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Critiques de Rébecca Edimo Di Giusto (43)
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Danser au rythme des saisons

Voici un roman qui incite le lecteur au voyage, un périple qui vaut aussi pour des rencontres riches de sens. L'auteure nous dépeint la société australienne et met en lumière la psychologie de ses différents personnages. Elle évoque les drames du passé et leurs influences sur le présent. Elle tente de démontrer que ce n'est pas le hasard qui guide nos pas, mais une succession de faits.

N'hésitez pas à le découvrir.
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Danser au rythme des saisons

Une femme se rend pour un an avec son mari en Australie. Elle ambitionne là-bas d'écrire. Elle rencontre très vite Françoise, une expatriée de longue date, qui va lui raconter l'histoire de sa vie, mais aussi sa façon de gérer le malheur et de continuer à avancer malgré les difficultés...



Il arrive qu'un auteur me contacte pour que je lise son livre et en parle. A l'ère des blogs et de l'auto-publication, souvent synonyme avec auto-promotion, la chose est courante. Le problème c'est qu'après plusieurs expériences déjà, j'ai pu constater qu'un auteur qui vous contacte directement n'apprécie pas franchement la critique quand elle est négative. Normal, l'égo en prend un coup alors qu'il faut apprendre à savoir qu'on ne fera jamais l'unanimité. (Par deux fois seulement sur une dizaine d'expériences ai-je eu un retour courtois et compréhensif de l'auteur quand je n'avais pas aimé.)

Cette introduction pour vous dire que j'ai bien peur de devoir malheureusement et une nouvelle fois m'aventurer sur cette voie, où il va peut-être falloir que je me prenne des insultes dans la tronche parce que je n'aurai pas répondu aux attentes escomptées... Ceci est plus un partage d'expérience général qu'en particulier pour cet ouvrage-ci, mais voici bien la réalité des choses qui se passent en coulisses quand un échange de ce type se produit. Mais voilà, confier son livre à un inconnu hors du cadre familial et amical sûrement enthousiaste, c'est prendre le risque d'être confronté à autre chose qu'une critique encourageante voire élogieuse. A partir du moment où on publie, il faut s'attendre à recevoir de tout.

Le contexte étant clair, je dois tout de suite commencer par dire (et avec une intro pareille vous avez certainement compris le fond de mon avis) que j'ai détesté.

Outre les innombrables, sempiternelles et fatigantes fautes d'orthographe, de français, de ponctuation, de conjugaison (j'essaie encore de me remettre d'un "Nous furent soudées"), ainsi que les incalculables oublis de mots, l'abus singulier du point d'exclamation, l'utilisation très floue des italiques et les citations sans référence souvent inévitables quand on publie à compte d'auteur ou à compte d'éditeur qui n'offre pas l'option correction, même moyennant finances (ce qui est le cas chez Spinelle et ce qui est complètement aberrant), nous avons affaire à un récit qui n'a strictement rien à voir avec le pitch que j'avais compris avant lecture qui consite à dire que c'est le récit d'une femme qui s'expatrie par amour et subit joies et peines en retour.

Oui, mais non. Pas du tout. Car la femme qu'on croit être l'expatriée qui raconte sa vie n'est en fait pas du tout au centre de l'histoire, il est en fait question d'une autre. Et déjà on trouve un décalage avec le synospis car on vient lire l'histoire de quelqu'un alors qu'on nous sert celle d'une autre.

C'est là un roman difficilement classable dans un genre pré-défini, qui se veut inspirant et épanouissant, touchant plus ou moins au développement personnel, sur fond léger de voyages et expériences à l'étranger brièvement narrés alors que ça devrait constituer presque le coeur d'un récit d'expatriation, mais qui est surtout extrêmement déprimant de par la succession incessante de malheurs qui arrivent au personnage principal de Françoise l'expatriée, qui en réalité s'étale plus sur ses malheurs de vie que sur le principe même d'une expatriation. Tant de malheurs qu'honnêtement ça perd en crédibilité, cette pauvre femme ayant perdu un enfant, subi un divorce, vécu le suicide de son deuxième mari, élevé un enfant autiste, perdu sa mère d'un cancer moins d'un an après son mari et étant diagnostiquée du même mal moins d'un an encore après, été fuie par ses enfants et ayant sombré dans la dépression (euhh normal après tout ça). Tout le monde ou presque meurt dans ce livre et ça n'a rien de jouissif ni vraiment d'inspirant.

