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Citations de Revue Dada (148)


Magritte est persuadé qu'il est impossible de représenter vraiment le réel, puisque "tout ce que nous voyons cache quelque chose d'autre". Son art devient donc un tremplin vers le rêve et la poésie.
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A la campagne comme sur les dessins d'enfants, les maisons se ressemblent toutes: avec un toit à deux pans! Mais pourquoi cela semble-t-il si naturel?
Une raison tout simplement pratique d'abord: quel meilleur chapeau pour protéger une maison de la pluie? Les deux pans ne laissent pas l'eau s'attarder et la font glisser jusqu'en bas. Depuis les débuts de l'architecture, on emploie ce système simple et efficace, et c'est devenu une convention. Mais cette convention a aussi quelque chose de sentimental. Sous le toit pentu se cache un espace important: le grenier. Dans ce lieu de la maison propice à la rêverie, on entrepose les choses que l'on oublie un temps et qui nous font plus tard voyager dans le passé.
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L'architecte utilise la lumière autant que le peintre.
(...)
Le Corbusier affirmait ainsi que ses matériaux de travail étaient "la lumière et l'ombre, le mur et l'espace".
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Et ne pas oublier "l'autodepiedestalification". Un vocabulaire typiquement tinguelien, qui nous rappelle qu'il est inutile de se prendre au sérieux!
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Luxe, calme et volupté.
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Quel spectacle ! C'est bien souvent l'impression première laissée par les films de Cameron.
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Gagner de l'argent est un art.
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ABCD'ART
L Liberté
Anticonformiste mais surtout éprise de liberté, Rosa Bonheur est l'une des premières artistes femme qui réussit à vivre de son travail. Elle ne dépend de personne - ni père ni mari - et cette indépendance est vitale pour elle. "Je n'ai aucune patience avec les femmes qui demandent l'autorisation de penser", disait-elle.
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Etre pharaon, c'est vivre entre deux mondes : celui des dieux et celui des hommes. En effet, le souverain est bien un être de chair et de sang. Toutefois, lors de son couronnement, il accède au statut divin.
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66 ans de règne, une centaine d'enfants, une nouvelle capitale à son nom, des ennemis terrassés… Ramés II est le pharaon de tous les exploits !
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Un art (égyptien) qui est très largement dédié à un seul et même personnage : le pharaon.
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■ V comme VALEUR.
La peinture aborigène ne cesse de prendre de la valeur sur le marché de l'art. Mais si certaines oeuvres dépassent le million de dollars, une partie des sommes obtenues est toujours reversée à la communauté ou au centre artistique aborigène d'où est issu l'artiste.
Car pour eux, l'art est fondamentalement collectif.
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A l'arrivée des colons britanniques, au XVIIIe siècle, l'Australie est proclamée 'terra nullius' : une expression pour déclarer qu'elle n'aurait pas de propriétaires.
Pourtant, la population aborigène compte alors entre 300 000 et 750 000 personnes. Décimés par les maladies et les répressions, les premiers habitants du pays sont peu à peu parqués dans des réserves. Quand, à partir de la fin des années 1970, ils peuvent enfin revenir sur leurs territoires, ils les réinvestissent en utilisant leurs motifs sacrés (...) via la peinture sur sable, notamment.
Avant ce retour sur leurs terres, les communautés déracinées avaient dû s'adapter aux supports disponibles : des toiles, des carreaux de lino, voire des morceaux de meubles.
(p. 8)
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D'aussi loin que l'homme a peint, il a adopté le rouge. C'est même la première couleur qu'il a utilisée, lors de l'apparition de l'art sur les parois des grottes, il y a plus de 65 000 ans. Il faut dire qu'à la Préhistoire, le choix est limité. Le seul magasin de couleurs, c'est la nature. L'ocre, une sorte d'argile riche en minéral, peut être marron, jaune... ou rouge. Réduite en poudre, elle est ensuite mélangée à un liant : de la graisse animale, de l'eau ou de la salive. C'est prêt !
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Hopper a toujours été intéressé par la photographie, à laquelle il a été initié par Eugène Atget à Paris.

p.33
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Photographe américain, Egglestone choisit à partir des années 1970 d'observer l'Amérique "par le petit bout de la lorgnette. " Tout comme Hopper, il opte pour des sujets non spectaculaires : de tout petits riens qui, dans son objectif, en disent peut-être plus sur l'Amérique que des événements chocs et retentissants...

p. 30
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Si le travail de peintre exige un temps d'exécution bien plus long par rapport au simple déclic du photographe, tous deux sont animés par le même désir : saisir un instantané. Dans la lignée de Hopper, ce n'est pas le grandiose qui les intéresse. Les photographies de maisons réalisées par Stephen Shore évoquent aussi les bâtiments peints par Hopper.

p.29
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Dans les années 1930, Walker Evans photographie ainsi les maisons en bois de la campagne américaine, que plus personne ne regarde, ou les passagers anonymes du métro, ballotés par le train. (...) Il photographie les voyageurs en cachant son appareil sous son manteau, et il réussit à ce que personne ne le remarque ! Walker Evans aime ses portraits volés, car ils lui semblent plus naturels (...)

p.28-29
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Rares sont les artistes à se réclamer de Hopper et pourtant, on peut observer de nombreuses similitudes. Attentif à l'Amérique du quotidien, Hopper ouvre une voie à de nombreux artistes et photographes.

p.28
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Le cinéaste américain David Lynch avoue passer des heures devant les tableaux de Hopper pour essayer de savoir ce qu'il va se passer ou ce qu'il vient de se passer ! (...) Tous deux puisent dans le même fond d'images stéréotypées de l'Amérique. Dans "Blue Velvet", par exemple, le film commence par une succession d'images à la Hopper. La caméra capture l'atmosphère paisible d'une ville américaine (...) Seulement, comme chez Hopper, cette vision calme et lisse révélera quelque chose de beaucoup plus étrange...

p.27
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