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Critiques de Richard Mason (20)
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Trois jeunes trentenaires qui se sont connus à l'université d'Oxford, se retrouvent des années après...

Adrienne, l'américaine en rupture avec sa mère abusive, Jake issu d'un milieu modeste et Julian, né dans une "bonne famille"...

Chacun d'entre eux était alors...en partie responsable de la mort accidentelle de la fascinante sœur de Julian, dont Jake était amoureux.



Un roman noir sur une jeunesse privilégiée dans l'univers estudiantin de cette prestigieuse école qui analyse de façon implacable les faiblesses du comportement humain et l'intransigeance de cette même jeunesse.



(Lu en 2006...)
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Le bal des imposteurs

Il s'avère que les hommes sont aussi capables d'écrire des romans féminins très banals. "Le bal des imposteurs" de Richard Mason (qu’il ne faut pas confondre avec l’auteur de "Le monde de Suzy Wong"), en est le cas.



Publié alors qu’il n’avait que 21 ans, l'écrivain avait sans doute comme intention d'écrire une stylisation de roman anglais classique. Il a échoué sur plusieurs fronts à la fois. Tout d'abord, le milieu. Richard Mason a choisi les années trente du siècle dernier comme époque à laquelle se déroule l'action. Mais où sont les signes du temps, les détails historiques appropriés ? Ne comptons pas pour cela sur une mention assez superficielle à Hitler dans quelques chapitres. Donc l'immersion du lecteur dans l'époque, hélas, ne fonctionne pas.



L’intrigue est le deuxième problème majeur du livre : beaucoup de superflu dans l'intrigue, trop de scènes inexpressives, de dialogues creux, à un point tel que le sujet lui-même qui porte sur un triangle amoureux (James, Ella et Eric) ne peut qu'ennuyer.



Enfin, les personnages principaux sont plats, qu’il s'agisse de James, un prétendu brillant violoniste, ou d'Ella qui n'est qu'une intrigante cruelle et sans âme.



Les tournures de sujet sont plutôt secondaires. Les livres de Daphné Du Maurier sont un chef-d'œuvre de la littérature à côté de ce roman.



Je regrette de constater que l'auteur n'ait pas encore trouvé sa propre voie dans la littérature avec ce roman. Ce manque d’originalité ne donne pas vraiment envie de lire les autres.





Le bal des imposteurs



Richard Mason



J.C. Lattès



traduit en français par Annie Hamel
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Le séducteur

Une fois de plus, je tiens à remercier Babelio, ainsi que les éditions Robert Laffont, pour m'avoir permis de lire ce roman.



Avec "Le séducteur", nous voilà donc plongé au coeur de la vie bourgeoise néerlandaise de 1900, suivant les aventures d'un jeune précepteur au physique plus qu'avantageux. Il en est pleinement conscient, et en jouera, parfois même bien malgré lui. En sortant de ce livre, ma première constatation fut que ce n'était pas Piet le héros principale de ce roman, mais plutôt sa beauté, son charme. Car c'est plus ou moins le message qui me semble ressortir du "séducteur"; Un homme beau a tout ce qu'il lui faut. Finalement, l'histoire aurait très bien pu se passer à New-York dans les années 80, ou en Russie en 1830. Mais je dois reconnaitre que le charme n'aurait probablement pas été le même...

Certes "Le séducteur" ne restera probablement pas gravé au fer rouge dans ma mémoire, mais il m'aura très facilement séduit et sa lecture fut très agréable. A lire sans modération, pour se laisser séduire sans culpabiliser.
Lien : http://vadaeme.blogspot.be/2..
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Le séducteur

En 1907 à Amsterdam, le jeune et extrêmement séduisant Piet Barol se fait engager comme précepteur chez la famille Vermeulen-Sickerts. Issu d’un milieu pauvre, Piet souhaite s’élever socialement et il se sent rapidement très à l’aise dans le luxe de la demeure des Vermeulen-Sickerts. Ses charmes et sa bisexualité lui permettent de se faire accepter partout : aussi bien auprès des domestiques que de la riche famille. Son changement de vie semble bien amorcé.