Ce livre n'a rien à voir avec l'arrivée dans un nouveau pays d'une immigrante qui suit son mari, avec les défis et challenges inhérents, les questions et problématiques qu'un tel changement de vie peut générer. Même si l'auteur aborde cette question en parlant de son passage du Cameroun à la France (ce qui souève un autre point étrange, troublant voire dérangeant puisque ce livre est écrit à la première personne du singulier et semble beaucoup intégrer l'expérience personnelle de l'auteur au point de frôler l'autobiographie alors qu'il est bien inscrit "roman" sur la couverture), ce n'est que trop brièvement. Ce livre est plutôt la narration d'une expéreince de vie, de plusieurs vies même puisqu'à chaque fois qu'on rencontre un nouveau personnage on a droit à sa genèse complète, à tous les mariages, tous les divorces et toutes les fausses couches, bref à tous les tourments habituels auxquels tout un chacun doit faire face à un moment ou à un autre dans la vie. En gros, la vie de tout le monde, version Drames ++, et moi je n'étais clairement pas venue pour ça. Et moi, je ne lis généralement pas ce genre de chose.

Le tout est saupoudré de quelques vérités bien vraies mais surtout de beaucoup d'idées préconsues, de généralisations à l'évidence toute personnelles (dont certaines sont inutiles, d'autres dignes d'un guide touristique), et c'est à cause de cet aspect-là que j'ai surtout commencé à m'énerver et à ne plus supporter ce livre.

Le moment révélateur a été, passée la moitié de l'ouvrage, quand Françoise, par la voix de l'auteur bien entendu, sous-entend que toute la jeunesse australienne n'est bonne qu'à se droguer, se soûler et à jouer aux jeux vidéos débiles, que les filles ne savent que s'habiller en mini-jupes ras la foufoune et à se teindre les cheveux en rose fluo, ce qui est, je cite, "amoral et immoral. C'est une génération sans repères qui se réfugie dans l'alcoolisme, la toxicomanie, la sexualité, qui fuira ses responsabilités toute sa vie !". Non mais sérieusement ??? L'auteur met ouvertement tout un groupe dans un même panier et sans aucune distinction, prenant soin en même temps de gratifier le mode d'éducation à la française avec la fille du personnage bien éduquée, bien habillée, qui ne regarde jamais la télé et ne se frotte qu'aux gens intelligents (genre). Comme si se teindre les cheveux était gage d'alcoolisme ou de bêtise. Comme si mettre une jupe signifait automatiquement qu'on est une prostipute (ce choix est certes discutable, mais chacun a ses raisons de porter des trucs pareils). Faut-il également rappeler que ce qui peut donner l'idée qu'une femme est une prostituée est seulement le regard des autres et surtout celui des hommes dans une société encore patriarcale avec des mouvements bien chroniques d'une France encore bien religieuse ?? D'ailleurs en tant qu'expatriée dans un pays anglo-saxon même fortement protestant et sans être le genre de coconne qui s'habille juste pour attirer les mecs, je peux vous dire qu'il n'y a que chez moi que je me sens à l'aise de porter des robes et des jupes, vu qu'en France faut même pas imaginer porter ce type de vêtement dans les rues de Paris sous peine de se faire harceler ou taxer de -- je vous donne dans le mille -- pute. Et ce sentiment doit certainement être aussi le cas en Australie, pays où il fait aussi chaud qu'en Californie où mettre un short court n'est pas gage d'imbécilité ou d'errance sociale.

Un passage en somme ahurissant qui en annonce en fait d'autres. Car c'est après que je me suis rendu compte d'autres grosses bêtises, grosses lourdeurs et gros jugements à la va-vite du même genre.

Du style de ce couple qui avait décidé de ne pas avoir d'enfant mais qui lors d'une grossesse imprévue se réjouit. Non désolée, ça c'est la vision de gens qui ne comprennent pas ceux qui ne désirent pas enfanter. Parce que quand on décide de ne pas avoir d'enfant, tomber enceinte ne "plonge pas [ton] couple dans la félicité" !!! Interrogez les gens qui ont pris cette décision : un tel évènement pourrait être vécu comme un drame.

Ou encore cette description des Australiens en général qui sont tous alcooliques, qui se réfugient tous dans l'alcool, comme si c'était presque un passage obligé. Un article du Courrier Australien du 21 mars 2018 dit par exemple qu' "Une étude importante réalisée par la Foundation of Alcool Research and Education (FARE) a révélé que 82% des Australiens consomment de l’alcool, contre 77% l’année dernière. Cela ne signifie pas pour autant que les Australiens boivent de manière excessive. En effet, cette étude montre que la consommation d’alcool s’effectue de plus en plus avec modération. [...] La FARE a constaté que parmi les consommateurs d’alcool, 76% ont déclaré qu’ils ne buvaient pas plus de deux jours par semaine contre 6% de buveurs quotidiens. " Et quand on compare les chiffres de consommation entre la France et l'Australie, bah on obtient les mêmes chiffres de 12L par an et par personne, sans oublier que dans chacun des deux pays la tendance est à la baisse. Non mais franchement...

Et enfin dernier point très énervant : la spiritualité. Très peu abordée mais l'auteur dit assez explicitement que la religion a une part importante dans la guérison et que Dieu est et que la question ne se pose même pas. C'est tout simplement pénible pour les gens qui ne croient pas.

