Pierre Durand

Pierre Durand, lui même dépoté à Buchenwald, nous raconte l'histoire de ce camp, de la vie et de la mort quotidiennes des prisonniers.







Après avoir rappelé la genèse de ce camp, il reviendra sur la lutte entre les "verts" c'est à dire les prisonniers de droit commun sur lesquels s'appuyaient les SS pour leurs basses-oeuvres et les " rouges" c'est à dire les prisonniers politiques allemands parfois enfermés depuis 1933. Après la prise de pouvoir des postes les plus importants ( administratif, infirmerie, réfectoire, etc... ) par ces derniers, la vie à l'intérieur du camp changea complètement et un semblant de solidarité vit le jour.





Qui dit solidarité, dit résistance et grâce une organisation clandestine, au tout début communiste, les conditions de survie des déportés s'améliorèrent sensiblement.



L'auteur fait le portrait de ces combattants héroïques, de leurs échecs et de leurs succès quand ils arrivaient à sauver de la mort des centaines de déportés.





En temps que français, il explique que ces derniers étaient très mal considérés par les prisonniers des autres pays à cause de la politique de Vichy entre autres et qu'il fallut l'arrivée de figures connues de la résistance gaulliste et communiste pour qu'ils puissent accéder à des postes importants au sein des comités de résistance.



Après avoir créé un comité international, les résistants préparèrent une insurrection armée pour le jour tant attendu de la délivrance par les alliés.



L'auteur évoque également les Kommandos extérieurs et notamment celui de Dora où là aussi fut organisé un comité de résistance qui fut malheureusement exterminé après avoir été trahi.



La fin de l'ouvrage est consacrée à la lutte ouverte pour empêcher, si possible, les départs des marches de la mort dont on sait qu'elles furent fatales à de si nombreux déportés.





La résistance réussit à libérer le camp par ses propres moyens lorsqu'elle sut que les Américains se trouvaient à quelques kilomètres et fit prisonnier environ 150 SS qu'elle remit aux alliés.









Pour réaliser ce livre, Pierre Durand utilise de nombreux témoignages d'anciens déportés de tous les pays ce qui rend encore plus émouvante la lecture.

«1939-1945 Le Génocide Des Malades Mentaux en France», tel est le sous-titre d’un autre éditeur. Je suis consterné d'être le premier à commenter ce livre, mais mémoire oblige, c'est d'autant plus important. La photo de couverture est déjà parlante. On peut s'y arrêter. Je commencerai par résumer la présentation d’un autre éditeur.

Publié une première fois en 1988, Le train des fous de Pierre Durand est le récit d'un drame généralement ignoré, parce que tu. Ainsi, le drame est devenu «tabou». Il s'agit de la mort de dizaines de milliers d'êtres humains: les fous enfermés dans les hôpitaux psychiatriques pendant la Seconde Guerre mondiale, en France.

Le train des fous est bâti sur des faits réels et résulte d'une longue enquête dans le plus grand des établissements psychiatriques: celui de Clermont-de-l'Oise...

Alors que dans l'Allemagne nazie à la suite d'un décret secret signé d'Hitler on éliminait les fous... dans la France occupée... sans loi ou décret, mais par l'application d'un mot d'ordre discret qui aurait pu s'intituler «laissez-les mourir», on parvint presque au même résultat qu'en Allemagne. Le gouvernement de Pétain refusa en effet, très officiellement, aux malades des hôpitaux psychiatriques ce qui était accordé à ceux des hôpitaux généraux... Peu avant la guerre un idéologue (et aussi prix Nobel de médecine), Alexis Carrel, déplorait l'«effort naïf fait par les nations civilisées pour la «conservation d'êtres inutiles et nuisibles».

Voici ensuite ce que j’ajoute moi-même à ce résumé d’éditeur: Les faits sont relatés en 1981 par la thèse du Dr Max Lafont, ouvrant un espace de mémoire à ce qui a été appelé «extermination douce». Dans un premier temps, sa thèse a été refusée comme inopportune. Plus tard ce médecin en a fait un livre dont on peut consulter les détails (https://www.persee.fr/doc/rbph_0035-818_1990_num_68_4_5787_t1_1052_0000_2)



Reconnaissance officielle: en 1999, à Clermont de l'Oise fut inaugurée une stèle à la mémoire des 3063 morts de cet hôpital, morts de froid et de faim, mais sur Wikipedia, l’article sur cette localité comporte plus de 50 illustrations, mais aucune de cette stèle, et on y parle bien de l’hôpital psychiatrique qui existe toujours, sans dire un mot de son passé.