Commençons par ce qui m’a plu dans ce roman. Richard Mason a une écriture très fluide, agréable et son roman se lit sans peine. La construction est intéressante car elle alterne les points de vue et on passe de l’étage des domestiques à celui de des maîtres à la manière de Julian Fellowes. Richard Mason met en place toute une galerie de personnages secondaires plutôt attachants comme Didier, le valet de pied enthousiaste et naïf, ou Egbert Vermeulen-Sickerts, le dernier de la famille qui se bat contre une ribambelles de tocs.



Le personnage central, Piet Barol, avait au départ une ambiguïté source possible de rebondissements et de manipulations. Il est beau comme un Dieu, aime le luxe, a les dents longues et il est prêt à payer de sa personne. Malheureusement il manque cruellement de relief, il est finalement très lisse et ne séduit que la maîtresse de maison. Quoi de plus banal ? Il n’est pas non plus assez machiavélique pour le rôle que l’auteur lui assigne, il a même des regrets pour ses mauvaises actions !



De même, l’intrigue manque d’aspérités. Les moments de tension se résolvent comme par enchantement. Deux exemples pour étayer mon reproche : Piet force Egbert à sortir, c’est un drame colossal, personne n’a jamais rendu l’enfant aussi hystérique. Là, le lecteur craint le renvoi de Piet mais non, le problème est balayé en deux paragraphes, une petite discussion et on repart comme si de rien n’était ! (D’ailleurs, les tocs sont également éliminés comme par magie…) De même, lorsqu’une des filles Vermeulen-Sickerts révèlent à l’ensemble de la famille que sa mère couche avec Piet, point d’esclandre. Le mari cocu n’est pas offusqué, il s’excuse même auprès de sa femme de l’avoir délaissée. Je connais peu de gens aussi magnanime ! Ce manque de rebondissements nuit bien évidemment à l’intérêt que l’on porte à l’intrigue.



Et cela ne s’arrange pas dans la dernière partie. Piet Barol s’embarque pour l’Afrique du Sud grâce à la prime donnée par M. Vermeulen-Sickert (vraiment pas rancunier le mari cocu..) et part tenter l’aventure. C’est alors presque un nouveau roman qui commence où il n’est plus du tout question des Vermeulen-Sickerts. Mais pourquoi ne pas avoir terminé ce roman-ci avec le départ en bateau et commencé le prochain (le livre se clôt par un "A suivre") avec le voyage ? Cela donne quelque chose de très bancal, de mal équilibré, cette dernière partie dure en effet une centaine de pages.



Beaucoup de défauts dans "Le séducteur" qui n’est pourtant pas déplaisant à lire mais Piet Barol n’est pas assez manipulateur et aventurier à mon goût !
Lien : http://plaisirsacultiver.wor..
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Le bal des imposteurs

Le Bal des imposteurs ne ressemble à rien de ce que j'avais pu lire jusqu'à présent. C'est d'ailleurs l'originalité de la narration qui a suscité mon intérêt pour ce livre.



La narration, venons-y. Le roman est à la première personne, ce qui permet de s'attacher très facilement au héros, James Farell, et ce d'autant plus que le récit est rédigé comme une longue confession sur fond d'histoire d'amour passionné, de haine, de coups bas et de jalousie. Le narrateur nous explique les événements qui l'ont amené à tuer sa femme et pour ce faire, il doit remonter 45 ans en arrière et nous raconter sa rencontre avec Ella, la cousine de sa femme fraîchement assassinée. Plus qu'une simple confession, le récit de James est un véritable travail d'introspection dans lequel il s'attèle à expliquer le pourquoi du comment de son acte et à se remémorer les détails les plus pénibles, mais aussi, parfois, les plus infimes de cette période clé de son existence. Il ne cherche nullement à se justifier, il désire surtout comprendre la mécanique qui s'est mise en place et qui a conduit à ce drame final.