Alors voilà, à force de n'être pas d'accord avec l'auteur ou le déroulement du récit, à force de dialogues pas du tout crédibles avec des passés simples mal placés, à force de situations un peu trop faciles comme l'infirmière qui devient l'amie ou l'état de l'enfant autiste qui s'améliore à vitesse grand V, à force d'un récit quatre fois trop long qui ne suit même pas vraiment la structure imposée des quatre saisons et donc d'un titre faux, et à force de fautes douloureuses pour les yeux, j'ai juste détesté tout en étant presque constamment énervée. Et c'est mon avis.
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Demain aussi, le soleil brillera...

‘Il n’y a pas qu’un jour, demain aussi le soleil brillera.’



Rebecca Édimo nous fait partager dans ce récit de voyage, ses joies, ses surprises, mais aussi ses déceptions et mésaventures. Partir ailleurs pour se sentir libre, rompre avec la monotonie du quotidien, s’émerveiller sous d’autres cieux, ce n’est pas toujours de tout repos. Mais comme on dit au Kenya : « Akuna Matata ! »



Là-bas les gens ont une autre philosophie de vie. À la pauvreté, ils répondent par la solidarité, l’esprit de communauté, la débrouillardise, même si cela doit passer par l’arnaque vis-à-vis de l’étranger qui détient la richesse. L'homme blanc; "mzungu", est toujours vu comme le sorcier, l'exploiteur.

Dans cette Afrique « joyeusement triste », Rebecca et son mari apprennent à relativiser leurs ennuis, grâce au positivisme des Kenyans.



Au Costa Rica, c’est aussi une autre leçon de vie : « Tranquilo, tranquilo ! »



Pourquoi partir à l’aventure en quittant son quotidien, son confort et sa sécurité ?

Peut-être pour aller voir ce qui se passe ailleurs. Faire des rencontres, partager, échanger, s’enrichir de la différence de l’autre, faire tomber les préjugés, se découvrir autrement, à travers des regards différents. Fuir l’individualisme de l’Européen, la pression au travail, la société de consommation.



‘Si la vie n’est qu’une vaste scène de théâtre, mieux vaut y jouer un beau rôle’ !

Et pourquoi ne pas jouer ce rôle aujourd’hui, avant de se laisser engloutir par la routine, la fatigue et la lassitude. Oser vivre sa vie et ne pas se contenter de la rêver.

Rebecca et son mari ont la chance de partager les mêmes rêves de liberté et ce goût de la découverte. C’est ce qui fait leur force. Ils ont tous les deux un esprit ouvert et sont prêts à se confronter à une autre façon de vivre.



« Vivre, ce n’est pas attendre que la tempête passe, c’est apprendre à danser sous la pluie. »

Et c’est ce qu’ils font. Ils apprennent la vie en regardant vivre des hommes qui n’ont pas la même chance qu’eux, mais qui pourtant, savent leur donner des leçons de vie. Leur richesse est ailleurs.

Ils ressortent de ces aventures plus forts, plus confiants, plus justes, plus équilibrés, plus sereins.



Partir c’est aussi le bonheur de revenir et d’apprécier d’autant plus son quotidien.



À la lecture des premières pages, je n’étais pas très emballée. Je ne me sentais pas concernée par les détails de la vie aventureuse de l’auteure. Puis, la magie a opéré. Car il ne s’agit pas seulement d’un carnet de voyage. C’est aussi comprendre les problèmes de nos sociétés, le mal être des immigrés en mal de racines, les conséquences de l’exploitation des pays pauvres, le racisme. J'ai aimé la sensibilité de l'auteure, sa générosité, son humilité et son courage. Il ne manquait plus que des photos pour illustrer ces voyages à travers le monde.



« Il n’y a qu’une conclusion à tirer : il n’y a point de supériorité de race, mais de la variété. L’uniformité aurait été si ennuyeuse »

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Demain aussi, le soleil brillera...

"A travers ces expatriations, j’ai choisi de prendre le meilleur de chaque culture tout en conservant le positif de ma culture d’origine. Voyager signifie alors changer de paysages, de visages, de climat. Occasion de rafraîchir l’esprit autant que le moral. Partir pour le plaisir et non pour revenir avec des trophées à cent sous ou des comparaisons chauvines. Trouver de la satisfaction d’être là, emporté par de nouveaux us et coutumes, de nouvelles sphères qui laisseront une trace indélébile dans ma mémoire."

Ainsi finit le livre de Rebecca, que j'ai beaucoup aimé. A conseiller à tous les voyageurs, qui ne suivent pas les itinéraires des guides touristiques à la lettre, qui cherchent à connaître les pays et les gens en profondeur, pour mieux appréhender leur histoire, leurs bonheurs et les maux de leur société. Ce livre ne magnifie rien, il intègre des moments d'histoire douloureuse, tout en nous rappelant combien la nature qui nous entoure est merveilleuse. Et combien il nous reste encore à découvrir...
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Demain aussi, le soleil brillera...