En 1938, dans un autre hôpital (Vinatier, aux abords de Lyon), un chef de service stigmatise "l’augmentation du nombre des tarés, des dégénérés, en un mot des déchets sociaux, qui contribuent à la dégénérescence de la race et deviennent une lourde charge pour la collectivité".



Le cadre du roman de Pierre Durand est l'établissement de Clermont, à une soixantaine de kilomètres au nord de Paris. Il recevait à l’époque 5000 personnes. Le roman conte l'histoire d'un homme qui se retrouve à l'hôpital sans qu’on puisse savoir s’il est amnésique ou malade mental. Il nous entraîne dans une histoire où se mêlent Allemands, religieuses, résistants, gardiens, patients morts de froid et de misère. Le triste record des malades mentaux hospitalisés et morts est tenu par cet hôpital. Dans les années 1960, c'était le plus grand centre hospitalier psychiatrique d'Europe.

Heureusement, d'autres hôpitaux n'ont pas suivi, comme Saint Alban (Lozère), qui soignait les résistants et fut la premier à vouloir rendre la dignité et l'humanité à ses pensionnaires. Paul Eluard y fut soigné.

De Jappeloup et de Pierre Durand, je connaissais l’histoire grâce au film homonyme.



C’est au tour de la BD de se pencher sur ce duo de choc.



Une graphie très travaillée et toute en rondeurs, des cases très visuelles, un livre qui plaira aux enfants et ados fans de chevaux pour leur faire découvrir cette belle aventure.



Un carnet de fiches pédagogiques en fin de volume pour les néophytes comme moi.
Lien : http://alexmotamots.wordpres..

Ce livre raconte l'histoire de Pierre Durand un adolescent qui rêve derpuis toujours d'une médaille d'or en équitation. Il a participé a plusieurs concours hippiques où il s'est fait d'ailleurs remarqué; mais Pierre n'a pas encore trouvé la monture idéale. Il a dans la te^te qui lui faut plus qu'un cheval qui va sauter les obstacles, il lui faut un ami, un complice...

Un jour, alors qu'il continue à faire des concours toujours sans « un complices », on lui présente Emma, une jeune fille de son âge, qui élève un petit cheval noir. Ce petit cheval noir n'est autre que Jappeloup. Il est rebelle, imprévisible et n'a pas l'air du gaine de champion. Mais, quand Pierre l'essaie il trouve qu'il a une détente hors du commun qui lui permet de franchir les plus hauts obstacles avec une aisance incroyable...mais seulement quand il en a envie! Malgré le mauvais caractère de ce petit cheval noir, Pierre l'a adopté. Arriveront-ils à s'entendre comme deux complices? Pierre parviendra-t-il à monter sur la plus haute marche du podium olympique?



J'ai beaucoup aimé la lecture de ce roman. Enfin un livre où on ne décroche pas l'histoire. La lecture est passionnante et l'histoire est réellement arrivée. J'ai trouvé que les personnages sont très sympathiques et que Jappeloup a vraiment un fort caractère unique. On s'accroche très vite à l'histoire. L'écriture est soignée. En bref, ce roman à une place de choix dans ma bibliothèque.



Amélie 5è

Ayant vu le film plusieurs fois et l’ayant apprécié, j’ai décidé de lire le roman de Pierre Durand. Je suis une grande adepte de l’équitation, mais surtout des chevaux mais la compétition ne m’a jamais intéressée. J’avais envie d’avoir le ressenti de ce grand cavalier qui a ramené l’or à la France aux JO de 1992.

Ce récit autobiographique est très bien narré, particulièrement pour ceux s’y connaissant un minimum en équitation et cela m’a rappelé de nombreux bons souvenirs. La lecture est particulièrement agréable et l’opinion de Pierre Durand fondamentale puisqu’il s’agit de sa vie. En effet, le film (comme souvent) a une part importante de romance néfaste à cette belle histoire sportive.

J’ai aussi beaucoup apprécié en connaître un peu plus sur ce milieu de la compétition équestre de haut niveau qui ne m’est pas familier. Mais ce que je retiens le plus c’est cette belle relation entre Pierre Durand et Jappeloup, leur permettant de réaliser le rêve de beaucoup de cavaliers.

Exercice difficile pour moi de parler d'une BD, et encore plus d'une BD jeunesse.