Contrairement à ce qu'on pourrait penser étant donné que l'on sait dès le départ que le héros vient de tuer, le suspense est bel et bien présent dans le livre. Là encore, la narration y est pour quelque chose. Richard Mason nous livre en effet les informations au compte goutte, son narrateur respectant scrupuleusement l'ordre chronologique des événements, réprimant sans cesse son envie de sauter les étapes.



Autre point fort du roman, le style raffiné de Richard Mason. Dans ce roman, tout est bien écrit, tout est dit de manière élégante. C'est un régal pour tout lecteur avide de belles paroles. Cet élément reflète d'ailleurs à merveille le milieu social dans lequel se déroule l'action. En outre, la façon détournée dont sont exprimées certaines choses laisse planer le mystère sur la suite de l'intrigue. Ainsi, le style contribue-t-il également au suspense du roman. Fait remarquable qu'il est intéressant de souligner : lorsqu'il écrivit ce texte, Richard Mason n'avait encore que 20 ans !



Toutefois, aussi élogieuses que soient ces quelques lignes, ce roman ne m'a pas totalement conquis. Après un excellent départ qui m'a totalement accroché, le milieu du roman est un peu longuet. Le narrateur s'épanche pendant quelques pages sur une période très précise de sa vie ce qui ralentit la progression du récit. Ce passage néanmoins a son importance pour la suite des événements ! De plus, j'ai relevé quelques erreurs de ponctuation ainsi que plusieurs mots manquants. C'est un peu dommage.



Comme vous l'aurez sans doute compris, j'ai adoré ce livre et je ne saurais que trop recommander ce petit bijou.
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Le séducteur

Rhôôôôô, Robert Laffont ! Franchement ! Une couverture aussi sage, aussi prude, aucun avertissement en quatrième de couverture ? Limite un bouquin que j’offrirais à ma grand-tante qui a aimé la Jeune fille à la perle ? Franchement, faut prévenir ! Je n’étais pas prête psychologiquement pour une telle lecture ! D’ailleurs, c’est net, je n’étais même pas prête physiquement puisque je passais la seule nuit des vacances loin de mon cher et tendre et que je me suis retrouvée bien bête.



Parce que votr’bouquin, là, c’est tout de même sauvagement érotique ! (attention, j’ai pas dit porno, j’ai dit érotique. Peu de descriptions, beaucoup BEAUCOUP de sous-entendus délicieux). Mais enfin j’ai été surprise, prise au dépourvu parce que la bise, elle n’était pas à côté de moi dans le lit pendant que je lisais !



En fait, bon, cest pas compliqué, c’est le Rouge et le Noir non expurgé pour toute la première partie. La suite, euh … je ne sais pas, je n’ai pas de souvenir d’un roman classique dont le héros émigre en Afrique du Sud et rencontre plus ou moins l’amour pendant la traversée, mais je suis certaine qu’en modifiant un peu les termes de l’équation vous trouverez la base qui a servi.



Rien de très original, donc, mais une lecture agréable, éventuellement à conseiller aux fameuses mères au foyer qui ressentent le besoin d’épicer leur vie amoureuse avec des romans SM (bon sauf que c’est pas SM. Mais c’est un peu mieux écrit)
Lien : http://www.readingintherain...
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Le bal des imposteurs

"Le Bal des Imposteurs", pour moi une imposture. Ecriture pompeuse, personnages vides et ennuyeux, des longueurs redondantes, franchement je m'y suis ennuyée. Le suspens n'est même pas de mise alors que le personnage est sensé expliquer le meurtre de sa femme. Je le déconseille
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Le bal des imposteurs

J'ai commencé ce livre l'été de mes 20 ans, sur les conseils de ma mère.