Aventurière et passionnée de voyages, l'auteur conte le récit de ses aventures avec son mari. Ce livre est un carnet de voyage mais pas que...

On y découvre trois parties dont une largement développée sur le Kenya. On découvre tout à tour les pays dans leur faune, flore, les traditions et les différences auxquelles se heurtent Patrikc et rebecca dits "dik-dik". L'auteur est très attachante car elle montre une faculté d'adaptation formidable mais aussi une philosophie de vie très sage. Et c'est cela qui m'a certainement agréablement surprise : Ce partage de culture pourtant différente, l'aide aux autres et un mode de vie où vivre est avant tout l'essence même de la vie. C'est une véritable leçon de sagesse qui donne toute la force à ce récit. Alors merci à l'auteur pour ce doux partage.
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Danser au rythme des saisons

Je tiens à remercier Rebecca Edimo Di Giusto pour ce service presse. Et je lui souhaite bonne chance pour le réussite de son premier roman.

En ce qui me concerne, ma lecture a rencontré certains problèmes. Je n'arrive pas à me les sortir de la tête et ma note s'en ressent.

Tout d'abord j'ai eu cette impression que le synopsis ne correspondait pas au roman. J'ai cru que j'allais lire la rencontre entre deux femmes expatriées en Australie et que j'allais découvrir ce beau pays. Mais il y a un petit soucis de connexion.

Nous avons Rebecca qui part vivre un an en Australie et va rencontrer Françoise. Cette dernière va lui confier une sorte de malédiction qui touche 4 générations de femmes. Cette partie là est pour moi le point fort du roman sachant qu'il est construit maladroitement. J'attendais un lien logique entre ces deux femmes. Que s'apporte t'elle concrètement? Pour moi Françoise était juste là pour raconter son histoire et permettre à Rebecca d'en faire un livre. Pour moi, l'auteure a très mal introduit cette histoire et on ne comprend pas l'intérêt du personnage de Rebecca. Qu'apporte t'elle réellement à part juste qu'elle est la narratrice sachant qu'elle fait des interventions qui m'ont dérangée.

J'ai trouvé un manque de fluidité, beaucoup de disgressions, des éléments qui n'apportent rien, beaucoup de description qui alourdissent la lecture.

J'aurais pu être plus clémente pour un premier roman mais j'ai malheureusement un gros coup de gueule. J'en ressors choquée de l'image que donne l'auteure des australiens. Je cherche encore à quel moment elle donne juste une image positive du pays qui accueille son héroïne pendant un an. J'ai eu au final l'impression de lire une rencontre entre deux femmes expatriées qui passent leur temps à critiquer et se sentir au dessus des australiens. Perception erronée? J'en sais rien. Mais je me suis sentie mal à l'aise avec cette lecture. C'est malheureusement ce qui se dégage au premier abord. Et je reste sur mes positions. Un peu plus de subtilités auraient été plus juste pour ne pas froisser le public. Je viens d'une Ile et je l'ai très mal pris que l'auteure insiste sur ces clichés ou images négatives.

Je trouve dommage que l'auteure ne se soit pas focalisée sur l'histoire de Françoise et seulement elle. Quitte à faite un tout petit lien avec Rebecca et les répercussions de cette magnifique rencontre. IL y avait des messages dans son romans qui passent en second plan après mon ressenti négatif : deuil, dépression, les erreurs du passé qui se répètent, la vie de couple….

Pour moi ce roman peut faire polémique et je ne souhaite pas à l'auteure qu'elle tombe sur un lecteur australien ou originaire.

Désolée pour cette critique négative.
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Danser au rythme des saisons

Quand un(e) auteur(e) me contacte pour découvrir son roman (ou autre) je précise toujours que je le fais en toute honnêteté. Il (ou elle) accepte ou pas. Une lecture est très personnelle : à la fois par notre univers, par ce que l'on recherche et attend de celle-ci, mais aussi par notre passé de lectrice. 



Je ne remets pas en cause l'auteur(e) mais simplement mon avis sur cette lecture. Je ne suis pas critique littéraire, je suis lectrice, passionnée certes, mais mon avis ne donne que mon ressenti, mes émotions et remarques.



Pour cette lecture, j'ai très vite eu confirmation que je m'engageai dans un récit qui allait être compliqué pour moi. Je m'explique. 



L'auteure commence par nous raconter comment elle a été amenée à s'installer en Australie, sa rencontre avec Françoise qui tient des chambres d'hôtes et qui va très vite devenir son amie et lui confier le récit de sa vie qui tourne autour d'un secret.