Je l'ai cochée dans la sélection de Masse critique car, comme toute ancienne cavalière, je connaissais la fabuleuse histoire de Jappeloup et Pierre Durand. Ce petit cheval, qui a amené son cavalier au plus haut niveau, jusqu'aux jeux olympiques de Séoul en 1992. Quel beau couple ils formaient ces deux là ! Assez peu médiatisés finalement, malgré leurs performances et humbles dans leur succès, je les ai toujours admirés.



J'imagine que la sortie d'une BD sur le sujet fait directement écho à la sortie du film avec Guillaume Canet. Film que je n'ai d'ailleurs pas vu et que je ne regarderai pas pour diverses raisons. En revanche, l'idée de connaître l'histoire de Jappeloup sous un nouveau jour me tentait énormément.

Je suis un peu déçue par la tonalité très jeunesse de l'histoire. Je ne m'attendais pas à des dialogues très poussés ni très profonds, mais là c'est vraiment un peu limite. De plus, pour un livre sur le thème de l'équitation, le jargon utilisé est vraiment très vulgarisé, peu professionnel, et finalement, le milieu du cheval est représenté en surface, sans vraiment de détails. Bien que l'on retrouve, comme dans les romans de Walter Farley, des personnages prétentieux et ambitieux, qui sont prêts à tout pour évincer un rival potentiel, les figures censées être amicales ne sont vraiment pas attachantes. Il est certain que mon avis ici est celui d'une adulte, dont la passion pour les chevaux s'est étiolée au fil du temps. Peut-être que si je l'avais lu des années en arrière, j'aurais adoré.

Les dessins sont plutôt agréables à regarder, aérés, ne sont pas saturés de détails et les couleurs sont plutôt vives et dynamiques. De toute façon, je ne suis pas la mieux placer pour parler du côté artistique donc je laisserai le loisir à des yeux plus expérimentés d'en juger. Bien que ça ne l'ait pas fait du tout de mon côté, je reste convaincue que ce support pourrait convenir à de jeunes lecteurs, cavaliers en herbe, ou pas.



Je pense que je suis décidément trop vieille pour de telles lectures. Cette BD n'a malheureusement pas su raviver mes souvenirs d'enfance et toutes les heures que j'ai pu passer au centre équestre. En revanche, je pense qu'elle fera une heureuse, puisque je compte l'offrir à ma petite cousine, aussi fan des chevaux que je l'étais moi-même à son âge.

Je remercie Babelio et les éditions Jungle pour m'avoir envoyé cette bande dessinée qui retrace l'histoire de Pierre Durand et de son cheval Jappeloup. Leur histoire a été un peu réadaptée ici afin que le public à qui la BD est destinée (c'est-à-dire les enfants) s'y retrouvent plus. En effet, si mes calculs sont bons, Pierre Durand a acheté Jappeloup lorsqu'il était âgé de 26 ans. Hors, dans cette bande dessinée, le personnage de Pierre est très jeune, ce n'est encore qu'un enfant. On suit sa rencontre avec Jappeloup, avec qui il apprend à monter à cheval. Il devra se battre pour garder le cheval auprès de lui.



J'ai beaucoup aimé cette lecture, notamment grâce aux illustrations qui m'ont énormément plu. Si je ne suis pas complètement fan des dessins des personnages (Pierre, en particulier, me semble avoir une tête un peu... bizarre sur certaines planches), ceux des chevaux sont vraiment beaux. Jappeloup est très harmonieux (c'est important de le dire car, parfois, certaines BD sur les chevaux représentent ces derniers de façon étrange et éloignée de la réalité). Les couleurs sont également jolies. Les bonus à la fin sont aussi sympas, avec les fiches techniques (sur l'anatomie du cheval, le matériel etc) qui permettent d'instruire le lecteur.



Concernant l'histoire, je suis un peu plus mitigée. Il faut dire que j'ai lu et vu beaucoup d'oeuvres en tous genres que les chevaux, je suis donc plus difficile maintenant. L'histoire m'a semblé peu originale, avec la peste du poney-club qui essaie de faire échouer le nouveau prodige des écuries. C'est vu et revu. La fin également, sans vous spoiler, est très attendue. De plus, je n'ai pas trouvé que tout était très crédible : que Pierre devienne un si bon cavalier en si peu de temps, j'y crois moyennement. Cependant, je n'oublie pas qu'on s'adresse à des enfants et, plus jeune, ces aspects ne m'auraient probablement pas dérangée. Dans l'ensemble, cela reste une histoire agréable à lire !