Je me souviens l'avoir lu d'une traite. Très bien écrit, avec une grande finesse psychologique tout en gardant un suspens haletant tout au long du récit. J'en garde un souvenir mémorable plus de quinze ans après!
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Le séducteur

Littérature anglaise trop démodée de nos jours pour nous conter les aventures amoureuses d'un jeune homme dénué de tous sentiments pour ses victimes. Un léger d'érotisme mais pas suffisant pour apprécier ce roman. J'ai passé de nombreux passages et finis avec difficulté.
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Le bal des imposteurs

Le Mozart du roman

Une demeure en Cornouaille avec son propriétaire qui déroule le fil de ses souvenirs pour prendre conscience d'une horrible vérité qui a irrémédiablement laissé sa vie assombrie par le mensonge. En fait, l'homme vit le fameux mythe de la caverne de Platon. Ce qu'il croyait être la lumière n'était qu'ombre et illusion.



On est envouté par cette histoire, on sent l'humidité des vieux murs des demeures anglaises, la jalousie et ce vernis qui recouvre la jeunesse dorée des grandes écoles et grandes familles "so british". On retrouve un style d'écriture qui rappelle les ambiances mystérieuses à la Wilkie Collins.



Et pourtant l'auteur l'a écrit très jeune : 21 ans. On ne s'en souvient que lorsqu'on a refermé le livre. Et on se dit qu'il a une sacrée finesse psychologique et qu'il la livre avec un grand talent, sans alourdir son style.



1 inconvénient : le roman se dévore beaucoup, beaucoup trop vite



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17 Kingsley gardens

C'est un livre riche, passionnant, foisonnant de moments de vies; il y a deux héroïnes: la mère, Joan, très âgée, ancienne pianiste et sa fille, Eloïse, businesswoman de haut vol; deux histoires mêlées donc: celle de Joan qui est née et a vécu sa jeunesse en Afrique du Sud, puis a connu un mariage plutôt malheureux en Angleterre; elle avait abandonné sa carrière de pianiste et a dû vivre avec un homme peu aimant, parfois brutal et sa belle-mère plus qu'envahissante. Eloïse, elle, évolue dans le monde de la spéculation sur le marché des matières premières; elle est très douée mais se met à commettre des imprudences qui pourraient bien lui coûter son poste; à près de cinquante ans, elle vit seule; sa vie personnelle n'est pas simple, elle n'a pas voulu avoir la même vie que sa mère. Après un voyage avec Joan en Afrique du Sud où celle-ci essaie de retracer l'histoire de sa famille - des boers qui ont beaucoup souffert de la guerre du début du XXème siècle contre les Britanniques - elle doit la placer en maison de retraite, au "17 kingsley gardens". Eloïse devra alors faire face à la fois à des problèmes dans son travail et à la vieillesse, la maladie de sa mère, car Joan assez vite, "perd la tête" ... Il y a souvent pas mal d'humour dans la description des hallucinations de Joan et sa résistance au personnel de la maison; et très intéressants sont les moments où, de l'intérieur, on voit les "décrochages" de la vieille femme, qui garde cependant toute sa bonne éducation. Mais Joan est-elle vraiment sénile ?



Deux vies très différentes, deux femmes racontées en parallèle; vont-elles se retrouver vraiment au moment où la plus âgée semble ne plus pouvoir vivre seule ? Histoire d'un amour mère - fille, de relations pas toujours faciles que l'auteur, un homme, a su très bien explorer.