L'idée de départ peut être intéressante mais l'écriture est foisonnante, il y a des répétitions, les phrases sont parfois assez alambiquées et surtout Rebecca Di Giusto veut aborder trop de sujets dans son roman : histoire familiale mais aussi ses sensations sur les pays, ses descriptifs, ses remarques sur les habitudes locales etc... et puis des remarques sur la psychanalyse, la religion, des descriptions de lieux ressemblant à des guides touristiques, des événements de sa propre vie, et le récit de Françoise qui s'éternise sans compter les introductions sur le propre séjour de la narratrice (l'auteure). 



Elle s'attache aux situations financières de ses personnages, en faisant un élément prédominant pour leurs vies .... détaille leurs physiques,   leurs habitudes . Et puis que de personnages .... et comme elle retrace la généalogie de chacun et chacune, on se perd, on a beaucoup de mal à s'y retrouver.



Je ne m'attarderais pas sur les fautes de français et d'orthographe, je comprends qu'en étant auto-édité on n’a pas forcément un correcteur, un conseiller mais l'écriture et la construction du récit (en quatre saisons) m'ont perdue. Je ne me suis pas attachée aux personnages, je ne ressentais aucune émotion, je les perdais parfois en route, je n'avais que peu d'intérêt pour l'histoire car à force de détails sur les boissons, les intérieurs de maison, la nature etc.... je perdais parfois le fil du récit.



Et puis l'auteure mêle au récit ses propres idées avec des prises de position assez fortes (même parfois, si on ne le ressentait pas assez les mots sont en caractères gras) et je dois avouer que cela m'a perturbée. 



Je pense, mais ce n'est que mon humble avis, que l'auteure devrait déjà définir plus précisément les contours de ce qu'elle veut écrire : un roman, un guide spirituel  ou un guide touristique, alléger son écriture, l'épurer.



J'ai trouvé ma lecture assez laborieuse et lorsque j'ai découvert "le secret familial" je me suis dit .... Tout cela pour ça. Je ne m'étendrais pas plus, je n'aime pas avoir un avis si négatif mais ce n'est que mon avis.
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Demain aussi, le soleil brillera...

Qui dit Kenya pense safaris photos, parc de Massaï Mara, danses guerrières, "lodges" de luxe et plages de Mombassa. Ne cherchez rien de tout cela (ou à peine) dans le récit de Rébecca Edimo Di Giusto, vous n’y trouverez même pas la moindre mention du Kilimandjaro mais une narration tendre et amusée de la vie d’un couple d’expatriés qui s’immerge peu a peu dans une culture déroutante où ils apparaissent comme des nababs, victimes désignées des « arnaqueur professionnels ». Ecrit avec beaucoup de fraîcheur et de tendresse, elle décrit avec humour et finesse la vie quotidienne, la débrouille du petit peuple face aux « riches » étrangers, les combines louches, les cars « kamikaze », les bébés infestés par le SIDA, ceux qu’on jette aux lions et ceux qu’on appelle Barak Obama, les enfants des rues, encore plus avides de conversations que d’aumônes, et la vie d’un couple mixte de classe moyenne, qui a simplement décidé de se réaliser autrement, au sein d’une véritable ferme (vaches, brebis, volailles et chiens – un peu meurtriers, les chiens). Un bain de fraîcheur, de joie de vivre et d’empathie. A lire pour les amoureux du Kenya, mais aussi pour prendre une tonique leçon de vie.

Je regrette un peu que le livre ne se soit pas borné à cette vision du Kenya. Le jeune couple voyagera aussi en Afrique, en Asie et au Costa Rica. Croquis toujours intéressants et instructifs, surtout pour le Costa Rica, assez fouillé, mais il en résulte un certain manque d’unité de ces « carnets de voyage », un peu étouffés par cette longue première partie kenyane.

Ce petit livre a été pour moi un vrai plaisir de lecture et je remercie l’auteure de me l’avoir fait connaître.

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Demain aussi, le soleil brillera...

Tout n'est jamais rose dans la vie, à plus forte raison lorsque l'on veut radicalement en changer. Rebecca et son mari en on fait l'expérience. Ils ont tout quitté en France pour s'expatrier au Kenya, où ils se sont installés. Rébecca nous raconte leur mode de vie, et nous restitue ses impressions sur ce pays envoûtant avec beaucoup de justesse. Mais au bout d'un certain temps il a fallu rentrer, se remettre au travail, trouver les moyens d'aller encore voir ailleurs. Ils y sont parvenus, grâce aussi à l'aide de nombreux amis fidèles.

Elle évoque leurs voyages, tout en nous donnant son avis sur sa manière de voir les choses, et pour quelles raisons, selon elle, chacun peut en faire autant, s'il le désire ! ?

Je reste sur ma faim en ce qui concerne la deuxième partie du livre, et j'émets des réserves au sujet de l'éditeur, l'exemplaire du livre que ma libraire m'a sans aucune difficulté obtenu étant parsemé de nombreuses "coquilles"... j'ai envie de lui dire : à relire ! Mais il paraît que c'est fait. Je n'ai pas eu de chance !

