Nationalité : France
Né(e) à : Lyon , le 22/06/1922
Mort(e) à : Lyon , le 26/8/2015
Né(e) à : Lyon , le 22/06/1922
Mort(e) à : Lyon , le 26/8/2015
Biographie :
Raymond CHIRAT est un des plus grands historiens du cinéma Français.
Il suivit une formation de Comptable... mais sa passion était le cinéma.
Il réalisait des 'fiches' sur les très nombreux films qu'il allait voir, depuis les années 30.
Cinéphile, érudit et méticuleux, il a conçu, avec Maurice BESSY, une Histoire du cinéma français - Encyclopédie des films, en 7 tomes (1929-1934, 1935-1939, 1940-1950, 1951-1955, 1956-1960, 1961-1965 et 1966-1970) qui représente un travail d’archiviste remarquable, qui ignore volontairement les commentaires 'critiques' pour constituer un véritable catalogue des films Français.
Il a aussi écrit d'autres livres avec Olivier BARROT ( La vie culturelle dans la France occupée).
Il fut également 'Conseiller technique' à la programmation des CNP (Cinéma populaire du TNP).
Raymond CHIRAT fut responsable de la bibliothèque de l'Institut Lumière, à Lyon, qui porte aujourd'hui son nom.
+ Voir plusRaymond CHIRAT est un des plus grands historiens du cinéma Français.
Il suivit une formation de Comptable... mais sa passion était le cinéma.
Il réalisait des 'fiches' sur les très nombreux films qu'il allait voir, depuis les années 30.
Cinéphile, érudit et méticuleux, il a conçu, avec Maurice BESSY, une Histoire du cinéma français - Encyclopédie des films, en 7 tomes (1929-1934, 1935-1939, 1940-1950, 1951-1955, 1956-1960, 1961-1965 et 1966-1970) qui représente un travail d’archiviste remarquable, qui ignore volontairement les commentaires 'critiques' pour constituer un véritable catalogue des films Français.
Il a aussi écrit d'autres livres avec Olivier BARROT ( La vie culturelle dans la France occupée).
Il fut également 'Conseiller technique' à la programmation des CNP (Cinéma populaire du TNP).
Raymond CHIRAT fut responsable de la bibliothèque de l'Institut Lumière, à Lyon, qui porte aujourd'hui son nom.
Source : www.revues-de-cinema.net
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Le 12 janvier 2010, Raymond Chirat, historien du cinéma français, présente la projection du film "Premières armes" de René Wheeler.
Citations et extraits (5)
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Cependant, en 1941, Pathé ressuscite et Charles Trenet entonne La Romance de Paris dans le film éponyme de Jean Boyer. Nous les gosses (Louis Daquin) apologie de la solidarité par des enfants en lutte contre l'apathie des adultes, est mieux accueilli. D'autres sociétés émergent, mais la Continental déferle. Danielle Darrieux atteint le zénith avec Premier rendez-vous (Henri Decoin) et Caprices (Léo Joannon). Harry Baur, Pierre Fresnay, Edwige Feuillère retrouvent leur public. Les vedettes allemandes multiplient leurs passages à Paris. Les grands noms de la décennie précédente s'éclipsent. Renoir, Duvivier, Clair rallient Hollywood, Chenal fuit en Amérique du sud, Feyder s'abrite en Suisse, Ophüls gagne les Etats-Unis où Michelle Morgan et Dalio retrouvent Charles Boyer. Jean Gabin, Jean-Pierre Aumont, Claude Dauphin combattront pour la France libre. L'acteur Robert Lynen, entré dans la Résistance, sera arrêté et exécuté.
Le film type du Front Populaire est "La belle équipe" de Julien Duvivier.
Les préoccupations et les plaisirs de l'époque y sont brillamment énumérés :
le chômage, la situation précaire des réfugiés politiques, l'amitié qui scelle la solidarité aussi bien que la Loterie nationale, les dimanches au bord de l'eau, la poésie fugace des guirlandes, des canots et de l'accordéon.
On peut y voir la conclusion symbolique du mouvement de 1936 glissant de l'espérance à l'incertitude pour s'achever dans l'amertume et les menaces.
Les préoccupations et les plaisirs de l'époque y sont brillamment énumérés :
le chômage, la situation précaire des réfugiés politiques, l'amitié qui scelle la solidarité aussi bien que la Loterie nationale, les dimanches au bord de l'eau, la poésie fugace des guirlandes, des canots et de l'accordéon.
On peut y voir la conclusion symbolique du mouvement de 1936 glissant de l'espérance à l'incertitude pour s'achever dans l'amertume et les menaces.
Sous le couvert d'une modeste chronique de quelques faits ayant contribué à la chute de la monarchie, "La Marseillaise" de Jean Renoir apparaît tout à la fois comme une étape capitale dans l'art du cinéma français parlant, un film historique parmi les plus beaux jamais tournés, une réussite parfaite de la direction d'acteurs et une subtile leçon de mise en scène.
Dans ce métier, il y a beaucoup de gens qui croient avoir sucé la Tour Eiffel pour qu’elle devienne pointue.
(Paulette Dubost)
(Paulette Dubost)
On ne reste jeune qu’en oubliant qu’on ne l’est plus et en préférant ce qui arrive à ce qui s’en va.
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