En conclusion : Malgré quelques points négatifs, j'ai beaucoup aimé cette BD et je lirai volontiers la suite quand elle paraîtra.

Une BD empruntée à la bibliothèque puisque malheureusement, elle n'est plus éditée. Dommage parce que des BD jeunesse sur le thème des chevaux, il n'y en a pas tant, qui ne soit pas " humoristique" ou très girly.

Si j'en crois les critiques précédentes, l'histoire est très librement inspirée de la véritable histoire de Pierre Durand et Jappeloup, mais ne connaissant pas l'histoire réelle cela ne m'a pas dérangée. J'ai bien aimé la relation entre le petit Pierre et le cheval, que ce soit l'animal le premier déclencheur de cette envie de monter à cheval. Mais en tant que cavalière, le coté j'apprends à sauter à l'obstacle en quelques semaines alors que je suis un vrai novice me gêne un peu. Tout comme les dessins des personnages qui sont trop de fioriture.

Une lecture sympathique donc, mais qui ne m'aura pas autant marqué que le très bel album " Tempête au haras " adapté du livre de Chris Donner.

J'ai beaucoup aimé ce livre car il retrace l'histoire de Jappeloup et son cavalier Pierre Durand.

En ce qui me concerne ce livre réuni mes deux passion l'équitation et la lecture.

Une BD qui parle d'équitation. C'est Pierre, un jeune garçon qui trouve un cheval qu'il a envie de monter et qu'il nomme Jappeloup. Tous deux nouent une amitié très forte, qui entraînera une victoire lors d'une compétition.

J'ai adoré cette BD, et je n'ai qu'une envie: lire la suite!!

Le commentaire de Nathalie :

Une belle histoire entre Louis, qui est obsédé par le temps, et son ergothérapeute Adèle qui elle, aime rêvasser devant les statues.

Louis est interné après un scandale qu’il a causé dans un supermarché. Adèle doit réussir à créer un lien de confiance avec lui pour comprendre le trouble qui dort en lui. Pourquoi a-t-il cette manie de demander l’heure, que peut bien signifier 20 heures dans la vie de Louis ? Le seul moment où il devient plus mou, comme s'il attendait cette heure pour vivre. Malheureusement, ça ne dure jamais et le chaos revient dans sa vie. Quelque chose à déclencher cette phobie du temps et Adèle devra aider Louis à creuser très loin dans sa mémoire pour l’aider à comprendre et pouvoir reprendre une vie plus saine.

L’auteur nous transporte dans un milieu qui souvent peut nous faire peur, personne n’est vraiment à l’abri de ce qu’on pourrait appelle la folie ordinaire, celle qui pour beaucoup ne nuit pas toujours, mais peut déranger. C’est un peu le cas de Louis avec le temps, il aurait pu vivre avec ce désordre longtemps et ne pas faire la rencontre qui viendra illuminer sa vie, Adèle qui, avec l’aide du personnel de l’institut Sainte-Anne, a réussi à lui redonner le sourire. Elle aime son métier et le rend bien à ses patients.

La plume de l’auteur rend l’histoire réaliste, comme si tout se passait près de nous, on pourrait même croire que l’on connaît un Louis ou une Adèle. Et c’est ce qui rend la lecture si agréable.
Lien : https://lesmilleetunlivreslm..

Je précise que ce n'est pas mon commentaire, mais le Résumé de ce livre que j'ai rajouté.

La description faite sur Babélio par l'éditeur (ou pas) , n'est pas complète et peut induire en erreur, par rapport à l'intitulé et ou la photo de couverture .

(néanmoins, pour pouvoir laisser ce complément d'information , j'ai été obligée de "noter" sans l'avoir encore lu)



40 000 malades mentaux exterminés en France entre 1940 et 1945 : un crime contre l'humanité sur lequel en dépit des efforts courageux de quelques médecins, est tombé l'épais voile du silence de la honte. Ce « génocide des fous » est un sujet qui est longtemps resté tabou. Sans doute à cause du nombre et de l'importance des coupables et des complices, du régime de Vichy aux autorités médicales. Déjà, avant la guerre, en Allemagne, les nazis avaient assassiné des dizaines de milliers d'enfants déficients, de vieillards impotents, de « tarés » - y compris par le gaz -sous prétexte de sauvegarde d'une prétendue « pureté raciale »... Pierre Durand témoigne dans un récit sans complaisance, fondé en particulier sur une longue enquête à l'asile-mouroir de Clermont-de-l'Oise - le plus grand de France. La Résistance et la déportation ne sont pas absentes de ce livre au style dépouillé qui n'est pas sans rappeler les oeuvres de la littérature classique.