Amis lecteurs, si cela vous intéresse c'est le moment de commander l'édition corrigée !
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Demain aussi, le soleil brillera...

Quand j'ai commencé à lire ce récit j'ai éprouvé la même impression qu'en découvrant les «Souvenirs d'enfance» de Pagnol dans le sens où l'auteure, par ses descriptions des décors et ses personnages typiques, nous plonge réellement dans l'ambiance en donnant l'envie «d'y aller» nous aussi.

Après l'émerveillement de la découverte de pays à «l'autre bout du monde» l'auteure dévoile la face réaliste du quotidien de peuples qui ont d'autres valeurs et d'autres besoins que nous... Un autre monde. Qu'il est difficile de s'intégrer ! On s'adapte rapidement, certes, mais pour s'intégrer, que la route est longue....!

En tous cas, ce livre se lit comme un roman et permet de découvrir sous plusieurs aspects des lieux qu'on ne voit souvent qu'à travers le viseur de l'actualité et les photos de magazines.

A lire, qu'on soit aventurier par la lecture ou par le voyage !

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Demain aussi, le soleil brillera...

Beaucoup en rêvent, certains le font ; partir ailleurs, s’expatrier ... Rébecca et son mari l’ont fait. Dans ce récit Rébecca Edimo di Giusto nous raconte les multiples anecdotes et les nombreuses rencontres qu’elle a vécues au Kenya puis au Costa Rica. Avec une certaine innocence elle nous dit son bonheur de découvrir d’autres cultures et d’autres coutumes, des paysages, et de nouveaux amis aussi. On s’émerveille avec elle, qui tempère un peu lorsqu’elle évoque « L’arnaqueur professionnel » qu’elle rencontre au Kenya, mais que l’on trouve partout dans le monde. D’autres petits séjours d’agrément émaillent le texte, qui me font penser que Rébecca pourrait écrire dans ces guides touristiques qui nous donnent envie de partir, pour découvrir des « Ailleurs » et pour mieux revenir, car comme elle l’écrit si bien : « ... le fait de partir vers d’autres horizons, de briser la monotonie permet aussi de ne pas banaliser la stabilité et le bien-être qu’offre la vie dans nos pays... ». Voici donc, un charmant témoignage de vie qui se lit facilement.
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Danser au rythme des saisons

Rebecca et Patrick partent vivre un an en Australie. Rebecca y rencontre Françoise qui lui raconte l'histoire de sa famille.

Un livre très touchant qui pose les bonnes questions sur le sens de la vie et sur le destin. Le tout entrecoupé de superbes descriptions de l'Australie. En le lisant, je me suis sentie complètement en symbiose avec l'auteur. Un livre poignant et très beau.

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Danser au rythme des saisons

Un grand merci à Rebecca DI GIUSTO pour l'envoi de ce roman.



Au moment de donner mon avis sur ce roman, me voilà bien embêtée. Je ne sais pas par où commencer, ni comment. Autant le dire tout de suite : je n'ai pas été convaincue par ce livre : ni par l'histoire, ni par l'écriture.

Et pourtant, le résumé vague de l'auteure m'avait donné envie de le découvrir. J'avais l'impression que le roman serait une belle épopée de vie, pleine de sagesse et de petits bonheurs. J'aimai l'idée que notre vie suive les saisons. Mais, au fur et à mesure de ma lecture, j'ai trouvé que bien que l'idée des saisons soit bien présente, elle ne suit pas réellement l'image des saisons que je peux avoir personnellement.

Françoise est une femme intéressante mais j'ai eu du mal à la suivre. J'avais l'impression de sans cesse sauter du coq à l'âne. Du coup, je ne savais jamais vraiment où j'en étais, ni même qui parlait par moment (la narratrice Rebecca et Françoise se partagent l'histoire). Du coup, j'étais confuse et perdue et n'ai donc pas pu apprécier pleinement l'histoire.

De même, j'ai trouvé l'histoire de Françoise particulièrement sombre : dedans, je n'y ai pas trouvé les petits bonheurs ou la sagesse que je cherchais en me lançant dans cette lecture. J'ai trouvé certains passages particulièrement négatifs voir généralistes, ce qui m'a beaucoup dérangée.

Au final, une fois le livre refermé, je ne saurais dire quel est son but ni même vraiment quel est le fond de l'histoire.



Françoise et Rebecca sont plutôt sympathiques mais finalement rien ne m'a permis de m'identifier à elles deux. Bien que l'on traverse la vie de Françoise, je ne pourrait dire qui elle est réellement : elle est abordée de manière assez superficielle. Quand à Rebecca, je n'ai pas compris ce qu'elle pouvait apporter au livre : elle n'est pas présente si ce n'est pour justifier que Françoise nous raconte son histoire.