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Le séducteur

Très belle découverte. Ce livre nous plonge dans le tout début du 20ème siècle sans nous encombrer de trop d'éléments historiques. J'ai apprécié l'ambiance et la manière agréable dont sont décrites les moeurs et coutumes de la bourgeoisie de l'époque. Piet Barol le personnage principal n'a qu'un seul objectif en vue se faire incroyablement remarquer au sein de cette société bourgeoise au risque de parfois se prendre quelques revers. On suit avec intérêt l'audace de ce jeune premier bien conscient de son charme et qui en joue au maximum. La première partie m'a semblé plus intéressante que celle qui se passe sur le bateau bien qu'à la fin j'ai de nouveau bien accroché à l'histoire.
Lien : http://scrambledspirit.wordp..
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17 Kingsley gardens

Un très beau livre sur la vieillesse, la déchéance psychique et les relations parents-enfants. C'est également un livre très dense où beaucoup de choses sont dites, peut-être trop car on finit parfois par s'y perdre.
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Le bal des imposteurs

James Farell a devant les yeux le corps de sa femme, Sarah, qui s'est suicidée dans leur château de Setton. Sauf que James sait que Sarah ne s'est pas tirée une balle dans la tête, car c'est lui qui l'a tué.



Une fois seul dans sa grande demeure glaciale, il revient sur sa vie et les circonstances qui l'ont poussé à ce geste : jeune homme violoniste plein de talent, il tombe amoureux d'Ella, une richissime héritière qui doit se marier, mais qui ne le veut pas. Elle aussi tombe amoureuse de James, mais il lui faut du temps pour rompre ses fiançailles avec Charlie. Charlie, qu'elle avait pris à sa cousine, Sarah.



Pendant ce temps, James décide de partir avec son ami et musicien français Eric à Prague où ce dernier doit gérer la succession de sa grand-mère, une artiste peintre célèbre. Mais Eric est amoureux de James.



Ella voit les garçons et leur propose de les rejoindre dans le sud de la France, une fois la succession achevée. Mais dans cette grande maison fermée pour l'hiver, Ella demande à James de lui prouver son amour, ce qui tuera Eric.



Mon avis :



Il faut savoir que ce livre a été écrit par un garçon de 18 ans, ce qui explique, après coup, que son héros soit un peu énervant de naïveté parfois.



Un peu trop de "je vous expliquerait plus tard" dans la narration qui l'alourdis inutilement.



Mais cela reste une bonne enquête psychologique sur fond de noblesse anglaise, comme au 19e siècle, ce qui m'a un peu perturbé au départ, ne sachant quand situer l'action. Mais ce fut une belle découverte.




Lien : http://motamots.canalblog.co..
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la neige et le feu

J'ai très moyennement aimé cette lecture, dans laquelle je me suis un peu ennuyée. Certaines parties m'ont paru un peu brouillonnes et le personnage de Birkett n'est pas attachant du tout, même si l'auteur essaie de l'humaniser de plus en plus au fil de l'histoire, surtout à la fin.

Contente d'avoir terminé ce livre que je ne garderais pas en tête très longtemps.
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Le bal des imposteurs

J’ai tourné hier soir la 387ème et dernière page du Bal Des Imposteurs . Wahou! J’ai réellement pris du plaisir à lire ce roman. Mélange de tragédie grecque, de Jane Austen et de Patricia Highsmith. C’est remarquablement bien écrit. L’écriture est soignée, précise et riche en dépit de la traduction. Mason mérite d’être plus connu. J’ai envie d’en lire un 2ème de lui, surement Le Séducteur. J’ai l’impression qu’il n’a pas été trop traduit en français.

Auteur à faire découvrir largement donc.
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Le bal des imposteurs

Un histoire d'amour. Pas un polar mais encore mieux
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Le séducteur

Les critiques du Royaume-Uni ont désigné ce roman comme un classique de la littérature anglaise. Chose certaine, il est aussi irrésistible que son personnage, Piet, être charismatique usant de son charme.
Lien : http://rss.lapresse.ca/c/336..
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17 Kingsley gardens

Remarquable fiction sur la famille et la vieillesse, ce troisième livre du Sud-Africain Richard Mason (né en 1978) est à la fois un excellent roman historique et une belle œuvre intimiste.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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Le séducteur

Ce drôle de roman épicurien et coquin de l’Anglais d’origine sud-africaine Richard Mason est un véritable antidépresseur littéraire.
Lien : http://www.lesechos.fr/cultu..
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