AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.25/5 (sur 143 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Tunis , le 27/03/1934
Biographie :

René-Charles Rey est un écrivain français.

Il est l'auteur de romans policiers, de science-fiction et d'horreur et scénariste de séries policières pour la télévision.

Il utilise les pseudonymes d'Emmanuel Errer, Jean Mazarin et Charles Nécrorian.

René-Charles Rey quitte la Tunisie en 1961. Il est ensuite enseignant durant deux années, puis travaille pour une entreprise de sondage pendant une dizaine d'années. Au milieu des années 1970, il décide de vivre de sa plume.

Il signe Emmanuel Errer des romans noirs d'espionnage et de politique-fiction puis Jean Mazarin des romans policiers et Charles Nécrorian des romans d'horreur et de science-fiction dans la collection "Gore".

Sous le pseudonyme d’Emmanuel Errer, il débuta chez Série Noire avant de devenir un pilier du Fleuve Noir, période 1976-1985, sous le nom de Jean Mazarin.

Devenu Jean Mazarin, il s'intéresse toujours aux problèmes de société, souvent avec humour (avec son inspecteur Poirel et son privé Puntacavallo). Sous le nom de plume de Jean Mazarin, il a reçu le Grand prix de littérature policière 1983 pour "Collabo Song".

À la fin des années 1980, il se tourne vers la télévision et devient scénariste de séries telles que Un privé au soleil, Navarro, Les Cordier ou Malone, pour lequel il reçoit le grand prix du Télépolar au festival de Cognac en 2004

+ Voir plus
Source : http://www.larousse.fr/
Ajouter des informations
Bibliographie de René-Charles Rey   (82)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
- Tu peux répéter ce que tu viens de me dire ?
- Autant de fois que tu le voudras...Je ne suis pas une vraie femme !
Elle s'approche de la table derrière laquelle Estelle semble s'être réfugiée. Elle se penche brusquement devant son amie et dénude sa nuque sur laquelle on distingue les traces de l'incision qui permet d'accéder au compartiment où se trouvent les barrettes informatiques qui déterminent l'usage qu'on veut faire de la poupée.
Commenter  J’apprécie          300
(N. B. : Cette citation est un petit hommage au responsable de mon pseudo, une sorte de reconnaissance filiale...)
Les impératifs de la télévision imposèrent au tennis moderne d'inventer le tie-break. Déjà, lors du premier tournoi de Wimbledon en 1877, les organisateurs avaient décidé une mesure analogue. Ils l'auraient appelée " Sudden Death " : MORT SOUDAINE.
Commenter  J’apprécie          250
Ceci est un roman;
Certaines situations et certains personnages sont réels.
Mais tellement d'autres sont imaginaires, amalgamés pour les besoins de l'auteur.
De toute manière, réalité ou imaginaire ne se rachètent pas.
Commenter  J’apprécie          160
Culculnacci sort un de ses cigares corses, ceux qui ont la forme d'une branche d'olivier en réduction et qui répandent la même odeur que celle des gaz employés durant la guerre 14-18. Heureusement, il a encore de l'amitié pour moi et il se contente de le suçoter.
Commenter  J’apprécie          120
- Ta sœur est partie avec la valise, tu sais ?
- Je m'en doutais, M'man...D'abord, elle te l'avait dit à toi aussi...Mais faut pas t'en faire, M'man. Déjà elle est partie une fois et elle est revenue.
- Mais elle est partie avec la valise.
- Ça veut rien dire, ça
- Comment ça veut rien dire...Quand on est parti de Mostaganem avec la valise, on est revenu, nous ?
Commenter  J’apprécie          91
Les deux zazous comprennent qu'une organisation clandestine structurée oeuvre dans la pénombre, distribuant tracts et journaux hâtivement tirés sur des ronéos parfois planquées dans des caves où leurs bruits est assourdis par celui des machines officielles qui impriment les avis à placarder ou les cartes d'alimentation.
Commenter  J’apprécie          80
- Tu sais, M'man, je crois que Muriel Kerdah va devenir ma promise...
- Muriel Kerdah, la fille de la femme de chambre de notre hôtel de Mostaganem !
- C'est la seule que je connais.
- Enfin, Franklin, on a jamais su qui était son père mais on sait que sa mère était ce qu'elle est...
- M'man, c'est fini maintenant le temps de telle mère, telle fille...Tiens, regarde, toi et Marilyne. Jamais il t'a pris l'envie de chanter devant le public. Pourtant, Marilyne s'est prise la vocation de plein fouet.
- De mon temps, les jeunes filles avaient autre chose à faire que de penser à chanter. Elles laissaient ça aux autres.
- A qui, M'man ?
- Aux chanteuses !
Une fois de plus, la logique puntacavalienne a frappé. Il faudrait que je trouve un autre exemple, plus proche, plus palpable si je peux m'exprimer ainsi.
- Et madame Castamougna, elle fait un cent douze de tour de poitrine alors que Suzette, la pauvre, elle doit mettre le coton dans son soutien-gorge quand elle veut sortir avec le pull collant...
- Franklin, mon fils à moi, comment tu sais que madame Castamougna elle fait cent douze de tour de poitrine ?
- C'est au jugé, M'man, à l’œil nu...
- Je préfère, et pour Suzette ?
- Malheureusement au touché, M'man...
Commenter  J’apprécie          60
Alors, laisse-moi te dire que si les explorateurs avaient toujours attendu un feu vert donné par des bureaucrates enfermés dans leurs salles climatisées, les hommes en seraient toujours à tourner en rond dans le système solaire !
Commenter  J’apprécie          60
Je reste assis sur le lit, devant le téléphone, à regarder les étagères sur lesquelles s'alignent les livres, des gros avec couvertures non illustrées, des livres pour gens intelligents. Moi, on m'a toujours dit : " Pour attirer le client, rien de mieux qu'une belle fille sur la couverture..."
Commenter  J’apprécie          57
"Le coup arriva par surprise. Le plat du hachoir le frappa en plein sternum, lui coupant la respiration. La douleur n'éclata qu'au second impact, quand le tranchant s'incrusta dans les côtes...Le simple d'esprit touilla puis s'arc-bouta de toutes ses forces pour arracher l'acier enfoncé dans l'os. Quand il y parvint, l'adjoint glissa à terre, en même temps que ses sphincters se relâchaient et qu'une montée de sang arrivait à ses lèvres...Du sang noir, avec de gros caillots...Une odeur épouvantable se répandit dans l'étable."
Commenter  J’apprécie          40

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de René-Charles Rey (162)Voir plus

Quiz Voir plus

Qui a écrit ces thrillers ?

Code 93 ?

Camilla Läckberg
Olivier Norek
Bernard Minier
Franck Thilliez

15 questions
92 lecteurs ont répondu
Thèmes : thrillerCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *} .._..