C'était la première fois que je lisais un roman de Rebecca DI GIUSTO et malheureusement, je n'ai pas réussi à entrer dans son univers. J'ai eu du mal à me plonger dans son écriture très "ornée" et "compliquée", avec ses nombreux détours, ses digressions et ses longueurs. Je préfère les choses simples et plus directes.

Cependant, je sais que derrière ce livre se cache beaucoup de travail. Personnellement, je n'y ai pas trouvé ce qui me rend une lecture plaisante mais je ne doute pas que beaucoup apprécieront Danser au fil des saisons à sa juste valeur.
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
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Danser au rythme des saisons

Le « métier de chroniqueur » n’est pas toujours facile et ce retour de lecture est l’exemple que l’on n’aime pas rencontrer souvent. Je suis dans un cas très délicat : un auteur me contacte pour me proposer son roman et au terme de quelques chapitres, je n’accroche pas du tout. Ici il n’est pas question de gouts personnels car le résumé me parlait pourtant bien. Une histoire familiale à l’autre bout du monde, avec son lot d’aléas. Mélange de biographie et de fiction, c’est parti.



Seulement voila, 47% du roman lu : j’ai insisté mais j’arrête ici, ma lecture n’est pas agréable du tout.



La plume de l’auteur est en partie responsable et je ne vais pas passer par 4 chemins : je suis face à une personne qui raconte sa vie et qui voudrait trop en dire, qui parle, qui parle.. et moi j’emmagasine les nombreuses informations. Beaucoup d’énumérations, de répétitions, de descriptions et des arbres généalogiques à faire pâlir un historien. A chaque branche de cousins/amis, nous retrouvons la même densité d’informations, le même schéma d’énumérations et de nouveaux membres dans la famille qui posent à leur tour leur curriculum vitae bien fourni.



Pas le temps de trop s’attacher aux personnages tellement il y en a. A la moitié du roman, je ne sais toujours pas ou l’auteur à voulu en venir, juste que ces gens ont tous eu une vie à problèmes, pas ou très peu dialogues qui pourtant amèneraient un peu de rythme ; j’avoue j’en ai assez de l’écouter parler..



Souvent, cela part un peu dans tous les sens, pour aller nulle part ; le surplus d’informations rend le texte trop dense et irrespirable, c’est rempli de lourdeurs, sincèrement, trop c’est trop.



« Danser au rythme des saisons » est pourtant un roman « édité » par une maison d’édition.. : on pourrait se dire qu’il ‘vaut’ puisque que normalement un comité de lecture a lu le manuscrit et a décidé de l’éditer pour ses qualités.. Or, j’ose affirmer qu’une maison digne de ce nom, ne doit pas seulement recevoir et imprimer un manuscrit. Il me semble qu’un travail en amont est impératif pour jauger de la qualité littéraire des écrits, des incohérences, des fautes aussi.. Pour le coup, j’ai de gros doutes sur cette partie de travail fournie car vraiment, qui peut prendre du plaisir à lire un tel texte ?



Ce roman qui a un sujet d’histoire intéressant, nécessite selon moi, un gros travail de refonte, d’allègement, de restructuration, pour en former quelque-chose de plus abordable, léger ; tout en gardant le fil conducteur et l’histoire souhaitée par l’auteur bien sûr.



Merci tout de même à Rebecca Di Giusto de m’avoir soumis son roman numérique et au vue des autres critiques que je découvre, a pris le risque de confier son roman sans les corrections suggérées par les précédentes lectrices.



Ce n’est pas une critique négative, c’est une réalité suite à cette lecture avortée. Je suis navrée. Non en fait pas du tout.
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Danser au rythme des saisons

Voici un roman que j'ai particulièrement apprécié.



J'ai trouvé les personnages très bien décrits. Ils ont des caractères assez forts et donnent beaucoup d'intérêt à l'histoire. Pour moi, ils jouent tous un grand rôle dans le récit et c'est vraiment bien. J'ai adoré Françoise qui est une personne d'un courage exemplaire. Elle est forte, intègre et intelligente. C'est une héroïne à laquelle je me suis beaucoup attachée. Elle est très touchante quand elle parle des événements qui ont composé sa vie. Elle a vécu des choses si difficiles mais est toujours parvenue à se relever et à avancer. C'est un trait de caractère que j'ai beaucoup aimé.



L'histoire est très prenante car elle aborde énormément de sujets. Qu'ils soient joyeux ou tristes, ils sont amenés avec beaucoup de sensibilité dans le récit. Tout se suit bien et j'ai pris plaisir à découvrir les aventures de Françoise et ses proches. Je suis entrée dans un univers chargé d'émotions et j'ai vécu au rythme de la vie de l'héroïne pendant quelques jours. Ce fut très agréable et je suis même un peu nostalgique de cette lecture. Ce qui est chouette également c'est que j'ai voyagé en lisant. J'y ai découvert pas mal de beaux endroits.



