Le changement a un coût, surenchérit Naomi.
Mais ça vaut toujours la peine d'essayer. Pas parce que les chances sont particulièrement bonnes, mais en considérant l'alternative. Il y a de la beauté dans le fait de lutter. La beauté de toucher les parties brutes et sanglantes de nos âmes, de les ouvrir à la lumière du soleil et d'espérer qu'elles guérissent.
T'aimer, c'est comme plonger dans un bain chaud après une vie entière passée à avoir froid jusqu'aux os.
Ce n'est pas un concours. Reconnaître sa douleur n'enlève rien à celle des autres.
J’ai commis beaucoup d’erreurs, mais au moins, elles m’appartiennent. Il y a une étrange fierté à assumer l’entière responsabilité de ses actes, quelles qu’elles soient.
This world is full of people who would rather hate you than examine the pain in their own hearts. They will try to limit who you can love, who you can spend time with, who you can fuck. Some of these people will act like their condemnation is in your best interest. Like one day you’ll thank them for showing you the error of your ways. Some of them feel better about their own lives when they can deny the validity of yours. […] I’ve been a social pariah for many years now, and I can tell you that it’s worth it to not spend a second of your precious time on earth worrying about what other people believe you should do, believe you should be. Your body is a gift. Your life is yours alone. […] Sometimes love is your own quiet rebellion.
J’ai toujours pensé que l’amour était censé te donner des chatouillis. Une sorte d’obsession qui te pousse à vouloir sortir de ton corps. Je pensais que l’amour était synonyme de désir et de nostalgie. Que ça devait faire mal. […]
Mais l’amour n’est pas comme ça. Du moins, pas pour moi. T’aimer, c’est comme plonger dans un bain chaud après une vie entière passée à avoir froid jusqu’aux os. […] C’est d’avoir quelqu’un qui me voit, au-delà de l’artifice et de la posture, et qui décide que je suis plus que suffisante.
J'ai toujours pensé que l'amour était censé te donner les chatouilles. Une sorte d'obsession qui te pousse à vouloir sortir de ton corps. Je pensais que l'amour était synonyme de désir et de nostalgie. [...] Mais l'amour n'est pas comme ça. Du moins, pas pour toi. T'aimer, c'est comme plonger dans un bain chaud après une vie entière passée à avoir froid jusqu'au os
Mais les choses qui me rendent vraiment fou sont plus subtiles, poursuit-il. La sensation de ta peau quand je t'aide à sortir de la voiture, la façon dont ton visage rayonne. J'aime aussi ce truc que tu fais quand tu cambres le dos en t'étirant le matin. Oh, et le petit grain de beauté en haut de ta lèvre. Comme un X marquant un trésor.
« Quelque part dans sa lignée, il est certain qu’un Wheaton a contrarié le destin et condamné ses descendants à en payer le prix. C’est la seule explication pour laquelle, la seule et unique fois où Clara se lance, cela se termine en un spectaculaire fiasco. »
La nuit dégage cette énergie estivale unique. C'est le moment où l'air devient lourd et pétillant. Où chaque inspiration donne une sensation de liberté et où le ciel semble si heureux d'être débarrassé du soleil qu'il soupire de soulagement.