Thèmes abordés : Amitié, Chevaux, Témoignage, Jeux olympiques, Équitation.



Un énorme coup de cœur. Je me suis replongée dans l'univers du film que j'ai adoré. Pas de longueurs car ce livre va droit au but. J'ai beaucoup aimé la description des pensées et des sentiments de Jappeloup, cela nous permet de mieux comprendre la réaction de ce cheval. La plume de l'auteur est parfaite !

Tout d'abord, je pense qu'être équitante est un gros plus pour pouvoir apprécier ce livre comme il se doit.

Etant donné que je le suis, j'ai pu y déceler de nombreuses choses très intéressantes.

Le film présente bien les différents aspects de "l'aventure" Jappeloup, mais de nombreux éléments y sont changés, éléments d'ailleurs contestés par le cavalier à propos du film. D'où cette idée de sortir un roman, pour y écrire sa vérité.

Bien que l'auteur ne soit pas du tout écrivain de base, son écriture et son histoire ne m'ont pas fait lâcher le livre !

Pierre Durand nous invite à partager sa vie, de sa petite enfance totalement désintéressée des chevaux, jusqu'à l'heure actuelle. L'histoire de ce cavalier est évidemment passionnante : elle est centrée sur ce petit cheval exceptionnel mais bien réel, Jappeloup. Mais on en apprend beaucoup sur le milieu du haut-niveau également, dominé par l'argent.

Grâce à ce témoignage, on comprend que même les meilleurs ont des doutes, qu'ils ont finalement les même peurs que le commun des mortels, et que construire une relation totalement fusionnelle ne se fait pas en un jour.

Pierre Durand a réussi a écrire ce livre en prenant un recul considérable sur ses attitudes, ses erreurs et sa vie. La remise en question est perpétuelle.

Ce roman est une leçon d'équitation mais aussi d'humanité.
Lien : http://a-petits-pas-de-pages..

Très bel ouvrage sur le Cadre noir de Saumur.

Jappeloup est un témoignage de Pierre Durand.

Dans ce livre, l'auteur raconte son épopée extraordinaire avec le surnommé "petit cheval noir", sous le vrai nom de Jappeloup.



Du jour de sa naissance à la mort de son plus grand ami, Pierre Durand nous raconte tout de sa vie. Il nous plonge dans l'atmosphère des compétitions équestres et de la passion pour les chevaux.

Il nous raconte comment, en partant de très bas il a réussi à se faire connaitre du monde entier. Comment, en commençant par un concours insignifiant il a réussi a participer aux jeux olympiques. Comment son cheval Jappeloup, au physique ingrat et inapproprié pour le saut d'obstacle, a réussi à devenir une légende dans ce domaine.

Pierre, durant sa carrière avec son "petit cheval noir", aura connu des hauts comme des bas, les rivalités et les humiliations l'auront fait grandir pour devenir ce qu'il est maintenant.



J'ai vraiment aimé ce livre car comme dit plus haut, il nous plonge dans l'univers équestre, et étant passionnée par ce domaine, j'ai pu apprendre beaucoup de choses.

J'ai aussi apprécié de voir le changement de ce couple peu commun qu'est Pierre et Jappeloup, ensemble ils sont devenus plus forts et cela donne une bonne leçon de vie.

Je conseille ce livre à tous les gens qui, comme moi, sont passionnés par l'équitation mais aussi à ceux qui souhaitent découvrir une ascension peu commune.

Notre collaboratrice Françoise Dargent a écrit le roman vrai et poignant du champion Pierre Durand et de son cheval Jappeloup.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..

à prendre avec des pincettes; l'équitation évolue! mais un très beau témoignage :)

j'ai beaucoup aimé le fait qu'on voit les prises de conscience de pierre durand sur le bien être de son cheval. Maintenant, lorsqu'on est très attaché au bien être animal, on doit se souvenir qu'à l'époque on y faisait un peu moins attention.

ce livre se lit vite et bien, il est très bien écrit

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J'aime beaucoup car j'aime le cheval et je trouve ce témoignage très touchant et constructif