Pour l'écriture de l'auteur, elle est géniale car cela se lit très bien. Il n'y a pas de longues descriptions, chose que j'apprécie particulièrement, et il y a un bon rythme de lecture qui s'installe dès le début du livre.
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Demain aussi, le soleil brillera...

Un petit tour du monde sur plusieurs années, avec des escales plus ou moins longues au Kenya, en Australie, Aux Etats-Unis, au Costa Rica (liste non-exhaustive) qui nous est raconté, au fil d'anecdotes du quotidien, par une jeune Française d'origine camerounaise. Dans ses carnets de voyage, elle raconte, sans fioritures de style, son vécu, ses proches, son bonheur d'une vie autre, loin de la réalité routinière des Français "impatriés" contraints au fameux métro-boulot-dodo.
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Demain aussi, le soleil brillera...

Un cours d'eau vagabondant de pays en pays et entraînant dans ses eaux fraîches toutes les découvertes pittoresques de l'auteur... En refermant ce livre, j'ai ressenti une sensation de merveilleux bien-être.



Rébecca Edimo Di Giusto, par ce beau récit, nous emmène au fil des pages dans des contrées très différentes. Et pourtant, elle tombe amoureuse de chacune d'elle. A ses côté, on part en voyage au Kenya, en Afrique du Sud, à la découverte du parc de Versailles, ou encore au Costa Rica et au Panama.



Chaque page est un rayon de soleil. L'idéal est de lire ce livre en complément des guides touristiques, en préparation à un voyage ou tout simplement pour rêver à d'autres horizons.
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Demain aussi, le soleil brillera...

Les carnets de voyages ne sont pas parmi mes lectures de prédilection d'habitude, mais de temps en temps, il faut savoir bousculer sa routine. Et quoi de mieux qu'un carnet de voyage pour cela. Voyager, c'est précisément briser sa routine en mille morceaux, et emporter le lecteur dans cette turbulence dès lors qu'on choisit de narrer son expérience.

C'est ce qu'a fait Rebecca Edimo Di Giusto, quittant Paris pour le Kenya. Pas en touriste seulement, non. C'est une vie que l'auteure et son compagnon ont souhaité recréer là-bas, en élevant quelques animaux, puis plus tard, en créant des chambres d'hôtes pour les touristes occidentaux.

Ce voyage ne fut donc pas une promenade de santé. Même si les décors de rêve sont là, de même que la beauté de la vie sauvage, Rebecca Edimo Di Giusto a fait l'expérience des routes meurtrières, les hauts et bas de la vie quotidienne auprès des Kenyans, et a même traversé les troubles politiques d'une élection houleuse tournant bien vite à la guerre civile.

Le Kenya occupe la première partie du livre, la plus longue, mais l'auteure a également posé ses valises à la Réunion ou en Afrique du Sud avant de s'envoler vers l'Amérique. Changement de décor (et de température) dans les grands espaces canadiens avant de se rapprocher une nouvelle fois de l'équateur pour un séjour au Costa Rica.

S'il n'avait été qu'une simple succession de cartes postales, ce livre n'aurait pas fait grand-chose d'autre que me proposer quelques heures de lecture rafraîchissante, ce qui n'est déjà pas si mal, mais le regard critique qu'il pose sur le monde et ses différences culturelles me rapproche de ce que je recherche habituellement dans mes lectures.

Le livre de Rebecca Edimo Di Giusto nous permet de se poser cinq minutes, de relativiser nos petits soucis quotidiens et de remettre en question notre mode de vie. Tout n'est pas rose ici, tout n'est pas rose là-bas non plus. On a beau le savoir sans le voir, le témoignage de ce qui l'ont vu et l'ont vécu est toujours précieux.

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Demain aussi, le soleil brillera...

J'ai aimé ce beau voyage coloré, chaleureux, spontané, réaliste tout en restant positif et bien décrit. Tout en restant chez moi j'ai voyagé sur d'autres continents à la découverte de la faune de la flore, de cultures de plats culinaires tant Africains que Costariciens, un vrai dépaysement. Les galères sont compensées par des joies et des petits bonheurs, une vraie leçon de vie. Merci à Rebecca pour ces belles aventures et à son homme sans qui ses voyages auraient été impossibles.
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Danser au rythme des saisons

J ai beaucoup aimée, belle histoire, realiste, vrai, même si en partie ce n est pas celle de l auteure, comme on pourrait le penser, vu le résumé!! Oui , j ai vraiment bcp aimé! Certain diront que je ne suis pas experte en la matière, mais je me suis trouvé dans certain récit!! Belle description du pays! Évidement certain diront qu il y a des fautes d d'orthographe , qui n en fait pas!!! En tout cas félicitations à Mme Rebbecca pour le courage d avoir osé écrire un roman!! Continuer comme ça!!!! Vivement le prochain!!!!!
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