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3.46/5 (sur 56 notes)

Nationalité : France
Né(e) le : 07/03/1989
Biographie :

Aude Réco est auteure de SFFF.

En parallèle de ses écritures, elle est bêta-lectrice pour Le Co-Lecteurs et membre du comité de lecture chez Voy'el.

Le 1er mars 2014, Aude monte son entreprise Prête-plume | Au service de vos idées, qui regroupe ses activités d'écrivain public, d'illustratrice jeunesse.

Elle vit dans le nord de la France.

site de l'auteure:
http://www.aude-reco.com/

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Aude Réco - Pourquoi j'écris des romans, plutôt que des nouvelles ?


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Alexandra, elle, admettait avoir déjà survolé deux ou trois fois la zone pour y balancer des cadavres encombrants
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Aude Réco
"Les Sempi avaient en partie disparu après s'être entre-tués à coup d'offensives magnétiques qui rendaient les appareils, dont leur cœur artificiel, complétement zinzins.
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« Les Sempi avaient en partie disparu après s’être entre-tués à coup d’offensives magnétiques qui rendaient les appareils, dont leur cœur artificiel, complétement zinzins.«
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Emmitouflée dans ses couvertures, elle ferma les paupières en espérant trouver le sommeil. Très vite, le temps devint long. Le bruit de la pendule égrenait les secondes avec une régularité qui irritait Ellen. Avec la promesse d'une issue inéluctable : le mariage. A bout du chemin de la nuit, se dressait forcément l'autel. Peu importaient les prières. Dieu, dans son infinie sagesse, ne pouvait qu'encenser cette union. Et Ellen n'irait jamais à l'encontre de ses décisions car, quoi qu'il puisse arriver, le destin de tout un chacun se voyait tracé dès sa naissance.
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Le fiacre roulait toujours lentement et s’engageait dans un village que Griffin reconnut en ouvrant son rideau. Des chaumières et fermes s’organisaient en rues plus ou moins étroites, vagues sentiers de terre calcaire. Le clocher d’une église apparaissait en arrière-plan, ainsi qu’une école, et découpait le ciel d’un blanc éclatant. Près de l’entrée, un bureau de poste devant lequel on ne se bousculait pas. Les lieux, nichés au cœur des collines ondoyantes, respiraient la quiétude, ou plutôt l’ennui selon Griffin. Pareils à tout autre, ils proposaient le même paysage sauvage. L’Irlande possédait son charme, froid, farouche, vertigineux, mais de ce village ne se dégageait que la mélancolie.
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- Vous trouvez que je ne suis pas assez amoché? fulminai-je. Et vous m'avez peut-être décroché la mâchoire en plus.
- Ca, permets moi d'en douter. Tu ne pourrais plus parler, et, crois-moi, ça nous ferait des vacances.
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Je ne crois pas aux fantômes, je ne crois pas aux fantômes, répète-t-elle depuis la veille. Elle tente surtout de s'en convaincre.
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Une angoisse l’oppressa, s’articulant en lui et rampant dans chacune de ses pensées. Une obsession. Sans doute. La beauté pragmatique de lady Mill, sa physionomie hypnotique, sa voix indécise, pourtant mélodieuse, lui inspiraient une pleine confiance, mais c’était comme si une forme ombragée attendait dans son dos le moment opportun pour l’engloutir.
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C’était comme pénétrer une bulle où prédominaient le néant, la crainte, la douleur.
Il avait fait cirer ses souliers, demandé que l’on amidonnât son col de chemise avant de se contempler dans le miroir. Il avait fière allure, celle du parfait gentleman, mais son visage cadavérique, ses yeux vitreux, ses joues creusées et ses cheveux ternes le rendaient repoussant. Il arrivait parfois que les codes de l’aristocratie britannique lui échappassent, mais il s’en accommodait au prix de nombreux efforts. Sa sensation de ne pas appartenir à cette classe sociale grandissait avec les années, aussi s’interrogeait-il de plus en plus sur ses origines véritables. Sa mémoire défaillante ne l’aidait guère dans son entreprise. Il lui semblait que sa vie remontait à plus longtemps qu’il y paraissait. Combien ? Il n’aurait su le dire, mais cette sensation étrange ne le quittait pas.
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Elle ressentait comme une douce sécurité à son contact, celle dont la privait un foyer qui ne prenait pas son mal très au sérieux. Sa gentillesse se lisait sur les traits harmonieux de son visage. Sans doute souhaitait-elle qu’on la remarque en compagnie d’un jeune homme ? Elle retint une moue. Elle se connaissait assez pour savoir que cet inconnu ne la laissait pas indifférente. Des frissons remontèrent le long de son dos à cette perspective nouvelle et terriblement excitante. Il flottait comme un parfum d’aventure. Cet individu présentait un charme certain et l’amusait sans rien demander en retour qu’une promenade d’hiver. Elle pouvait bien lui accorder cette faveur, après tout.
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