecture, les différents dieux de la mythologie et surtout sur les jeux olympiques.

Il est intéressant de découvrir la place des femmes (ou plutôt l’absence de place) dans la société grecque antique : dans le récit, une jeune poétesse doit se cacher pour écrire ses poèmes et ne peut les publier sous son nom sous peine de mort, ce qui révolte la jeune Léa.

Mon fils a apprécié ce roman mais a trouvé qu'il y avait beaucoup moins d'action que dans d'autres tomes de la collection.
Lien : https://lectureenfantparent...

Je peux sentir, à l'excitation de mes deux loulous lorsqu'arrive la lecture du soir, l'intérêt qu'ils portent à Tom et Léa. Leur intérêt est indéniable, leur attachement indéfectible.



Mais on peut également ressentir l'alchimie qui prend place, ou pas, entre mes enfants et un livre en particulier.



Et ici, j'ai pu constater que le soufflé retombait un peu.



La série des 4 tomes "à la recherche du livre perdu" se termine en mode mineur. Le statut de Maître Bibliothécaire de Tom et Léa n'a pas réellement emballé, homis le 3è volume. Ici, cela aurait pu être chouette. Les jeux olympiques... Et en effet la course est un beau moment. Mais elle est noyée dans une abondance d'informations, de trucs qui finissent par rappeler l'école, et pas la joie de lire, d'apprendre. C'est poussif, pas du tout dynamique. Même si l'auteure essaie de na pas trop se répéter (ce qui est impossible dans une saga de ce type), elle ne renouvelle pas suffisamment les mécanismes. Bien sûr, les enfants aiment aussi se retrouver en pays connu. Mais l'excitation perdue est le signe qu'il a manqué (à mes loulous) un petit quelque chose.



Cela dit, Tom et Léa, ce sont deux amis maintenant, et aux amis, on pardonne beaucoup. Mon aîné est déjà préoccupé par trouver la suite des aventures de ce duo attachant.

Je continue de lire les aventures de Tom et de Léa, et malgré l'accroche avec des dauphins, animaux on ne peut plus attirants et attachants pour les grands et les petits, je n'ai pas été emballé plus que ça avec ce nouveau tome. L'auteur n'a pas su nous faire rêver avec ces animaux pourtant fascinants, l'histoire n'est pas rendue assez concrète et on sent que l'enfant n'accroche pas. Mon fils ne m'a posé aucunes questions, il s'est contenté de m'écouter sans demander à voir les dessins qui illustrent tous les tomes des cabanes magiques alors que d'habitude il aime me demander à voir ces dessins, il veut lire le titre des chapitres, il me réclame encore un chapitre s'il te plaît, là rien ni de son côté ni du mien, cette histoire ne nous a pas convaincu.

Ce livre est super car j'aime beaucoup les fonds marins !

Un tome qui alterne le très bon et le moins bon.



On retrouve les deux héros attachants et ils ont cette fois une mission à la hauteur de leurs ambitions. Merlin a volé leur carte de Maître Bibliothécaire. Morgane les charge de les récupérer.



Evidemment, personne ne doute qu'ils y arriveront. Pour ce faire, ils ont une énigme à résoudre et ils ne savent même pas par où commencer. Ils vont découvrir les fonds marins (pas très bien rendus) à bord d'un submersible (personne n'utilise plus ce mot...) et subir l'attaque d'une pieuvre d'abord et d'un requin-marteau ensuite, pour finalement être sauvés par un couple de dauphins. C'est au moment où tout semble perdu qu'ils trouvent la solution de l'énigme, par hasard...



Pour l'adulte que je suis, ce roman est factice et insipide. La certitude que Tom et Léa arriveront à trouver la solution couplée à ce sempiternel hasard (présent depuis quelques tomes seulement), cela me coupe tous mes effets. Mon aîné de 7 ans, par contre, adore Tom et Léa et ses yeux scintillent quand il les accompagne dans le sous-marin, son front se plisse quand ils nagent pour échapper au requin... Bref, Tom et Léa, ce sont deux amis.

Les dauphins sont des mammifères sociables et aimant le contact avec les humains.