Les hommes dans l'Education nationale sont comme les coquelicots. Paraît qu'ils sont visibles, bien rouges et toxiques pour les yeux si on s'y frotte de trop prés et depuis un moment, on n'en trouve plus dans les champs. Ou alors regroupés par paquets dans une seule zone, au bord des nationales. Sans raison apparente ni logique.
La faute à la pollution.
Il y a quelques années, on pouvait en croiser encore. Des hommes, pas des coquelicots.